AMOUR À TOUT Épreuve

Chapitre 1

Cette fois, Jarella était au Eldorado, elle était si heureuse que personne ne pouvait perturber ce moment de joie et de gloire. Oui enfin elle a réussi au concours de médecine,son rêve pourra enfin se réaliser. Tout était génial, mais le bonheur ne dure jamais.
- Jarella, Jarella !
-Oui tante Lysa!
-Ou es tu ?
-Dans la chambre.
-Tu peux venir s'il te plaît ?
Oh Oh danger se dit Jarella, quand tante Lysa est si gentille c'est qu'elle va me punir. Quelle vieille sorcière,je la déteste. Pourquoi a t-il fallut qu'on me laisse sous la tutelle de cette diablesse. Bon allons voir le sort qui m'attend.
À son arrivée, une gifle sismique accueillie Jarella. Étourdi, elle tomba sur le fauteuil juste derrière elle.
-Tante qu'ai je fais pour mériter cette gifle ?
-Tu es née , voilà pourquoi tu mérites cette gifle .Je t'avais interdit de faire ce concours n'est ce pas ? Alors pourquoi l'as tu fais ?
-Je...je...
-La ferme ! Tu voulais faire le même concours que mes enfants n'est ce pas ? Tu n'es qu'une ingrate. Et d'abord, où t'es tu procurer de l'argent pour payer les frais ?
-J'ai... j'ai travaillé ma tante.
-Ah donc tu peux travailler jusqu'à payer les frais de concours.Ok! À partir de maintenant tu payera toi même ta scolarité, compris.
-Mais ma tante c'est moi qui paie mes frais de scolarité depuis la classe de sixième.Alors,ce que vous venez de dire est ridicule.Je me suis toujours débrouiller toute seule ; que ce soit pour la scolarité, la nourriture,les vêtements, même le matelas où je dors, c'est moi qui l'ai acheté.Vous n'avez rien fait pour moi, à part me frapper, me torturer , m'insulter, me donner toutes les tâches de la maison ; alors tante n'avez vous pas honte de...

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'une autre gifle l'atteignit en pleine figure.
-Comment oses tu parler de ma mère ainsi ?
C'était Sonia ,la fille de ma tante.Trop
c'est trop. Furieuse, Jarella se releva avec vivacité et asséna une gifle volcanique à Sonia, qui alla aussitôt s'écrouler sur sa mère.
Jarella avait déjà trop supporté , trop
de coup reçu, il fallait en finir et vite. Elle se souvenait comment Sonia et Demetrio son grand-frere la battait devant sa tante sans qu'elle n'intervienne. Et lorsque j'essayais de me défendre, elle venait aussi pour me battre. Mais tout cela était avant, maintenant je suis une femme âgée de vingt et un ans , possédant une licence en biologie animale et bientôt futur médecin. Donc,si elles veulent la guerre,et bien elles l'auront.

-Tu as l'audace de gifler ma fille sale garce ?
Elle voulut gifler Jarella, cette fois ci, elle ne se laissa pas faire , d'un geste vif, elle arrêta la main de sa tante en plein élan.

-Tante ou devrais je dire Lysa, écoute moi bien. C'est la dernière fois que tu lèves tes fibres que tu considères comme main pour me toucher. Si non, la prochaine fois,je te briserai le bras.

-Tu me tiens tête ;tu oses me tenir tête ?Moi qui t'ai recueilli , c'est comme ça que tu me remerci. Ça ne m'étonne pas, tu es comme ta mère, une sale hypocrite.

-Tu as fini de jacasser, stuiiiip. Tu dis tout ça parce-qu'elle n'est plus là, mais de son vivant, tu venais chaque fois chez nous pour demander de l'argent et à manger. Maintenant tu fais comme ci c'est toi la gentille stuiiiip n'importe quoi. Je te rappelle que la maison où tu vit avec tes chiens d'enfants appartient à cette sale hypocrite comme tu le dis. Donc normalement cette maison est la mienne, alors je vous prie de débarrasser le plancher et d'aller vous cherchez ailleurs.

