Chapitre 7💎

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Assalamu alaykum




«Pourquoi je ne t'ai pas rencontré plus tôt ?»
               
Ninho.


Vous devez grave être content la mais la mauvaise nouvelle c'est que je ne pourrais plus poster jusqu'à Samedi prochain c'est à dire dans à peu près 1 semaine. Sorry💎



Syham : Et après la mort ?







Les jours qui ont suivis étaient tellement bizarre, déjà Nahïl avait totalement disparu, vous allez me dire que ça ne change pas de d'habitude mais cette fois il n'a prévenu personne même pas les garçons.
C'est la semaine suivante qu'il les a appelé pour leurs dire qu'il était chez sa mère.

Je me sentais tellement coupable de l'avoir laissé m'approcher. Je l'ai laissé poser ses lèvres sur les miennes sans pouvoir le repousser. Je ne sais vraiment pas ce qui m'a prit.
J'arrivais pas à arrêter de repenser à cette scène dans les escaliers, j'arrivais pas à cessé d'imaginer la sensation qu'avait son touché sur ma peau, la douceur de ses lèvres etttttttt putainnnn c'est n'importe quoi...

Syham ressaisi toi.

Grâce à Malick j'ai cessé de penser à lui un instant, car aujourd'hui il m'a proposé de m'apprendre à conduire, en gros il veut me préparer à l'examen du permis vu que c'est bientôt.

Je descends et salue les TDM, oui maintenant j'en connais quelques uns.
Malick m'attendais sur le parking avec la poubelle qui lui sert de voiture.

Malick : Wesh ma reuss.

Moi : Ça dit quoi ?

Malick : Rien on est là hein, ça fait un bail on s'est pas vu.

Moi : C'est toi qui fait le mec chargé.

Malick : Qu'est-ce tu veux ? Je bosse moi.

Moi : Vendre de la drogue c'est un super boulot.

Malick : Commence pas Syham.

Moi : Non mais sérieux wesh, fait comme Amir, trouve toi un vrai travail.

Malick : On est pas là pour ça.

J'ai vu que ça commençait à le soûler donc j'ai lâché l'affaire et je lui ai fais un câlin pour lui montrer que je l'aimais toujours mdrrrr.

Malick : Toi continue avec tes câlins Naïma elle va pas rigoler avec toi.

Je me suis détacher et j'ai commencé à rigoler.

Moi : Mdrrrr t'es mon grand frère wesh.

Malick : Elle ne le verra pas de cet œil.

Moi : Ouais c'est ça, on commence ?

Malick : Ouais attends je vais conduire jusqu'à a un parking désert pour que tu t'entraîne et si c'est bon tu nous ramène au retour, flemme de mourir.

Moi : T'es même pas drôle.

J'ai fais mine de bouder et je me suis installé côté passager de sa poubelle.
Il a démarré et il a roulé super longtemps, moi j'en ai profité pour faire une sieste, une de mes meilleures sieste d'ailleurs, moi les trajets en voiture me font dormir.

Bref on est arrivé 30 min après sur un parking désert, je crois qu'il y'avait un magasin à côté. On a échangé nos places.

Il me demandait de faire des manœuvres que je faisais sans problème, sa voiture c'est un poubelle mais en vrai c'est un bolide, elle roule archi bien.

Syham : Et après la mort ? Tome IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant