Chapitre 13

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Tout d'abord, je tenais à m'excuser pour le long délais entre le dernier chapitre et celui-ci. J'espère faire mieux pour les prochains. Malheureusement, le temps me manque c'est temps-ci. Bref, bonne lecture! 

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Quelques semaines avaient passé depuis le bal d’Halloween, mais Fred et Hermione n’avait pas eu l’occasion de se retrouver seule toutes les deux, jusqu’à un magnifique après-midi de novembre. La neige tombait doucement dans le parc et les plus jeunes s’adonnaient avec plaisir aux activités que cela leur offrait. En effet, une dizaine bonhomme de neiges avait subitement poussé dans le parc. Les plus vieux quant à eux faisaient voler les balles de neige. Plusieurs passants avaient donc reçu plusieurs projectiles perdus. La petite gang que formaient les Weasley, Harry, Hermione et la nouvelle copine de Ron, Parvatie s’était joint aux batailles dans le parc.

-      Hermione! As-tu froid? Tu as les lèvres bleutées! s’inquiéta Ron.

-      Oh oui, le sort ne doit plus faire effet, je suis complètement trempé. Je vais rentrer! On se voit tout à l’heure les garçons.

-      Attends-moi! cria Fred en arrivant, je ne sens plus mes pieds, je vais monter me changer et me réchauffer aussi.

Ils s’éloignèrent tranquillement de la bataille qui faisait rage.

-      Je n’ai pas eu l’occasion de te dire merci pour la belle soirée d’Halloween que j’ai passé avec toi Hermione, dit Fred.

-      Oh moi aussi, j’ai beaucoup aimé, alors merci à toi aussi. Pour la nuit, je…

-      Je m’excuse, je n’aurais pas du profité du fait que tu as peur des orages, la coupa-t-il.

-      En fait, je voulais te dire que j’ai beaucoup apprécié.

-      Oh, en fait moi aussi et si ça arrive encore n’hésite pas à revenir.

Elle ne répondit rien, mais lui fit un grand sourire. Arriver à la salle commune ils montèrent les marches et se regardèrent d’un air gêné. Fred rougit légèrement en lui proposant de venir se réchauffer dans le dortoir des garçons. Ce qu’elle accepta en rougissant à son tour.

Elle s’approcha du foyer pour réchauffer ses membres congelés. Lorsqu’elle leva les yeux, ce fut un jeune homme en boxer bien musclé qu’elle vit. La chaleur qu’elle ressentait ne provenait plus uniquement du feu. Une douce chaleur irradiait de son ventre. Les papillons qui voletaient dans son estomac y étaient sans doute pour une bonne partie.

-      Oh et puis merde! dit-elle en se jetant sur Fred pour l’embrasser.

Les sensations. Ses lèvres qui cherchaient désespérément les siennes. Ses mains qui avaient fait leur chemin sous son chandail. Cela lui provoquait des frissons. Elle caressa doucement son torse d’une main et plaça l’autre derrière sa nuque pour lui caresser les cheveux et le cou. Fred lui retira son chandail humide et ses pantalons complètement trempés.  Ses mains parcouraient sa peau laissant une ligne de feu sur son passage. Tranquillement, il l’attirait vers le lit. Sa bouche avait entrepris l’exploration de son cou arrachant des gémissements de plaisir à la femme qu’il aimait. Doucement, il la prit par la taille pour la déposer lentement sur le lit. S’installent par-dessus elle, il délaissa son cou pour descendre de plus en plus bas. Commença par la poitrine en lui retirant son soutien-gorge, se délectant des sensations qu’il lui provoquait. Des frissons parcouraient sa peau claire. Il embrassa ses seins un moment, puis les prit dans ses mains pour titiller ses mamelons. Les gémissements de sa belle se faisaient de plus en plus rapprocher, mais il savait qu’il ne faisait que commencer. Il descendit encore sur son ventre embrassant chaque parcelle de peau qu’il pouvait. Il arriva ensuite la partie qu’il attendait le plus. D’un geste doux malgré l’impatience qui l’habitait, il fit glisser doucement le dernier morceau de tissus. Tout en descendant, il embrassait les jambes de la jeune femme. Lorsqu’il eu enlever ce dernier contre temps, il s’attaqua avidement au petit bouton d’or de son amante. Elle se tordait de plaisir sous ses coups de langue experts. Lorsqu’il la sentit prête à jouir, il attrapa sa baguette d’une main pour faire apparaitre un condom. Au moment de son apogée, il s’enfonça rapidement en elle décuplant les sensations de son orgasme. Il lui laissa le temps de reprendre ses esprits en l’embrassant tendrement puis il commença un va-et-vient lent en elle. Les ongles de sa compagne atterrirent vite dans son dos lorsqu’il accéléra le mouvement. Ils gémissaient tantôt ensemble, tantôt à l’unisson. Le deuxième orgasme d’Hermione vient rompre les toutes dernières résistances qui permettaient à Fred de continuer. Il la suivit de peu en éjaculant en elle. Haletant, il lança un second sort pour les nettoyer.

-      Tu crois qu’on pourrait faire une petite sieste demanda Hermione qui somnolait.

-      Oui, avec plaisir mon adoré, lui répondit-il en lançant les sorts aux rideaux pour ne pas être déranger.

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-      Maitresse?

-      Oui, Pastelle?

-      Pastelle voudrait vous présenté les deux nouveaux elfes que Pastelle à trouver pour miss et monsieur.

-      Oui, bien bien.

-      Voici Krimbi et Chevy.

-      Parfait, leur as-tu expliqué leurs taches?

-      Oui, puis-je suggérer à madame de mettre Krimbi au service de Miss Adaline? Il a beaucoup d’expérience en coiffure.

-      Oui, d’accord, et toi Chevy en quoi es-tu le plus doué?

-      Chevy est très doué en cuisine, madame, particulièrement pour les desserts et les pâtisseries.

-      Oh...

-      Madame n’aime pas les qualités de Chevy, demanda le petit elfe paniquer.

-      Non, non, pas du tout, au contraire mon mari sera ravit, j’espère juste qui ne prendra pas trop de poids…

-      Chevy espère aussi madame.

Narcissa congédia les deux elfes et demanda à Pastelle si les chambres étaient prêtes.

-      Oui, madame les chambres est prête. Monsieur, monsieur et miss arriveront quand?

-      Lucius devrait être libéré d’un jour à l’autre, j’aimerais qu’il reprenne des forces et du poids avant que nous mettions les enfants au courant.

-      Monsieur Drago n’est pas au courant?

-      Non, il aurait trop bien pu révéler l’existence de sa sœur par accident.

-      Bien, autre chose madame ? Pastelle irais préparer le souper avec Chevy et Krimbi.

-      Non, tu peux y aller.

Une année différenteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant