Strangely I hate it too - 𝐒𝐀𝐍𝐙𝐔 𝐇𝐀𝐑𝐔𝐂𝐇𝐈𝐘𝐎

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐕

[7 juillet 2005 à 14h20, de notre côté]

Ah le voilà enfin ! Je m'approche de lui par derrière et approche mon visage de son oreille

- Haru~

Il sursaute légèrement tout en se retournant face à moi

- Akemi.. ?

Je lui souris, et on peut clairement entendre à ma voix que je suis heureuse de le revoir

- Ça fais longtemps ! Ai-je dis

- Ça fais une semaine qu'on s'est pas vue..

- Désolée j'étais occupée, me suis-je excusée en me frottant l'arrière de la tête

- Occupé à quoi ? Tu vas bien au moins ?

- Oublie pas que je suis dans le Roppongi

- T'es pas blessée ? A-t-il redemandé

- Non

Il me tire par la main pour nous mettre à l'écart des autres puisque je suis venu à leur endroit de réunion après qu'ils aient fini celle-ci. Alors il y a encore des membres du toman qui sont présents

- J'ai cru que tu voulais plus me voir..

Je suis surprise, on ne se connait pas vraiment en fait donc je ne m'attendais pas à ça. Il est vrai que je l'aime bien mais j'avais plutôt l'impression de l'embêter. On s'est pourtant vue que deux fois

- Je t'embête pas ?

- Quoi ? Pourquoi tu dis ça ?

- Pour rien...

- ... Non tu m'embêtes pas Haitani

J'entends des pas s'approcher de nous, je ne suis pas la seule puisque Sanzu se tourne lui aussi vers le bruit. Le chef du Toman est là, Mikey l'intouchable, il semble me scanner du regard avant de me tendre sa main en souriant

- Merci Haitani-chou !!

Hein ? Haitani-chou ? Je rigole en entendant cette appellation et lui serre la main en retour

- Tu me remercies pour quoi ?

On se lâche la main puis reprenons notre discussion ensemble

- C'est évidemment non ? Tu as évité que Baji se fasse planter et tu as aidé Chifuyu

- Oh ça, trois fois rien. Y a pas de quoi si ça vous rend si heureux

- Dis je peux te demander quelque chose ?

- Mmh ?

- Tu as quelque chose sous ton bandeau ? Quesque c'est ?

Je me fige un instant mon visage se crispe, je mord ma lèvre inférieure réfléchissant à quoi répondre. Je ne veux pas chercher la merde avec eux sinon ils pourraient s'en prendre à mes frères. Je ne dis rien alors qu'il attend une réponse, puis je me décide à partir