11

751 41 116
                                    

Parce que j'ai dit qu'il y'aurait une prochaine fois ?

En tout cas, maintenant je connais son nom. Mickey, ça sonne un peu étranger...

Il se met à califourchon sur moi...?

- Qu'est-ce que... tu fais... ?!

- J'ai encore envie.

- Mais...

Il ne me laisse pas finir et me prends par la taille puis m'écarte les jambes.

- Hé qu'est-ce que tu fabriques ? Je suis fatiguée...

- Tais-toi et t'auras une récompense.

Il ne me laisse pas répliquer et me pénètre lentement. Je me mords la lèvre inférieure pour me retenir de crier. Il y va doucement et pose sa main sur le bas de mon abdomen. Je pousse de longs soupirs et des râles en essayant de me contenir au mieux. Il accélère ensuite ses coups de reins en remontant sa main le long de mon buste pour la caler sur mon cou.

Ça devient trop dur de retenir mes gémissements alors je pose une main sur ma bouche mais il la frappe du revers de la sienne pour l'enlever sans s'arrêter. Il prend ensuite mes poignets et les maintient de part et d'autre de ma tête.

- Idiote, te retiens pas.

Si j'étais déjà rouge alors maintenant je suis écarlatement pourpre.

Il va plus profond mais en ralentissant la cadence. Il me fait languir, j'ai envie de pleurer. J'ai les jambes déstabilisées et les orteils qui accrochent le drap et le défont.

Je lui lance un regard pour lui faire comprendre que ça me fait chier et que j'ai envie de le tuer alors il me renvoie en petit sourire en coin.

J'étouffe un grognement qui se transforme en gémissement quand il bouge légèrement.

- Arrête ça... dis-je tremblante

Il lâche un de mes poignets pour me saisir la mâchoire doucement pendant qu'il bouge le bassin.

Je pousse des gémissements qui m'étonnent moi-même - Je n'aime pas ça.

Il se met à faire des vas et viens plus rapides en pressant mes avant-bras puis quand il accélère vraiment il attrape le haut du lit. Ça devient trop dur et je crie, je l'entends grogner en passant sa main libre sur ma poitrine. Puis je me sens atteindre l'orgasme et pose mon bras sur mes yeux. Il vient peu de temps après et éjacule en moi.

Je suis encore haletante et en sueur, il lâche le haut du lit sur lequel il prenait appui et se laisse tomber sur moi. Il est trop lourd il devrait arrêter. On reste dans cette position pendant quelques minutes et mes paupières deviennent si lourdes que je m'endors sans plus de résistance.

Je suis réveillée par des suçons dans mon cou. Je n'ai pas l'impression d'avoir beaucoup dormi et le garçon aux cheveux blancs est encore allongé sur moi. Mickey, il a di s'appeler comme ça c'est vrai.

Je marmonne des trucs inintelligibles en essayant paresseusement de le dégager. J'ai sommeil.

Au lieu de s'écarter, il me fait des suçons un peu partout. Il commence par le cou - où il se trouvait déjà, puis descend en laissant de petites marques de suçotement au passage pendant que je laisse échapper quelques râles. Il s'attarde sur ma poitrine et taquine mes petits bouts de chair durcis. Je me sens décoller de nouveau, comme si on allumait un brasier dans mon bas-ventre et qu'on me... c'est trop de sensations.

Il continue sa descente et pose ses lèvres dans le creux de mes reins. C'est la première fois et il ne peut pas s'arrêter ?!

Il remonte à la hauteur de mon cou et se colle un peu à moi comme s'il voulait me faire un câlin. En tout cas c'est ce que j'ai cru jusqu'à ce qu'il me décolle du lit, ses mains sur ma taille puis me retourne sur le ventre. Il m'a soulevé rapidement comme si j'étais un oreiller, je n'ai rien vu venir.

Suspendue à ton doigt/ Tokyo Revengers Où les histoires vivent. Découvrez maintenant