𝐌𝐘 𝐖.𝐀𝐘 ⸃⸃ [En Pause]

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Chapitre 2

                         Le dessous de son arrière placé contre le véhicule de police, ces deux bras croisés sur sa poitrine, recouvert d'un épais drap bleu -sur l'un des équipiers le lui en avait donné- dans le but de garder cette flamme qui l'a réchauffait affectueusement.
Elle était dans son monde, jusqu'a ne plus pouvoir penser. Le regard abattue, les craquements et le tapage que faisait les personnes autour heurtaient ces deux tapettes à tout instant. Les passagers qui avaient pour habitude de traverser cette chaussée à pied, étaient scandalisés de l'humain décédé. Cependant, les policiers s'occupaient des traces afin d'y trouver une attaché à toutes ces complications.

Elle était ruinée, dégoûtée et exaspérée...Comment allais-t'elle faire désormais ? Elle n'avais, de nouveau, plus aucune famille et cette histoire allait se répandre dans toute la ville...

Auparavant, depuis le lever du jour, Soo-ah n'avait pas vraiment vécu de si belles histoires d'échardes de roses racontées aux filles. Vous savez, ces contes
quand les princesses vivent dans le bonheur ? Mensonge.
Elle avait pourtant essayée d'y croire il y a déjà quelques années, mais les conséquences en on fait qu'elle ne voulais plus utilisé tant d'énergie... Une sensation comme-ci le monde c'était tourné contre vous.

L'ébène ferma les yeux, inspirant tendrement l'air frais. D'un coup sont chagrin c'était métamorphosé en une fureur mortelle, une fureur offensive... Elle voulais savoir, elle voulais comprendre ! Pourquoi lui ? Pourquoi faire cette chose... totalement horrible ?

La mâchoire serrée de ces huit molaires blanches, Soo-ah se baignait dans une mer de rage a l'état rougeâtre.

La jeune coréenne retira calmement le tissus qui recouvrait son corps chaud qu'elle déposa sur le toit de la grande bagnole. Sans attendre la dénommée se hâta d'aller retrouver son policier. Son nom était affiché juste au côté de son enseigne de police, "monsieur Park Joon." Il était d'une grandeur au delà des un mètre quatre vingt. La mâchoire carré se traçait parfaitement bien sûr le côté et redescendait jusque son menton droitement fait.
Sa face était d'une beauté et sa peau d'une douceur...
La peau de ces joues étaient toutes fines, légèrement creusées vers l'intérieur de nuance rougeâtre dût au vent d'automne. Ces iris étaient marrons et de ces yeux bridées tel un coréen s'ajoutaient ces cils noir. Sa chevelure cachait son bas front et le derrière s'arrêter sur sa nuque. Il était grand, fort, le visage frais porté d'une tête pleine d'intelligence et de volonté. Ces taches de rousseur étaient magnifiquement bien dessinés sur son agréable personne, différentes de ces rougeurs installés sur ces deux pommettes passant par son fin nez.

Enfin, arrêtons nous la. C'était disons, l'homme parfait détaillé des critères de beauté en Corée.

« Alors... des nouvelles Monsieur Joon ? » la tête légèrement penché sur le côté elle déposa son intention sur la porte d'entrée de sa demeure.

« Malheureusement non. Nous n'avons encore aucune preuve. La seul chose que nous savons c'est que votre père c'est fait poignarder. Une marque de couteau y es au niveau de sa poitrine. Il ajouta un léger soufflement de nez.  Lorsque nous aurons des preuves, vous serez la première à le savoir. »

Génial. Elle avait raison, il c'était fait tuer. Elle était furieuse en imaginant combien il avait souffert jusqu'à son dernier souffle...
Puis, elle ne parvenait pas à réaliser cette mort soudaine, et se dire... que plus jamais elle ne pourras voir cette personne, était l'une des choses les plus horribles...

***

Ces deux fesses posées sur le rebord du trottoir, les bras entourant ces jambes et sa tête posé sur ces deux genoux. Une heure était déjà passée, puis deux, puis trois et quatre... mais aucune réponse des policiers. Il était déjà vingt deux heures, le soleil avait disparue laissant sa place à la pleine lune et il ne restait plus qu'un seul policier ; Joon'.

Tout était sans espoir. Même ces hommes n'arrivaient pas à trouver une seule trace. C'était pas bien difficile non ! Juste essayer de retrouver les empreintes digitales, ce n'étais pas grand chose.

Calmement Soo-Ha se redressa en s'appuyant sur ces deux pieds, à plat contre le sol refroidi par l'air. Sans faire de bruit, la jeune coréenne pénétra dans la demeure triste et nu, allant directement dans le salon. Le cadavre qui était ici présent il y a quelques heures avait été emmené dans un laboratoire afin de s'y faire examiner. Enfin, l'odeur du liquide rouge et visqueux était toujours présent. Quand a Monsieur Joon, il était juste dans la salle a coter, - la cuisine - . Il semblait ne pas l'avoir vue.
Le petit outil constitué d'un manche et d'une lame tranchante, permettant de couper était allongé sur l'un des meuble en bois.

Elle comptait le faire d'elle-même. Elle voulais aller faire examiner ce fameux coûteux.
Il était enfermé dans un petite sachet en plastique pour n'a pas que d'autre idiot puisse rajouter leurs empruntes. Cet objet était sa seule espérance.

Sans trop perdre de temps, la jeune coréenne attrapa le sachet avant de s'en aller, divulguant la petite cours d'entrée.
Il lui faillait trouver un laboratoire.

Finalement son ventre criait famine, son corps avait besoin d'énergie et elle avait un mal de chien à la tête. Son envie de se jeter d'un pont grandissait mais elle voulais tout d'abord, résoudre cette affaire. Heureusement qu'elle avait quelques billets dans sa poche, histoire de s'acheter du Kimbap et une boisson bien fraîche.

Au bout de la rue ce trouvait une petite épicerie. Elle y allait souvent quand elle était petite et le vendeur la connaissait parfaitement.

Posant sa main sur la poignet en métal de la porte en verre ou été affiché une petite PLV imprimé, Soo-Ha poussa celle-ci.

« Bonjour Soo-Ha..! Les policiers ont prévenu toute la ville et tous passe aux informations... » il détourna son intention vers la petite télé qui était fixé dans le creux du mur blanc.

La noiraude remonta son regard. Les cheveux complètement mouillé, elle enfila sa capuche. Elle alla faire le détours des petits rayons. Le plus vieux resta immobile, dans l'ignorance. Il comprit, elle ne voulais pas parler, alors il alla s'installer en douceur derrière sa caisse.

Une douleur placide pesait dans la boutique. Les gouttes qui ce brisaient en grands nombres contre le cristal donnait une agréable audition. Elle s'en voulais de ne pas l'avoir répondu. Après tout, il n'avait rien fait dans cette lourde histoire. Ce silence devenait emmerdant. Un instant, la petite clochette tenu par le bout d'un fragile file blanc planté dans le plafond, ce fit frapper contre la porte. La boule bougeait de gauche à droite, tout en créant une mélodie aigüe. Une personne venait d'entrée. Finalement, plusieurs. Diverses pas baignaient ce vacarme.

La jeune femme opta pour des nouilles instantanées en bol.

« Bonsoir. Un large sourire plaqué sur la face, le blondinet posa à plats ces deux mains baguées contre la table, devant la caisse. On recherche ici une jeune femme du nom de, Hwang Soo-ha... Discrètement, il tourna ses deux pupilles sur le miroir de surveillance collé au plafond la où été la recherchée. Quelques unes de ces mèches retombées sur ces cils. On l'a vu entrée. Dite moi, elle n'est pas repartie mh ? » Rajouta t-il en déposant une nouvelle fois son intention sur le vendeur.

21.05.2023