désillusion

1.7K 72 45
                                    

PDV IZUKU :

Il est 15h de l'après-midi, et je rentre de ma patrouille.
Je suis totalement déprimé à cause de cette journée de travail plus que ennuyeuse.
Je n'ai malheureusement vu aucune infraction.
Je devrai me réjouir, mais bon, j'ai besoin d'un peu d'action, moi !

Bref, j'ouvre la porte de notre appartement, à katchan et moi.

Normalement, lui, rentre à 17h, mais bizarrement, je vois les chaussures de katchan et...des talons ?

Je suis pris de doutes !

Qu'est-ce que les chaussures d'une femme font chez nous ?

Bon calme toi izuku !
C'est peut-être les chaussures de Mitsuki, ou bien celles d'une de nos amis.

Oui ! C'est sûrement cela ! Je devrai avoir confiance en mon mari !

- Katchan ! Je suis rentré !

Seul le calme absolu me répond. Bon, peut-être qu'il dort.

D'habitude, même si ce n'est pas pour me sauter dans les bras, katchan me hurle d'aller me laver les mains, pour je site, "tuer ses satanés microbes".

Ayant peu l'envie de me déplacer jusqu'à la salle de bain, je préfère utiliser du gel antibactérien.

Je m'engage dans l'appartement.
La lumière n'est pas allumé dans le salon.

Où sont-ils ?

J'allume donc la lumière du salon et trouve sur le canapé le t-shirt d'une femme, avec un soutien-gorge.

Je ne peux pas y croire !

Pourquoi moi ?

C'est pas possible !

Tout ce passait bien dans notre couple !

Je suis submergé par le doute, l'anxiété, l'angoisse, la tristesse et la colère.

Je me dirige précipitamment vers notre chambre.
J'ouvre la porte en grand, et ce que je vis me brisa le cœur.

Une femme que je connais plus que bien couche avec mon katchan.

Je tombe sur les genoux sous le choc.

- Katsuki, Ochaco, qu'est-ce que cela veut dire ?!

- Deku-kun, laisse moi t'expliquer...

- Laisse, bébé, il n'en vaut pas la peine.

- Moi, je n'en vaux pas la peine ?! Katchan, je croyais que tu m'aimais ! Et toi, Ochaco, tu étais ma meilleure amie !

Je sens les larmes me submerger, mais je ne peux les contrôler.
Alors, je pleure toutes les larmes de mon corps en agrippant mes bras.


- Coupez ! La scène est excellente les gars !

________________________________


Est-ce que, par hasard, j'aurai mis votre ascenseur émotionnel à mal ?

os bakudekuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant