chapitre 6

1.4K 33 1
                                    

J'étais actuellement au pub, il étais 20h, le jour étais encore présent, et il faut dire que j'avais le trac. J'étais au téléphone avec Inès qui elle aussi avait le trac pour son fiancé.

Inès: Je vais faire une crise je te préviens, je veux venir avec toi au pub pour ne pas être loin.

Moi: Non il ta explicitement ordonner de rester chez toi.

Inès: Et toi alors John ne t'a pas dit de pas travailler ?

Moi: Si, mais moi je suis son infirmière donc je suis utile sur place.

Inès: Ouais l'excuse, mais si tu entend des coup de feu, cache toi ! je veux pas perdre ma meilleure amie

Je sourie, on ne se l'étais jamais dit même si au fond je savais qu'elle étais aussi ma meilleure amie, ça me faisait plaisir de l'entendre, je n'étais plus seule.

Moi: T'inquiète pas, j'ai déjà promis à John de ne pas sortir.

Inès: Très bien. Ah, sa sonne chez moi, je te rappelle bisous.

Moi: Bisous.

Et on raccrocha, je me mît à faire la vaisselle pour m'occuper et essayer je dit bien essayer de me distraire quand la porte du pub s'ouvrît. C'était John, avec comme un fusil de chasse à la main.

Moi: Quesque tu fais la ?

John: Je suis venu t'apporter ça. Dit-il en sortant un petit revolver de son manteau.

Moi: M'apporter ça ? genre pour moi ?

John: Oui, on sait jamais. Au moins tu a de quoi te défendre, je préfère, je serais plus rassurer.

Je lui sourie, il s'inquiéter pour moi et je l'adorer pour ça.

John: Alors regarde, pour le charger tu fai-

Moi: Je sais m'en servir t'inquiète pas. Dit-je en lui prenant des mains.

John: Comment ?

Moi: Mon père m'a appris.

John: Ok, très bien. Putain j'aurais du te forcer à rester chez moi.

Moi: Mais non John, t'inquiète pas. Tout ira bien.

John: non tout ira pas bien. Michael a forcer Inès à rester chez elle, j'aurais du faire pareil.

Moi: Inès ne soigne pas les gens elle. T'inquiète pas pour moi tout ira bien. Pense seulement à toi, je ne veux pas que tu me revienne blesser.

omg, j'ai dit « me » revienne là ? je vais mourir. Il leva la tête avec un sourire narquois en coin. Je contourna le bar et m'approcha de lui. Je vérifia ça jambe.

John: Il vas très bien mon pansement.

Moi, en me relevant: Fais attention surtout.

Il entrepris de me caresser la joue, comme tout à l'heure et faut dire que j'adorer ça.

John: T'inquiète pas. Je te reviendrais sain et sauf.

Ce petit con avait insisté sur le « te ». Ce qui me fit sourire automatiquement et sûrement rougir pars là même occasion. Il plaça ca main qui étais sur ma joue sur l'arrière de ma tête et approcha ma tête, il me déposa un baiser sur le front. Et me regarde dans les yeux.

John: Fait en sorte qu'il ne t'arrive rien. J'aurais sûrement besoin de toi pour le mariage. Je n'ai pas de cavalière.

Je crois que mon sourire étais partit jusqu'à bamako là

Falling love- John ShelbyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant