À la vie à la mort

Chapitre 9

Après les cours finis il était resté dans sa salle réparant les chaudrons qui n’étais plus en état d’être utilisé, d’un coup de baguette il fit disparaitre les résidus de la potion.

Alors il finit par rédiger les cours suivants, voulant utiliser son temps précieusement en tant qu’agent double, ne pas faire d’erreurs était essentiel pour lui, en effet il pourrait facilement se retrouver derrière une grille de la célèbre prison de sorcier nommée Azkaban, avec des gardiens peu ordinaires en effet des êtres couverts de toile noire permettant de cacher leurs aspect horrible, l’odeur de leurs chairs en décomposition qui était elle-même une torture.

Ces êtres raffolant de la joie des êtres pour la remplacer par des émotions négatives souvent la tristesse. On raconte souvent que les prisonniers ne sont plus eux-mêmes, une coquille vide voila comment ils sont souvent décrits. Ces êtres étaient aux services du ministère pourtant même s’ils sont dans le bon côté ils sont craints par tous. Ils pouvaient également donner la mort grâce au baiser de la mort, absorbant toute vie à la victime ne laissant qu’un corps sans vie.

Rien que d’y penser il sentit son corps se geler sur place, c’est comme avoir une épée de Damoclès au-dessus de sa tête. Dans ses moments il préfère largement avoir l’esprit occupé que d’y repensait. Cette triste vérité était à prévoir, en effet bien que l’ascension du seigneur des ténèbres soit assurée il se peut cela ne soit pas éternel.

Les alertes de son aimée trotter dans sa tête pourtant il avait continué et il fallait bien continuer dans sa lancée de toute manière il ne pouvait en aucun cas faire un retour en arrière, que dire aux familles dont les membres ont perdu un membre de façon soudaine.

En y repensant sa future femme lui avait toujours assuré que tout pouvait se résoudre, où même le jour où il était dans un état critique à la suite des nombreuses tentatives des maraudeurs de mettre fin à l’intérêt de l’homme auprès d’une de leurs protégés, simplement car il appartenait à la maison du tristement célèbre Serpentard.

Un mot prononcé vu le désastre. Les maraudeurs était un groupe de la maison de Gryffondor, excellant dans l’art de s’attirer les foudres des divers professeurs, excellent pour ne pas respecter le règlement établit par l’école pour les protéger. Pourtant tous le monde les adorés du moins si on ne comptait pas certaines personnes, certains les trouvaient trop frivoles, incapable de se tenir, ou encore d’autres prétendaient qu’ils avaient des qualités malgré leurs comportements intenables.

Pourtant certains les adorés, ils osaient faire des choses que les autres auraient eu honte même d’y penser. Severus était de ceux qui rien que leurs présences ou même les nommer étaient insupportable. Bien qu’ils cherchent sans cesse le jeune homme ils avaient toujours le droit, d’une tape à leurs têtes ou à des répliques pour fermer leurs claper de deux individus. Ces deux personnes était une fille de la même maison du Lion et une autre de la maison du Serpent.

Les deux jeunes filles ne cessaient de réprimander les jeunes adolescents pour leurs comportements d’enfants irresponsables, alors que celle de Gryffondor resta avec les membres de sa maison en leurs pinçant les oreilles ; celle de Serpentard afficha un doux sourire au jeune homme.

Il aimait son sourire qui se voulait doux, elle était un ange pour lui, pourtant un jour c’était de trop malgré les défenses magiques par des sorts nouveaux qui semblaient mauvais, les maraudeurs avaient fait fort si bien que par la colère le jeune homme lâcha un mot dangereux, blessant auprès de la fille de Gryffondor.

Ainsi une amitié qui date depuis de longues années, fut détruite. Etant blesser pleins de remords, il trouva alors réconfort auprès de son unique ami et confidente. Les jours passèrent est il ne cessait être rongé par les remords, pourtant il était toujours rassuré par la jeune fille. A l’abris des regards il aimait être dans ses bras, entendre son cœur battre doucement, sentir son parfum si doux serrer contre lui son corps frêle.

Oui il l’aimait.