Bottom par nature

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-Mais tu vas la fermer ta gueule  !
-Même pas en rêve enculé espèce de pédale !

C'est sur la douce poésie de ces mots que notre rouquin préféré admirait son petit ami se battre corps et âme contre un homophe qui avait osé insulter leur couple. Le pauvre, pensait le roux tandis que l'abruti se faisait littéralement détruire par son adversaire qui ne cessait de lui hurler de crever.

-Kat's !
-Quoi encore ?!
-Il a eu son compte, vien on y va.

Le cendré posait alors le regard sur sa victime et sourit satisfait de son œuvre. Il rejoignit son copain et se mit à cracher sur le monde tout en maudissant les abrutis incapables d'accepter que certaines personnes peuvent s'aimer malgré le fais qu'elle soit du même genre. Eijiro lui rigolait des enfantillages de son amant, il était incapable de résister à l'envi de rire lorsque ce dernier s'énervait. Même si lui avait conscience que la violence n'était pas la solution à tous les problèmes il restait tout de même d'accord sur le fait que les idiots de ce style ne méritait rien d'autre que de se prendre une bonne grosse tarte, histoire de se remettre les idées en place.

-Il l'a cherché ce connard !
-Je sais, je sais.
-Mais tu te rends pas compte ou quoi ?!
-Écoute kat's, je sais que t'es énervé mais il faut vraiment que tu te calme parce que des cons y'en a partout et que c'est pas parce que tu les démontent les uns après les autres que ça va changer. Tu risque même d'aggraver les choses enfaîtes.
-Je m'en bas les couilles. Fallait pas me traiter de pd !
-Mais tu es pd.
-Mais ferme ta gueule au pire !

Le blond était arrivé à cour d'argument et comme à son habitude il avait donc commencé à insulter la seule personne qui pouvait supporter ses insultes incessantes.

-C'est dommage que tu sois aussi vulgaire.
-Ah oui et pourquoi ça ?!
-Au lit t'as que deux phrases à la bouche. "Putin c'est trop bon" ou encore "plus vite bordel", j'ai parlé du nombre, incalculable, de fois où tu m'as dis que ma bite était géniale ?
-Crève.

Katsuki rougissait légèrement, il était de ces personnes qui n'avaient jamais honte de rien mis à part de leur faiblesse et, malgré lui, il se trouvait que dans sa tête être le passif en était une. Les deux garçons avaient beau sortir ensemble depuis plus de trois ans ce dernier était toujours gêné de parler de ça, surtout dans les lieux public. Il ne parlait de sa vie sexuelle avec personne tandis que son lui s'en donnait à cœur joie. Ses amis étaient tous au courant de ce qu'il appelait des prouesses, oubliant parfois quelques détails. Il avait beau aimer ses amis il avait aussi décidé de respecter un minimum le sentiment de katsuki et par conséquent gardait sous silence certaines choses afin de ne pas trop contrarier son amoureux.

-T'es toujours tellement gêné quand on en parle alors q-
-J'ai dis, ta gueule le porc-épic !
-Capich mon capitaine !
-Et arrête de te foutre de ma gueule enfoiré !

Le rire cristallin du roux arracha tout de même un sourir à katsuki. Les deux amants se regardèrent et eurent la même pensée. Il était l'heure pour eux de rentrer et de pratiquer ce noble art qu'est le sexe.

-On rentre ?
-Bouge ton cul.

Sur ces douces paroles ils partirent main dans la main, limite en courant pour rejoindre le domicile du blond qui était le plus proche des deux. Ils entrèrent dans la pièce et se rejettèrent presque l'un sur l'autre ne ce laissant presque aucun moment pour respirer. Entre deux baisers le cendré réussis tout de même à articuler quelques mots sous forme de phrase.

-Je vais me laver.
-Je viens avec toi !
-Même pas en rêve ! Tu m'attend, non mieux tu vas te laver dans latte salle de bain ! Le sexe crade c'est pas agréable.

A contre cœur, et sachant parfaitement que son petit ami avait un légé problème avec la saleté, il du prendre une douche qui dura au grand maximum deux minutes tandis que celle du bakugo semblait s'éterniser. Enfaîte pendant que son copain l'attendait gaiement lui vérifiait si il vaut besoin de faire un lavement ou pas. Contrairement à ce que les bd gay nous montre, c'était quelque chose de très important mais souvent négligé puisque c'est considéré comme "sale".
Une fois son inspection faîte il passa au rinçage.

-Katsuki ! T'es mort ?
-Aussi mort que toi si tu ferme pas ta gueule !
-Ok !

Le cendré sorti de la salle de bain, totalement nue il va sans dire, et prit appui sur l'encadrement de la porte tout en lançant un sourire carnassier à son conjoint. Ce dernier passa sa langue sur ces lèvres et lui rendu son sourire. Il s'approcha du fruit de sa convoitise et lui attrapa presque sauvagement les hanches, mais en prenant bien soin de ne pas faire du mal au blond. Leurs souffles venaient s'écraser sur les lèvres de l'autre et chacun se retenaient d'embrasser le second. La tension était palpable.

-Kat's..
-Ferme ta gueule.

C'est sur ces douces paroles qu'ils cèderent à leurs envies. Le blond attrapa son amant par la nuque et commença à bouger sensuellement son corps contre lui, des mouvements de bassins semblable à une dance envoûtante, le parfum de l'amour semblait les tenir en otage, c'était comme si le premier qui s'arrêtait ne reviendrai jamais des abicise, prisonnier à tout jamais d'un désir presque maladif.

-On bouge ?
-Ouais, c'est pas agréable ici.

Le roux attrapa les jambes de katsuki pour l'emmener dans le lit conjugale et continuant de l'embrasser fougueusement alors que le cendré lui se concentrait pour le pas perdre l'équilibre. Une fois sur place eijiro surplombais son amant, les jambes du blond entre le siennes.

-Laisse moi faire.

Sans qu'il n'y puisse rien le rouge se retrouva sous le dit bakugo, légèrement surpris au début il compris où il voulait en venir. Il voulait être au dessus, bouger de lui même ses hanches alors que la verge du roux était en lui. Cette position n'était pas des plus confortables il fallait se l'avouer néanmoins le blond aimait de temps en temps rappeler à son petit ami que même en était passif il pouvait dominer et diriger ces actions.

-La dernière fois qu'on a fait l'amour comme ça tu n'as pas pus aller en cours.
-Crève.

Pas besoin de se préparer c'était déjà fait alors il glissa un preservatif sur le penis de son copain et y mis un peu de lubrifiant.

-C'est fou comme t'es beau, c'est limite envoûtant.
-Ta gueule j'ai dis.
-Même dans ses moments là tu peux pas le dire un mot gentil ? Juste un ?

Le blond gromela, il était juste au dessus de la verge du roux et lui voulait entendre des mots d'amour. Qu'elle plaie.

-J't'aime. Content ?
-Bah tu vois quand tu veux! Moi aussi je t'aime.

Il soupira et commença alors sa descente sur l'engin bien dressé sous lui. Toujours plus profondément en lui il commençait à avoir mal mais pour rien au monde il ne s'arrêterait, de un par ce que c'était humiliant pour lui d'avoir mal (pour info c'est quelques chose de tout à fait normal et avoir mal ne veux pas dire être faible ça dépend juste des personnes) et son copain semblait presser de posséder entièrement le corps voûté de katsuki.

-Tu veux de l'aide ? Prend ton temps, on peux changer de position si t'as trop mal ! Ne te force surtout pas hein !

La prévention du roux redonna un peux de courge au cendré qui descendit d'un seul coup les quelques centimètres qu'il lui restait.

-Putin de bordel de mes couilles !
-Je te l'avais dis. Ça va ?
-Nickel, attend deux secondes.

Bien évidemment le second attendi qu'il doit prêt, c'était assez éprouvant pour lui.

-Ok.

Il commença a se relever avant d'être rattraper par la gravité qui le fit descendre, quelques gémissements discrets s'échappèrent de ses lèvres. Les deux étaient en train de perdre pied.

-Kat's..

Quelques minutes après avoir commencé le roux se senti venir. Il joui sans un râle de plaisir alors que le passif lui n'a pas terminé. Le roux se retire et met le blond sous lui, il commence à le masturber jusqu'au point décisif. Ils se regardèrent droits dans les yeux, l'amour flottzus encore dans l'aire, c'était comme si ils s'étaient connectés.

-Je t'aime.
-Moi aussi connard.

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1405 mots
Je sais pas trop si je suis fier de celui la, c'était vraiment du lemon pour du lemon. Pas de développement de personnage mais j'espère que ça vous a plue quand même.

OS (lemon kiribaku) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant