Chapitre 13

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Après ces mots, le sur-moi du psychisme de Mario lâcha et pour la première fois, son moi fit place à ses désirs.  Avec une rapidité supra-lumineuse , il attira Solange dans ses bras et l'embrassa. Ce fut un baiser tellement passionnant et vigoureux. Solange se perdait dans toute cette passion, les baisers de Mario, la rendait fiévreuse, elle en voulais encore plus.  Elle noua ses bras autour de son cou et l'embrassa de plus belle.

Mario, se mit à explorer son corps, de ses baisers. Il voulait connaître chaque partie de son corps, et continuait son inspection jusqu'au niveau de son bas ventre.
Solange était brûlante, jamais elle n'avait ressenti cela, son corps tout entier était en feu et réclamait encore plus. Elle voulait faire plus qu'un avec Mario, et n'hésitait pas à le lui faire savoir. Chaque fois  qu'il déposait un baiser sur elle, qu'il explorait son corps, elle éprouvait tellement de satisfaction. Puis, elle ota son t-shirt et fût suprise de voir un corps splendide. Elle qui pensais que Mario était mou, fut choqué de voir des abdos et pectoraux saillants qui attendaient juste d'être caresser. Ensuite, sur le point de s'évanouir de plaisir, elle s' occupa du pantalon et du bermuda de Mario. Elle fut doublement choquée de voir une érection aussi grande et solide.  Un véritable Bloc de béton armé se dit t'elle. Son excitation accrue, elle voulait sentir cet engin en elle et se languissait de cela.

Ensuite, Solange sortit un préservatif et l'enfila sur le sexe de Mario. Puis, Mario la coucha et la pénétra délicatement.   Se fut tellement délicieux pour les deux, qui ne faisaient désormais plus qu'un.  Dans un élan de passion, Mario se mit à bouger. À chaque coup de reins, Solange ne pouvait s'empêcher de pousser des gémissements, tellement elle aimait ça. Elle voulait encore et encore. Elle voulait qu'il la pénètre plus ardemment et plus profondément.  Ce que fit Mario. Il se mit à augmenter la cadence à chaque coup de reins et la pénétrait de plus en plus profondément. Solange était en extase, elle était totalement emprisonnée dans les cages du plaisir. Et ne pouvait s'empêcher de crier le nom de Mario.
À chaque fois qu'il pénétrait Solange, Mario était encore plus gourmand . Il voulait encore découvrir les profondeurs de Solange. Son corps était en symbiose avec le sien et répondait à chaque demande. C'était tellement extraordinaire, c'était sa première fois, et il ne voulait pas décevoir Solange. Il fallait qu'il puisse la satisfaire, bien qu'il ne soit pas expérimenté dans ce domaine.
C'est dans un dernier coup de maître que Mario et Solange jouirent  ensemble. Totalement enlacés et épuisés.

Bonapriso,

- Ne devrions nous pas rentrer, mon cher maître danseur ?
- pourquoi êtes vous si pressé de rentrer, vous avez des idées en tête ?
- Désolé mon minou, mais c'est pas du tout à quoi tu penses. C'est juste qu'il est déjà trois heures du matin et j'ai un exposé à finir.
- D'accord, mademoiselle l' intello, je vous raccompagne tout de suite.
- OK. Attends je prends mon sac, ensuite nous pourrons rentrer.

À ndokoti,
- Allô ! Oui belle dame.  Nous sommes en position Depuis des heures et nous attendons seulement leur arrivée. Ne vous inquiété pas, le travail sera fait. C'est quand même le moment de notre vengeance, pour ce qu'ils ont fait a Démétrio. Donc ne vous en faites pas.

New-belld,
-Très bien ! J'attends vos nouvelles.
Enfin je vais pouvoir me débarrasser de Jarella. Hahahaha.

Bonapriso,
- Dan.
- Oui, mon papillon.
- j'ai, un paquet à récupérer à hari. Donc, mieux nous passons par yassa.
- OK, je pense que c'est mieux ainsi. J'avais aussi des trucs à faire sur ce chemin. Aller monte.
- Merci très cher.
- De rien, ma belle.

Des heures s'écoulèrent, et les balafrés ne virent point la voiture de Dan. Ils étaient troublés. Pourquoi mettent  ils autant de temps, le jour se lève déjà, demanda l'un d'entre eux.
- franchement, moi-même je ne comprends. Nous ferrons mieux de partir, avant que des gens ne nous remarques.
- D'accord et n'oublions pas de prévenir Sonia que le plan était un vrai échec.