-Tu rêve pauvre cloche. Ici la seule qui va dégagé c'est toi .

-Demetrio, mon fils enfin te voilà ; cette chienne a osé lever la main sur ta sœur et moi. Chassons la d'ici, qu'elle aille dormir dans la rue comme la chienne qu'elle est.

-T'inquiete maman, je venais comme ça la chassé. Quand j'ai appris qu'elle avait réussi au concours de médecine niveau licence, alors que Sonia et moi avons échoué , cela m'a révolté.

Alors là, c'est le comble se dit Jarella ; pendant que moi j'étudiais, eux ils jouaient et prenaient du plaisir à me torturer. Le seul endroit où je pouvais étudier était la maison du voisin. Son fils Mario et moi étions dans la même salle et préparions ensemble le concours. Grâce à DIEU, nous avons tous deux réussi,et eux ils osent... Furieuse, Jarella éclata de colère.

-Ah bon si ça t'énerve saute et cale en l'air ! Car si tu avais étudié ta sœur et toi vous auriez eu une chance. De toute les façons c'est bon pour vous, c'est certainement votre punition pour tout le mal que vous m'avez fait endurer depuis mes dix ans.

La ferme s'écria Demetrio, il courut vers moi et m'empoigna par le cou. Il allait m'étrangler et ma tante ainsi que ma cousine étaient contentes ; donc elles voulaient ma mort, et bien je ne les feraient pas ce plaisir. D'un geste Vif, elle donna un coup de genou aux couilles de cet enfoiré.

-Aie, Aïe, cette diablesse m'a pete les couilles !
-Mon fils ça va ?
-Non j'ai super mal, aïe !
- Ça t'apprendra à me chercher les noises.

Dans un geste de fauve, Sonia s'agrippa à Jarella et lui crêpa le chignon, mais malheureusement pour eux, dans le but de se protéger, Jarella avait suivi des cours d'auto défense dès l'âge de quinze ans. À présent elle était une experte en combat ; et c'est avec facilité qu'elle maitrisa Sonia et lui asséna un coup de poing qui l'a mise KO.
-Vous savez quoi bande de chiens, je quitte cette putaine de maison, pas parce-que j'ai peur de vous, non loin de la cet idée, si je pars c'est parceque je suis fatiguée de vos conneries. Donc je vais rassembler toutes mes affaires et m'en aller.
-On verra comment vous vous en sortirez sans bonniche pour vous faire tout le travail.

Sur ces mots, elle se mit à rassembler toutes ses affaires et à faire sortir de la maison. Je dois l'admettre se dit Jarella, que je n'ai pas beaucoup d'affaires, juste ma valise, mon matelas, et mes draps. Je n'avais qu'une seule paire de chaussure et si je faisais l'erreur d'en acheter une nouvelle, Sonia et sa mère me les voulaient. Donc mieux valait garder le strict nécessaire avec elles dans les parages. Mais je devrais,peut être les remercier car grâce à ce mode de vie, j'ai pû économiser énormément d'argent. Maintenant j'avais de quoi quitter ce quartier qu'on appelle New-belld.  C'est avec prestance, élégance et joie que je quitta New-belld et alla m'installer à Nyalla Pariso, dans une magnifique chambre située au cinquième étage d'un immeuble à sept étages. J'avais repéré cette chambre lorsque nous étions Venus mes camarades et moi pour le voir bébé de notre amie. Cette chambre était magnifique et très bien aérée, il y avait même une douche interne ; le seul inconvénient était la montée des escaliers, mais bon faire du sport est bénéfique pour la santé. Arrivée dans ma nouvelle demeure, la seule chose que voulais s'était dormir . Et avec impatience que je m'endormis sur mon bon matelas, le cœur léger et fière d'avoir réussi à sortir de cette maison de torture.