Royal, sans le vouloir (Arrêté)

Royal 1

Je marche lentement dans le couloir à damier noir et blanc. Le bruissement de ma robe et le bruit de mes talons sont les seules choses qui resonnent dans l'immense couloir. Ah et il y a aussi les inconnues qui se tiennent à mes côtés, m'accompagnant vers mon obligation. Je marche au ralenti, non pas pour que c'est personnes du troisième ages suivent, mais plus pour profiter de mes dernier instants de liberté. Rappellez-moi ! HEIN ! , rappellez-moi comment j'en suit arriver là !!!

Tout sa a cause de Jade.

Je vivais ma vie de fille normal, jusqu'a ce que le roi Jordan ne décède. Je l'avait pas mal aider et il figure qu"il a mis mon nom sur son testament, disant que sa fille, Jade, pouvait:

-Sois prendre le trône,

-Sois me le donnez,

Et cette lache a dit et je site:" Je ne me sens pas capable de prendre le trône car mes compétences en tant que reine ne sont pas complètes." Alors me voilà avec la vie de plusieurs millions de personnes entre les mains, jusqu'a ce que "Madame" sois prête. Et la connaissant, sa veux dire jamais.

Je m'arrête. Un des vieux ministres qui m'accompagne ordonne à ce que l'ont ouvre les portes. Les gardes, décoré comme il faut pour l'occasion, s'exécutent et ouvre les portes avec forces. L'assemblé, qui jusqu'a présent parlait, ce tue. Tous me regardais avec admiration pour certains et dégout pour d'autre, surtout chez les filles bizarrement.

Je reste impassible alors que j'avance, seule cette fois-ci, sur le long tapis bordeaux, couleurs di royaume de Gamara dont je serai, dans quelques secondes la reine. Tous s'inclinent a mon passage et chuchotent, critiquant surmant un endroit quelconque de mon corps pour les femmes et parlant de mon commandement de tout. Car oui, je vais tout controler, enfin sauf quelques affaires trop complexe.

J'atteind enfin le petit escalier qui me conduit sur une grande estrade de pierre blanche. Je m'arrête, m'agenouille parterre, en faisant attention a ne pas froiser ma robe blanche, et baisse la tête, les yeux fermés. Le premier ministre resite un texte que je ne prend même pas la peine d'écouté. Une fois qu'il a fini son discours, il dépose délicatement la couronne de reine sur ma tête.

Je me lève, ouvre les yeux et me retourne, droite, vers la cour. Plus de1000 personnes sont là, et elle s'applaudissent, me privant definitivement de tout liberter...

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Salut tout le monde!

J'ai effacer ma dernière fiction parce que sa rimais a rien. Faut me comprendre.

Bref, dites vos avis

Izoline