Pariso,
- Merci de m'avoir raccompagner Dan.
- C'est normal, ma chérie.N'oublie pas que nous sommes voisins. Alors ai je droit à un cadeau ? Dit il avec un sourire sournois.
- peut être bien !
-  Dans ce cas pourrais je l'avoir ? ET
Tout de suite.
- Malheureusement pour toi non. Tu devras attendre.
- Non ! C'est pas juste ! Tu es méchante, pourtant moi j'ai un cadeau pour toi.
- C'est vrai ! Dans ce cas, donne. S'il te plaît !
-D'accord ! Mais d'abord je veux un bisou.
- OK ! Monsieur le capricieux. Tu auras ton bisou.

Jarella s'approcha lentement. À chaque pas qu'elle faisait, son cœur battait encore plus vite. Elle savait qu'elle jouait un jeu dangereux, mais ne pouvait s'empêcher de le faire. Le cœur battant à tout allure, elle se tint au niveau de Dan et leva un peu les pieds pour l'embrasser à la joue, mais Celui-ci se tourna et pris ses lèvres. Elle fut d'abord choqué et se Hatta de reculer, mais, Dan l'attira près d'elle et l'embrassa de nouveau. Se fut un baisé doux à la fois passionné.
Jarella ne pouvait le nier elle était totalement sous l'emprise. Le baisé se prolongea devenant de plus en plus fougueux, sensuelle. Dan l'agrippa la taille et la flaqua au mur. Puis se mit à la  caresser . Les deux tourtereaux étaient en feu, lorsqu'un voisin vînt.

- ahum ahum, désolé de vous dérangez mes chers amoureux.

C'est le moment, s'écria la conscience de Jarella. Profite de cet occasion et reprend toi. N'oublie pas ton serment et la promesse faite à ta mère. Comment pourrais je oublié, jamais je ne faiblirai répondit Jarella.

- Non monsieur Ewane, vous ne nous déranger pas. Répondit, Jarella tout en se libérant de l'étreinte de Dan qui était on pouvait le voir, furieux de la venue de Monsieur Ewane. Monsieur Ewane était notre voisin de l'étage juste sous le notre. Il est marié à une femme magnifique d'origine ivoirienne et a trois magnifiques enfants. C'est un homme dans la quarantaine, avec un physique plutôt pas mal et en plus il est pasteur. Il m'avait demandé il y'a de cela quelques jours si je pouvais aider hermine sa première fille et aîné dans ces études, vu qu'elle prépare son baccalauréat technique ( filière médicale). 

- Ouf ! Je dis ça, Parceque vu la scène dont j'ai interrompu, je....
- Ne vous inquiétez pas monsieur Ewane, Dan s'apprêtait à partir, n'est ce pas ? Dit Jarella tout en se tournant vers Dan.
- OK ! J'y vais, j'ai un travail à faire. À plus, mais dès que je rentre, je viendrai te voir, j'ai encore ton cadeau et j'attends le mien chuchota t'il à l'oreille de Jarella, qui se mit à rougir.
- Au revoir, monsieur Ewane.
- Au revoir Dan, soit prudent.
- Merci ! Dit il en s'éloignant.

Jarella resta quelques temps pensive. Qu'à t'il bien dans la tête Celui là.  Comment ça il attend le mien ? À quoi faisait il allusion ?

- Jarella, on dirait que tu es perdu dans tes pensées.
- pas du tout, répondit elle , ayant repris ses esprits. Alors, Monsieur Ewane, pour votre fille.
- Oui, c'est la raison de ma venue. Vous savez ses notes ne font que chuté  de jour en jour, c'est vraiment inquiétant.
- je comprends. Ne vous inquiéter pas, je ferai tout pour qu'elle puisse travailler aussi bien qu'avant.
- Merci énormément, Jarella. Vraiment, merci. Tu es tellement gentille, que Dieu te bénisse.
- je vous en prie, et merci d'avoir confiance en moi.

***
- Comment ça, le plan est un échec ? Vous n'êtes que des bons à rien.
- Du calme, Sonia. C'est pas nôtre faute s'ils ne sont pas venus, peut être qu'ils ont passé la nuit à l'hôtel.
- Sa suffit OK. Si c'est tout ce que tu avais à dire alors dégage.
C'est pas possible,aaaaargh. Maudite Jarella, pourquoi il faut toujours que la vie te sourit. Tu as toujours les bonnes choses et moi rien, aaaaargh. Je te déteste tellement, c'est une horreur que je sois ta cousine. Je ne vais pas rester là te voir vivre heureuse et avoir tout ce que j'ai toujours voulu. Jamais, jamais tu m'entends. Si seulement je savais ou tu vivais, j'a.... Mais Oui, pourquoi n'y ai je pas penser .

 AMOUR À TOUT ÉpreuveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant