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Beomgyu n'est pas du genre à se faire remarquer, enfin il ne l'était plus, quand des gens mal attentionnés venait l'abordé, il préfère les ignorés que leur répondre même quand on l'insulte, c'est une perte de temps pour lui. Etonnant de la part d'un garçon, qui au lycée, s'amuser à effrayer ses camarades ou les forcer à lui obéir au doigt et à l'œil. Durant sa scolarité, Beomgyu s'était beaucoup éloigné de sa famille, sa mère s'est fortement énervé contre lui en recevant le bilan du trimestre, des larmes de nerfs avait coulés une par une, voyant : ses avertissements au comportement, la chute de ses notes, les heures de cours manqué, et l'exclusion de 3 jours qu'il avait réussis à cacher pour avoir fumer dans l'établissement, sa mère était tellement hors d'elle, que pour la première fois elle leva sa main sur son fils. Beomgyu ne s'est pas lui même remis en question, pas à cause de sa mère, il n'a toujours pas digérait cet événement, mais à cause de Yeonjun, Kai, Taehyun et Soobin, à cause de ces bracelets verts que Yeonjun portait après sa sortie de cet enfer ou encore la voiture grise volant dans les airs.

Beomgyu rit faussement en passant une main dans ses cheveux méchées, il ne sait pas d'où viens cet homme et n'as pas de temps à perdre pour lui, il est venu pour Hana. Son calme habituel face a ce genre d'événement pris vite fin, il attrape le poignet de l'homme avant de lui serré pour lui faire comprendre de retirer sa sale main de ce poignet fragile, l'homme en face de lui grimaça. Ses amis sur qui il peut compter, furent vite irruption, c'est Soobin qui calma d'abord les choses, surtout gêner que Beomgyu se donne en spectacle devant un tas d'étudiants, Beomgyu lâche le poignet de l'homme qui se nomme Yong-sik du département sportif. Soobin avait engagé une profonde discussion avec lui, le brun attira l'attention de Hana en lui lançant des regards remplis de question, qu'elle répondit de la même sorte, à coup sûr cet homme aime Hana, on ne s'inquiète pas autant à une fille sans au fond ressentir quelque chose pour elle. Beomgyu tourna les talons, ne voulant pas entendre le pourquoi du comment, c'est très immature de sa part il aurait pu tout arrangé mais il préfère s'enfuir.

L'amphi, pour cette fois énorme laisse le choix de place, il monte les escaliers deux par deux et arrive en un clin d'œil au fond de la grande salle, il s'installe péniblement avant de passé sa main sur son visage déjà exténué de cette mâtiné. Où est ce que tout cela a commencé ? Pourquoi il a décidé si soudainement de vouloir changé au lycée ? Pourquoi il blesse constamment les personnes à qui il tient ? Toutes ces questions accaparent ses pensées, l'empêchant donc de ce concentré au cour dont le partiel approché à grand pas, à ce moment Beomgyu n'avait qu'une seule envie, de retourner chez lui et de s'enfouir sous ses draps, sentir une chaleur accueillante, sentir la chaleur corporelle d'Hana. Ses joues s'empoupèrent, pensé Hana comme ça le rend encore plus salo qu'il ne l'est déjà, et si Hana croit Yong-sik, si elle croit qu'il n'a pas changer d'un poil ? Beomgyu attrape son sac installé à côté de lui et dévale les escaliers tout en cachant ses joues bien rouges d'une main, il ouvrit la porte d'un coup d'épaule laissant la salle dans l'incompréhension la plus total.

Ses pieds trainant sur le sol faisant voler les feuilles d'arbre tombé, le ciel est encore sombre, la tête baissé il avancé sans savoir où allé, sa poche de son manteau ne faisait que de vibré du aux notifications de ses amis qui ont du sûrement apprendre son départ soudain et commencez à s'inquiéter. Vite exaspéré il le sorti de sa poche, l'écran lumineux éclairé son visage, un appel d'un numéro inconnu et pas qu'un seul, il songe un peu à le recontacter ce fameux numéro inconnu qui l'harceler et décide de le faire.

_ Oui ?
_ Beomgyu c'est toi ? s'exclame la voix à travers le combiner
_ Vous êtes ?
_ C'est maman

Beomgyu se figea nette sur le trottoir, cet arrêt soudain surpris les personnes derrière lui le bousculant, il n'avait pas entendu la voix chaleureuse de sa mère depuis un moment, il compter que sur son père, d'après lui il n'avait plus besoin de sa mère même si au fond de lui la chaleur d'une mère lui manque terriblement. Aucun des deux ne parlèrent, juste le bruit du grésillement de l'appel. Il songea à raccrocher et à bloquer le numéro mais n'est ce pas trop ? Ça la blessait que sa mère ai levait sa main sur lui mais c'est normal vu son comportement, toute mère aurait perdu patience.

_ Qu'est ce qu'il y a ?
_ Tout ce passe bien ? Ton père s'inquiétait aussi vu que tu ne donné plus de nouvelle
_ Je suis occupé en ce moment
_ Tes amis vont bien ?
_ Oui tout le monde se porte bien
_ Beomgyu, s'il te plaît viens passé un séjour à la maison, dit-elle d'une voix désespérée
_ D'accord je peux venir dès aujourd'hui
_ Vraiment ?!
_ Oui

Sa mère s'excita à travers le téléphone avant de raccrocher pour préparé son arrivé, à vrai dire Beomgyu aurait aimé que ça ce passe plus tard, revoir sa mère soudainement le stresse beaucoup, mais l'atmosphère de sa ville natale lui permettrai de changer d'air. Il repris sa marche, comme plus déterminé. Il ne préviens personne, juste l'université pour que l'administration ne le dérange pas à l'harceler d'appel, les garçons comprendront son départ avec le manque d'habits dans le dressing commun. La boule au ventre, Beomgyu monte les quelques marche du bus et rejoint une place à l'écart, qu'elle sera la réaction de sa mère quand elle le verra ?

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Café d'en face. beomgyu Où les histoires vivent. Découvrez maintenant