Orpheline, brisé mentalement, obligé de vivre entouré des personnes qui la rabaisse et la maltraite mentalement et physiquement, Sophia fait ce qu'elle peut pour ne pas plus sombré dans la dépression et revêt chaque weekend le masque d'une poupée...
Tiré de ces pensées par sa meilleure amie Sophia se redresse et lui fait face, sa doit bien faire 2 ans que Julia l'avait aidé à avoir sa place dans ce club privé ou des hommes de toutes les catégories sociales viennent à la recherche d'une douce compagnie pour quelques heures... Bien sûr si ils ont n'en les moyens,
Sophia se lève du canapé ou elle c'est affalé après sa sortie rocambolesque de la maison ou elle est obligé de vivre avec la famille de sa tante, elle s'avance et par s'accrocher au cou de la seul personne qu'elle considère encore comme sa famille,
- d'abord tu m'écoute pas et maintenant tu viens t'accrocher à moi comme un bébé, dit Julia en ce retournant pour voir son visage,
- je suis fatiguée aujourd'hui, j'ai encore dû sauté de la fenêtre de la chambre de mon cousin à cause de la folle,
- je comprends pas pourquoi tu n'as pas déjà mis du mort aux rats dans son thé,
- on saurait tout de suite que c'est moi qui l'ai empoisonné dit elle en riant et en se détachant du cou de Julia,
- moi je l'aurais déjà remise les idées en place en la menaçant de tous les balancer à la police,
- qui me croirait vu mes antécédents familiaux et mon "travail" à temps partiel,
- pas faux choupette, dit elle en se relevant, ces longues tresses balayant sa fine taille alors qu'elle inspectait une dernière fois son maquillage,
- dans tout les cas bientôt j'aurais dix huit ans et avec le petit pactole que je me fais ici je n'aurais aucun mal à les fuir,
- mais pour le moment tu en as 17 tu es toujours au lycée et pire tu es entièrement sous leur tutelle,
- sa te tuerais d'être un peu optimiste pour moi grande sorcière ,
- non c'est trop pas mon style, dit elle en souriant,
- pas étonnant que le frère Paul te traite toujours comme une calamité quand on par lui rendre visite,
- c'est pas de ma faute si il comprend pas qu'il pourra jamais me transformé en fille bien,
- moi je trouve que tu es une fille bien,
- une fille bien qui à trouver un travail d'escorte à sa meilleure amie âgé de 15 ans et qui fait des trucs pas très catholique pour maintenir son style de vie luxueux ?
- ok ok t'es une vrai Bad bitch mais moi je t'aime comme sa grande sorcière,
- alors tu vas encore plus m'aimé tout de suite car j'ai fini de me préparé, dit elle en rumuant le pieds, ces talons hauts accentuant la forme élancées de ces jambes,
- enfin seigneur elle a fini! Parceque là l'envie de prendre un jour de congé me chatouillais l'esprit,
- on doit servir nos précieux porte money sur pattes "Bee" soit pas une méchante fille et montre leur ton jolie sourire de poupée.
Dans le club éclairé d'une douce lumière tamisée, une foule de personnes s'amusaient à boire et à danser pourtant la nuit venait à peine de commencer, sur une table Luxueuse ou des liqueurs et des champagnes aux prix ahurissant se trouvaient, plusieurs hommes en costume buvaient en souriant, chacun avec une belle femme dans leur bras, parmi eux plusieurs attendaient l'arrivée des "Dolls" , C'est le nom que les clients réguliers du club avaient donné à Julia et Sophia dont le comportement charmeur et l'apparence de poupée avaient marqué les esprits vicieux,
Avec des démarches élégantes et charmeuses, les deux jeunes femmes âgées chacune de 20 et 17 ans ont fait leurs apparitions quelques minutes plus tard dans la salle où des corps se frottaient les un contre les autres.
À leur vue, les hommes qui les avaient louer pour la soirée souriaient de toutes leur dents, s'imaginant déjà réussir à convaincre les jeunes femmes insaisissables de dépassé le cap du flirt avec eux bien sûr moyennant un certain coût mais que vaux les dépenses quant on peut avoir une beauté même pour une seul nuit,
- bonsoir Messieurs vous nous avez attendus longtemps ? Demanda julia en se penchant pour caresser l'oreille de l'homme qui la dévorait du regard,
- bien sûr que non, venez venez, dit l'homme qui avait loué Sophia, en se tortillant sur le siège où il était assis,
c'était un homme de taille moyenne qui avait l'air d'avoir la fin de la quarantaine, son regard n'avait rien de très rassurant, pourtant Sophia y était habitués et le sourire en plastique qui ornait son jolie visage chaque fois qu'elle était en contact avec un nouveaux client le démontrait, elle s'assit près de lui et comme chaque fois elle se glissa dans la peau de Bee cette femme séductrice qu'elle a créée en s'inspirant de sa défunte mère afin de se protégé comme elle pouvait. Et cette nuit encore la jolie abeille allait piqués des coeurs.
À 5 heures du matin Sophia avait réussi à s'extirper des bras de son client en le soulant avec des liqueurs toutes plus cher les unes que les autres de quoi faire sourire Claus le patron du club, elle trouva Julia qui riait avec une autre escorte, elles se moquaient de leurs clients insistant en remerciant Jack et pierre les vigiles du club de toujours les expulsés une fois la fin de leur location venu, quant elles ont vu Sophia qui arrivait vers elles visiblement fatiguée elles ont criées son surnom avant de la taquiner en la félicitant d'avoir réussi à se débarrasser de l'homme d'une quarantaine d'années,
- décidément j'ai l'impression d'attirée que des vieux pervers ces derniers temps, dit Sophia en s'asseyant à côté de Julia,
- peut être qu'ils ont compris que tu est une mineurs et sa les excites dit Julia en riant de plus belle, face au visage agacé de Sophia,
- estime toi heureuse Bee c'est ce genre de client qui rapporte le plus, dit la jeune femme qui parlait avec Julia, elle s'appelle émie, son nom échappait toujours à Sophia depuis la première fois qu'elle lui avait parler mais elle ne l'a détestait pas,
- mouai ! Dans tout les cas je suis fatiguée Julia je veux dormir,
- moi aussi, allons y j'ai juste envie de dormir.
Elles sont sortis du club après avoir appelé un taxi et s'être totalement couverte et démaquiller.
Une fois dans l'appartement de julia Sophia s'enferma dans la douche et se plongea dans l'immense baignoire qui occupait la majorité de l'espace, elle fis sortir son téléphone et elle remarqua les appels manqués d'un numéro inconnu qu'elle connaissait que trop bien, c'était lui toujours lui, son oncle, le mari de sa tante qui n'arrêtait pas de la harcelée, elle sentit la peur et le dégoût monté.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
