Chapitre 4: un réveil tourmenté

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Après un moment de plénitude que je sentie ne pas avoir durer assez longtemps, ressenti que j'avais eu l'impression de ne pas avoir ressentie depuis une éternité, je me sentie émerger. C'était confortable, ma première impression fut que j'étais caler dans un lit, c'était doux et chaud, cela faisait du bien de ne plus avoir froid, je sentais que j'avais un peu soif et faim mais rien de très dérangeant. Je n'avais pas envie d'ouvrir les yeux, j'avais juste envie de profiter de ce moment, je sentie aussi les rayons du soleil taper contre ma peau. C'était tellement agréable, j'avais l'impression que tous mes soucis s'étaient envolés. Mais comme d'habitude j'eu une pensée intérieur qui me gâcha le moment présent. "Quel heure est-il? Mon réveille n'a pas encore sonné? Et il fait jour?", je suppose qu'il est encore tôt, j'ai du émerger avant mon réveille mais il ne devrait pas tarder. En tout cas cela fait du bien d'être revenue chez moi. Une part de moi avait hâte de se lever de revoir l'intérieur de ma chambre et d'effectuer mon train-train quotidien. C'est avec cette poussée de motivation, que j'entrepris de me tourner pour passer de ma position sur le coté, à une position sur le dos, je me releva et une fois assis. J'entrepris d'ouvrir les yeux et puis, plus rien. Le choc, l'angoisse, la désolation, le découragement, l'horreur, le dégout,... Tant de mots qui n'arrivent pas à décrire ce que je ressentais, le cadre que j'avais devant moi était magnifique mais ce n'était pas ma chambre. Ma gorge se resserra de nouveau et je ressentis une brûlure que je pensais terminer et j'eu du mal à respirer.

J'étais dans un magnifique lit blanc en baldaquin, dans une somptueuse pièce décorer de magnifique peintures, de plantes, d'ornements et d'autres multiples décorations, il y avait encore des meubles magnifique où il était impossible d'y mettre une valeur stable tellement le prix serait démesuré. Rien n'était à redire, de plus c'était très confortable mais ce n'était pas ma chambre! Et cela ne voulait dire qu'une chose j'étais encore dans ce rêve. J'eu encore des idées risibles qui me survenu, tel que peut être que j'avais étais kidnappé dans la réalité et qu'on allait gentiment me laisser rentrer chez moi. Mais même si j'essayais de me rassurer avec ces propos incohérents, je savais bien que c'était improbable, enfin peut être aussi improbable que d'être invoquer dans un autre monde Mais je devais me rendre compte à l'évidence avec tout ce que j'avais vu, j'étais toujours dans ce monde. Je me mis à regarder mes mains comme assurance de ce que j'avançais à moi même et elles étaient bien petites, de plus mes cheveux mi long argenté vinrent se glisser sur les cotés. Toutes les preuves étaient là. Je suis toujours dans ce que je peux dire un rêve?

Je sentis pour la première fois de ma vie, une crise d'angoisse arriver, je ne m'étais jamais arriver mais tous les symptômes y étaient. Je sentis le besoin de me lever et de prendre l'air. Je lutta contre mon mal être, déplaça la couverture, me mis contre le bord du lit, tourna mes jambes pour me mettre dans une position assise avec les jambes prêts à retomber sur le sol. Car oui ayant le corps d'un enfant, j'eu l'impression que la différence entre le haut du lit et le sol était importante. Je me laissa glisser, mes pieds tombèrent correctement mais mes genoux décidèrent d'en faire qu'à leur tête et ne me portèrent pas. ainsi je me retrouva assise par terre en manque d'air, la porte s'ouvrit et une jeune femme brune avec des oreilles pointu ouvra la porte. Elle passa la tête et me vu par terre dans une position disgracieuse et pas dans le plus beau de mes états. Elle se précipita vers moi. " Mademoiselle, tout va bien! Respirer, tout va bien.", je la regardai et essayer de me calmer, elle fut très douce, elle s'assit sur ses genoux devant moi et prit mes mains dans les siennes. Elle se mit a inspiré par la bouche et expirer par le nez profondément "faites comme moi, tout va bien se passer.", je me mis a faire comme elle et je me calma au fur et à mesure. Durant ce temps je vus un homme brun entrer dans la pièce, il était habillé comme ces majordomes que l'ont peut voir dans les séries, je remarqua que c'était aussi le cas de la femme en face de moi qui était habillé comme une servante. Mes yeux se plongea dans les yeux bruns de la femme pour rester concentrer et continuer de se calmer. Je décida pour le moment d'oublier l'homme de l'autre côté de la pièce, jusqu'à ce que je me calma, la jeune femme me sourit et m'aida à me relevait. Puis elle regarda le majordome qui avait un air assez stoïque, il était assez grand et possédait des lunettes, il était la définition même du stéréotype du majordome dans un livre, un homme assez commun, imposant, sérieux et qui excelle en tout. Enfin la dernière caractéristique était encore a prouvé.

" Mademoiselle, comment vous sentez vous?", il le regarda sans changer d'émotion, on aurait dit un visage figer dans le marbre, "Bien, cela va mieux". Je ne savais pas ce que je devais lui répondre, que répondre à une question aussi courte et comment devais je m'adresser à lui, je ne savais même pas qui il était et où j'étais. Je dirai même que je ne sais toujours pas qui je suis. "Bien alors, la dame ici présente va vous préparez, puis je vous amènerez à votre résidence. Maintenant si vous le permettez je vais préparer votre départ." Ses paroles était dites d'une manière glaciale et il ne se gêna pas a sortir juste après, en vrai je pense qu'il faisait référence à la demeure principale que le duc avait mentionner avant que m'endorme? Evanouisse? Peu importe En tout cas il avait l'air sérieux et déborder, pourtant ça m'étonnerait qu'il est beaucoup à préparer puisque je ne possède rien dans ce rêve? Monde?

Ainsi la servante m'aida à me préparer, ce fut gênant car elle m'aida à prendre ma toilette et ma douche même si pour le coup je lui suis reconnaissance du fait que j'ai l'impression d'a peine tenir debout, cependant même si ce n'est pas mon corps, il est embrassant que quelqu'un m'aide et me regarde me laver quand je porte une tenue d'Eve. Elle m'aida aussi à me vêtir, elle me vêtit d'une robe jaune simple divisant d'un ruban ma poitrine plate d'enfant au reste de mon corps. Durant tout ce temps elle ne fit que me sourire et ne parla point. Peut être quelle était mal à l'aise ou devrais je dire l'inverse, ça devait être surement de la compassion à mon embarras. Puis il y avait aussi le fait que j'avais besoin de réfléchir et de prendre du temps à essayer de démêler ce qui se passe et essayer de comprendre ce qui pourrait se passer. Ainsi elle a du ressentir que je préférai ne pas parler? Encore un débat intérieur qui ne servait à rien mais j'avoue que ça me faisait du bien de ne penser qu'à des choses sans importances, j'avais du ce qui me semble depuis hier, assimiler un nombre in quantifiable d'information. Tien cela est vrai, combien de temps ai je pu dormir? "Dites moi, désolé de vous dérangez, mais combien de temps, ai-je dormi?", "Ne vous inquiétez pas mademoiselle, vous ne me dérangez pas et vous avez dormi 4 jours mais sa majesté l'impératrice ainsi que le docteur du palais a dit qu'il était normalement après votre voyage et votre condition, qu'il en était ainsi". Elle me répondit d'une manière très poli, c'était à la fois satisfaisant mais aussi j'avais l'impression qu'elle dressait comme un mur entre nous. Ensuite 4 jours! C'était énorme, j'ai pourtant eu l'impression que cela n'ai duré qu'une fraction de temps. Et le voyage dont elle parle, elle parle du voyage entre monde? Ou autre car de la manière dont le duc m'à expliquer la situation, ma venue avait de devoir rester secrète. Elle le fit de m'asseoir devant une coiffeuse, un petit meuble très charmant blanc crème qui contrasté avec ce mur vert. Elle me démêla les cheveux et les coiffèrent pendant que j'essayais de me faire à l'idée que le reflet de petite fille qui se dresser devant moi était en faite moi-même.

Quand ce fut finit, elle m'invita à me mettre debout et de la suivre. Elle me guidait au sein de ce palais immense et m'amena à un escalier qui donner vue à un hall avec une porte immense ouverte sur le dehors où le majordome de tout à l'heure avait l'air de m'attendre. Ainsi je descendis l'escalier et une sorte de ranger en ligne de servant de chaque côté s'inclinèrent pour me dire au revoir, ce fut tel un conte de fée. Le majordome se mit devant moi, s'inclina et me proposa sa main. "Si vous le permettez, je vais vous escortez jusqu'à votre diligence." Je lui pris la main et il m'amena vers une somptueuse diligence balance et d'or avec un blason sur la portière, une épée entourait d'un serpent de bleu et d'argent. J'eu l'impression qu'elle était immense, ça devait être due à ma petite taille. En tout cas ça allait être la première fois que je montais dans ce type de locomotion, j'en fus presque exaltais. Je devais surement avoir les yeux brillant car quand le majordome me regarda pour surement vérifier que tout va bien due au fait que je marchais de moins en moins vite, il eu un petit sourire au coin. Une fois devant, il m'ouvrit la portière, m'aida à monter, fermi la portière, toqua sur celle-ci et la diligence avança.

Vies entremêléesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant