Un Monde

Chapitre 10: Nouvel Horizon!

Grâce à la potion de rapidité de Jeanne une force incommensurable s'en prit de moi, je me sent revivre. Tous ensemble nous nous mettons a courir et comme prévu nous somme comme emporter vers l'avant. Je ne sent pas mes jambes bouger, je me sent comme un oiseau. J'ai l'impression de voler je ne me fatigue absolument pas, c'est formidable! Après quelques minutes nous apercevons parmis les arbres une grande clairière d'herbe verte nous étions enfin sortis de cette forêt humide et sombre. Les rayons du soleil commençaient à me manquer. Nous continuons de courir et toujours aucun village au alentours une grande chaîne de montagne se dessinait à l'horizon.
Tout à coup Jeanne s'arrête.
'' vous avez entendu ? S'exclama-t-elle.
-Non que se passe t'il ?''
Nous tendons tous attentivement l'oreille. Un rire se dessine de plus en plus clairement un enfant certainement Nous avançons vers ces rires apresent distinct. Discrètement cacher derrière un rocher Nous observons la scène deux enfants essayant de s'attraper l'un l'autre en rigolant. Puis très vite Nous demandons ce qu'ils font ici en pleint milieu de nulle part. Peut être qu'au final un village n'est pas loing. Nous décidons finalement de les observer et attendre qu'ils partent essayer de découvrir un nouveau village le moment fus vite arriver une grande dame au cheveux châtains attacher en un chignon lâche maltraité par le vent
Arriva en criant à travers les bourrasques de vent des mots que nous n'entendons pas mais à ces mots les enfants se mirent tout deux à courrir vers cette dame qui devait être leurs mère. Nous les regardons discrètement s'éloigner vers l'horizon jusqu'à les voir mystérieusement disparaître. Étonner nous courrons à l'endroit où nous les avons vu disparaître rien aucune trace ils se sont volatilisé. Déçus nous continuons de marcher essayions de trouver un endroit pour la nuit. D'un coup je me sent mal. Ma vision s'assombrit jusqu'à ne plus voir. Une douleur à la poitrine m'empêche de respirer normalement, perdue la panique s'empris de moi. Plus les secondes passe plus je me met a retrouver la vue je suis dans un endroit inconnu. Des commerces, des habitations, des habitants tout peut faire penser à un village tout à fait ordinaire. Comment ai-je fait pour me retrouver ici ? Où sont passer figaro et Jeanne?
Pour essayer d'y voir plus clair je me met à me balader personne n'a l'air de faire attention à ma présence tout semble dans son cours habituel il faut que je sorte de ce village je vais voir une vieille dame assise près d'un pont au bord de l'eau elle me regarde le visage atendris:
"Oh une petite pâquerettes, que tu est joli dans la fleur de l'âge comme dit on Alors, dit moi mon enfant pourquoi le vent t'a t'il amener à moi!
Sa voix et si douce elle parais vraiment joyeuse rien qu'à la voir elle donne le sourire c'est vraiment contagieux
- Je me suis perdue, je marchais et je suis attris ici.
Un papillon se pose sur sa main fragile
Elle me regarde et dit en chantonnent
-Non non non tu ment impossible impossible!
-Si c'est vrai je l'assure!
-je te crois. Chantonne t-elle. Tu as un cœur pure que veut tu. Tu verras ce village n'est pas si mal! On s'y amuse comme des fous!
-Moi je ne veux pas vraiment rester je voudrais savoir comment on sort de ce village.
-Imposible! Cria t'elle, elle se reprit. Non non non c'est pas possible tu peut pas, tu peut pas.
-pourquoi!
- il y as un sort on peut plus on peut plus.
- quel est ce sort ?pourquoi il nous empêche de sortir.
-Oh que tu est curieuse j'aime beaucoup beaucoup!
-Je ....
-Ettt.. c'est pour sa que je vais te le dire
Me coupa t-elle
Oui oui je vais te le raconter!
Y a longtemps vraiment vraiment longtemps. Il y avait des gerres de mages pour pleins pleint pleiinnns de raisons. Et ducoup dans le monde il restait très peut oui vraiment peut de mages au cœur véritablement pur. Mais maintenant il y a ici !
-Cette ville.. Ici tout le monde ici a le cœur pur?
- Oh oui oui tu as bien compris!
-Comment vais-je faire pour partir d'ici.
-Mais tu n'a pas besoin de partir ici tout est simple est pur
- Rien que le fait d'être enfermer ici ne rend pas du tout cette endroit ''pur''
- C'est un cadeau tu est protéger de toutes les mauvaises ondes extérieures !
- Ce n'est pas bien grave je trouverais la solution par moi même...
-Attend ne part pas si vite !
-vois n'avez plus rien à m'apprendre
-Oh si si! Un dernier indice ceux qui n'ont pas le cœur pur sont expulsés renvoyer directement oui directement!
-Attendez vous avez dit ...''
Sur ces derniers mots elle part comme si elle ne m'avez rien dit malgré mes autres questions elle fis semblant de ne rien entendre.
Je me retrouve seule dans les rue de cet étrange village. Je n'ai rien absolument plus rien mon sac est tomber quand je suis arrivé ici. Je n'ai même pas d'endroit pour dormir. Ni même de quoi manger. Je dois chercher une auberge. Je continue de déambuler dans les différents quartiers commerciaux de ce village. Je suis fatigué je m'inquiète pour Jeanne et Figaro la nuit vas bientôt tomber j'aimerais beaucoup les revoir leurs dire que je vais bien et continuer de marcher à leurs côtés trouver un village... ensemble.
Je finis par trouver une auberge dans un coins égarer certe peut accueillante mais je n'ai pas le choix là nuit est tomber depuis 1h environ.
Une femme m'observe depuis son balcon, juste au dessus de l'enseigne c'est sûrement la propriétaire le la salut d'un geste amicale et elle me souris en retour. Je lui demande si je peut entrer dans l'auberge puis elle hocha la tête. Avec son accord je pousse la porte en bois de cette vieille auberge une fois à l'intérieur une odeur de poussière me prend le nez puis me fait tousser la femme me rejoint, avec un grand sourire elle me dit bonjour d'une voix enrouer mais est d'une énergie sans égale elle me trouve une chambre pour à peine 10 yuni très charmante très convivial et confortable
Figaro et Jeanne me manquent je me demande vraiment ce qu'ils font et où ils sont...