La panique

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Les pas lents étaient devenu des pas de courses. Sur leurs visage ont lisait la détresse, une détresse pur, radicale. Ils restaient en groupe ; Ils ne devaient pas risqués de perdre un des seul humain qu'ils avaient. Étienne tenta de rassuré les autres membre de son groupe. Il devait bien y avoir une explication logique.. Ils devaient aller dans la salle d'information. Une fois sur place, et avec le cœur plus détendu, ils dument patientés la fin des explication de l'intelligence artificiel avant de pouvoir posés leurs question. 

- Où sont les autres passagers ? Demanda Étienne.

- Ils se réveillerons au moment dût, répondit l'Avalon.

- Ce n'est pas le moment..?

- Les passagers de l'Avalon se réveillerons 3 mois avant l'amerrissage, dans 83 ans.

 Leurs yeux s'écarquillèrent. Qu'est-ce que cela voulait dire..? 83 ans..?

- Excuse moi, commença Patrick. 83 ans..? 

- Les passagers de l'Avalon se réveillerons en 2431.

- Nous ne somme pas en 2431..?

- Nous somme en 2347, le 4 Mars.

Et là, c'est le drame. Les autres n'étais pas réveillés, et il ne le seront pas avant un long moment. Ils restaient sans voix pour quelques secondes, avant de crié comme des bêtes enragées. Durant quelques secondes, leurs mondes s'était écroulé. Ils couraient, criait à plein poumon, sans espoir que leurs prières se fussent entendre. Ils étaient désespéré. Leurs visions devenaient floues, leurs mains devenaient moites, et leurs jambes, faibles. Après de longues minutes à courir dans les corridors, sans réel espoir de trouver quiconque, leurs forces les quittèrent. Ils s'étaient séparé depuis déjà un long moment quand Étienne tomba nez à nez avec Marion. Elle était en pleur, et Étienne, étant empathique, tenta de rassuré la belle rousse.

- Je v- Je veux pas.. Je peux pas.. Je peux pas..

- Calme toi, on va trouver une solution ! Ont va trouver.. Tout va bien allez..

À quelques dizaines de mètres, Steve tomba lui aussi nez à nez avec une personne en pleur ; Maggie.

- Je peux juste pas.. Je peux pas les perdre..

- Tu ne les perdras pas, tu m'entend ? On va trouver une solution..

Ils se pleurèrent dans les bras pour plusieurs minutes. Ils n'auraient pas perdu ce temps précieux si ils avaient pensé à la chose la plus importante de leur cauchemar..

Chaque minute compte.

Chaque minute compteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant