~Chapitre 1

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Le contenu de cette fiction est une oeuvre personnelle uniquement destinée à être publiée sur ce site. Toute copie du contenu pour une utilisation quelconque ou publication est interdite.

-Les personnages et faits décrits dans cette fiction sont purement fictifs. La société, les villes, contextes politiques et sociaux, organisations,.... sont imaginaires et ne sont donc en aucun cas le reflet de la réalité et ne sont donc pas à considérer. Toute ressemblance avec des personnages ou faits réels est purement fortuite.-

Il se peut qu'en cours d'écriture des éléments de la fiction soient modifiés. Ils seront indiqués dès que possible.

Voilà, vous vous apprêtez à lire le premier chapitre de ma première fiction. J'espère qu'elle vous plaira. Et laissez le moi savoir par le biais de commentaires (constructifs si possible). N'hésitez pas si vous repérez des défauts, pour améliorer ma fiction.

ENJOY !

Tout commence avec une erreur, une faute certaine. Les plus belles relations ne sont pas dûes à des rencontres préméditées, prises avec un certain recul et avec une certaine délicatesse. Les plus belles relations sont dûes aux accidents que nous commettons, aux lois que nous enfreignons, à notre ignorance face à notre supposée destiné.  

Bobbi. C'est ainsi que je m'appelle. N'est-ce-pas là un drôle de nom pour une jeune femme? A vrai dire c'est le surnom que l'on me donne. Mon nom entier est Georgia Elizabeth Bobbi Price, je suis la fille du célèbre gouverneur de l'Etat de Georgie. Mes parents ont eu la fabuleuse idée de me nommer à l'image de mon pays. C'est ainsi que cela fonctionne dans la bourgeoisie actuelle, des noms à rallonge qui vous font tourner la tête, des maisons dont vous faites le tour en deux jours, des voitures qui grondent plus fort que le roi de la savane, des billets de cent dollars jetés par les fenêtres,... . Bref, la société d'aujourd'hui n'est qu'une simple blague. Les pauvres sont la hantise des riches. Nous revoilà à la vieille époque. Les pauvres vivent dans des quartiers modestes et deviennent les domestiques de ces odieuses personnes, tandis que les riches possèdent au moins deux villas par personnes. Il était un temps où les personnes aisées et les personnes en déclin cohabitaient et ne se haïssaient pas. Ce temps est révolu maintenant, les plus démunis sont humiliés, chassés, et pour certains rebels, ils sont battus à mort. 

Je suis Bobbi Price et je n'ai absolument pas de quoi me plaindre au niveau de mon style de vie. 

Toute mon enfance, jusque mes quinze ans, mes parents voulaient faire de moi la fille parfaite. Un modèle pour toutes les autres jeunes filles de mon école, la fille que tous les garçons voudraient épouser. Ma mère voulait que je maîtrise le plus de compétences pour pouvoir mettre toutes les chances de mon côté quand je devrai m'inscrire à l'Université plus tard. Elle avait tout planifié dans les moindre détails pour que je puisse devenir la fille "parfaite". Mon planning était le planning le plus structuré et strict qu'aucun n'enfant n'est jamais connu pendant toute sa jeunesse: 

Lundi: 9:30 a.m-11:00 a.m: Cours de danse classique 

2:00 p.m-4:00 p.m: Leçon de français 

Mardi: 9:30 a.m-11:00 a.m: Cours de patinage artistique 

2:00 p.m-4:00 p.m: Cours de chant 

Mercredi: 2:00 p.m-4:00 p.m: Cours de guitare 

Jeudi: 9:30 a.m-11.00 a.m: Cours de théâtre 

2:00 p.m-4:00 p.m: Leçon de français 

Vendredi: 9:30 a.m-11:00 a.m: Cours de chant 

2:00 p.m-4:00 p.m: Leçon de piano 

Love's MiseryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant