Chapitre 2: Un rêve ou une autre dimension

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Comment expliquer que je ne m'attendais pas du tout à ce que je voyais, je venais de passer d'une sorte de donjon sacrificielle d'un style Moyenâgeux,  à l'intérieur d'un palais de style classique qui pourrait concurrencer avec le château de Versailles. Du marbre, de l'or, des pierres précieuses, des tapisseries, des sculptures, des peintures et des ornements décoraient le couloir de manière à faire pâlir certains architectes de cette époque. Sur ma droite se trouvait de grandes portes-fenêtres qui devaient faire 3 fois ma taille et amenaient à des balcons. Ces ouvertures menaient aussi sur un paysage que je pourrait décrire en un mot: FANTASTIQUE. Ce mot représentait à la fois sa beauté mais aussi son coté surnaturel, je pouvais clairement voir que j'étais au sein d'un palais entouré de jardins de fleurs et de forêt propice à une scène romantique autour d'un thé digne d'un comte de fée. Ensuite une muraille encadrait la forêt, au delà de celle ci se trouver surement une ville, je ne pouvais voir de ma position que des toits mais de ce que je voyais, elle semblait assez dense.

Tout en observant le décor surréaliste qui se trouvait autour de moi, un détail me frappa. Ce détail ne m'avait pas ébranlé au premier lieu, car j'étais dans un tel état que je n'avais pas fais attention à la différence de taille et des proportions qui m'entourait, mais l'elfe devant moi semblait être très grande peut-être dans les deux mètres et demi  C'est ainsi que je me mis a regarder le plafond qui était assez éloigner et  les murs aussi étaient surprennent grands, il en était de même pour les objets....Non, je faisais fausse route, je l'avais déjà constater mes mains étaient ridiculement petite, ce n'était pas ce qui m'entourer qui était grand mais c'était moi qui était petite. En réalité si je devais comparer la taille de l'impératrice à celle des meubles qui nous entourer, elle devait faire dans les 1m70.
Ainsi, j'avança vers la plus proche des portes-fenêtres pour observa mon reflet.

Je fus abasourdis et compris pourquoi ce qui m'entourait semblé incroyablement grand. J'étais une enfant! Je me sentis étourdis et fut frapper par des vertiges, ce corps qui était le miens me semblait des plus étranger et des plus réelle. Mes cheveux blanc contrastait avec mes yeux marrons, je semblais des plus minces, à se demander si je n'avais pas était touché par la famine. Ma peau me paraissait tellement blanche au point de semblait translucide, on y voyait mes veines ressortir, mes os ressortaient. Mes clavicules ressortaient au point que je les redécouvraient, il en était de même pour mes bras et jambes qui semblaient tellement mince, qu'on y voyait presque que les os. Ils semblaient pouvoir se détacher à n'importe quel moment. Je compris à ce moment là pourquoi il m'était difficile de me mouvoir, ce corps était faible au point que n'importe quelle personne qui m'aurait regarder aurait cru que j'était en phase terminale d'une maladie grave. Le froid que je ressentais depuis que j'avais ouvert les yeux aussi me paraissait normal, cela ne venait pas du fait de l'endroit fait de pierre d'où je venais, mais c'était due à la chemise fine et blanche, ainsi que du fin pantalon marron qui me servaient de vêtement.

Je pris ainsi le temps d'observais ce corps qui semblait si faible et si misérable et m'interrompis seulement quand j'entendis l'elfe dont j'avais oublier la présence se racler la gorge. Je me retourna pour regarder la dite impératrice qui j'espérai n'était pas en colère ou ennuyait. Mais à ma plus grande surprise ce ne fut pas le cas, elle me sourit. "Ne t'inquiète pas, tu t'en habitueras vite. Tu te sentiras surement dépayser mais cela passera avec le temps. Maintenant suis moi, je dois te présenter quelqu'un, après cela je répondrais au mieux aux questions que tu te poses."

Ces paroles me firent sourire au point que je ne pus en contenir ma pensée, "ne vous inquiéter pas je vais bientôt me réveiller!". Cette pensée était la seule chose qui me permettait de garder les pieds sur terre, mais une fois prononcer, l'impératrice fronça des sourcils et ne me répondit pas. Je sentis d'un coup que l'atmosphère devenait pesant. Cela avait due la contrarié, mais en soit cela ne me dérangeait pas, après tout dans peu de temps j'allais me réveiller et après quelques minutes j'oublierai ce rêve des plus étrange.

Vies entremêléesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant