Chapitre 8

418 9 0
                                    

idée: Mathieu ou Fred? le choix d'Alice.

Fred marchais sur les quais de seines,les mains dans les poches et la tête baissé, la pluie et le ciel gris représentait bien son humeur maussade. Il faisait à peine 12degrés mais il n'avais mis que sa veste de costume, de toute façon le froid dehors ne serais jamais pire que le froid qui avait envahis son cœur. Il arriva quelques minutes plus tard devant la brigade, au même moment que cette femme qui était la cause de sa douleur, de sa peine, immense et impossible à effacé. Il voulu l'éviter mais elle avait croisé son regard, alors il continua dans sa direction, parce que pire que son refus, il ne supporterais pas l'humiliation de paraître détruit, même si c'était le cas. Elle arriva à sa hauteur en pressent le pas, accompagné d'un parapluie qu'elle plaça au dessus de la tête du commandant.

-commandant ! vous êtes trempé ...

-c'est rien, dit-il simplement en continuant sa route laissant la jeune femme sur place.

Elle rentra à son tours dans la brigade et croisa le regard de Max en se rendant au bureau du commandant, elle le questionna du regard pour savoir ou il était mais elle n'eut qu'une petite grimace et un hochement de tête négatif comme réponse. Elle lui sourit et repartie au Palais de justice. Elle marchait lentement, le pas lourd, perdu dans les méandres de ses pensée qui aurais attristé le plus joyeux des humains. Elle revoyais le visage de cette homme, son désarroi lisible et sa haine sans doute à son égard, mais ne comprenait-il pas ? N'avait-il rien vue ?

La matinée se passa tranquillement,Alice avait du rejoindre Fred pour un interrogatoire. Quand ils sortirent finalement de la salle, l'horloge du bureau de Marquand indiquait 12h45. La magistrate se tourna vers celui qui n'était pour l'instant son homme que dans ses illusions :

-je vous invite commandant...affirmât-elle pour éviter son refus.

Il l'as regarda surpris :

-je peux pas la, je...

-j'insiste...

Ils partirent donc tout les deux pour un restaurant choisis sur le pouce. Sur le chemin, Alice parlais de tout et de rien, faisant la conversation sur le temps maussade, sur les oiseaux qui chantaient ou encore sur les bienfait de la marches à pied. Fred s'arrêta en cours de route, secouant la tête pour montrer son questionnement, Alice ne le remarqua que quelques secondes plus tard quand elle se tourna vers lui attendant une réponse. Ne le voyant pas à côté d'elle, elle fit demi-tours et s'avança dans sa direction interloqué. C'est lui qui pris la parole :

-à quoi vous jouez ? Demanda Fred

-pardon ?

-le resto, la ballade, la conversation, à quoi vous jouez Alice ?

Alice baissa la tête :

-s'il-vous-plaît commandant,j'aimerais vous parler..

-pour dire quoi ?

-je ne sais pas...

-vous ne savez pas ?

-si évidement que je sais, mais je ne sais pas par ou commencer, et j'aimerais si possible avoir cette conversation devant un plat chaud, le supplia-t-elle presque.

Le commandant céda, il ne savait pas résister à ce regard, alors même si la conversation qui s'annonçait allais être compliqué, peut-être même insoutenable,il accepta.

Ils s'installèrent à une petite table d'un restaurant italien, Fred pris des Saltinbocca à la sauge tandis qu'Alice elle pris une Piccata de veau au citron.

Après quelques bouché, voyant que sa juge, enfin la juge, n'était pas décidé à se lancer, c'est lui qui pris les devant :

-alors ?

scène de vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant