Chapitre 11

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Point de vue de Rebecca

Je me réveille dans les bras d'Anubis. Il est encore rester toute la nuit. Je souris à cette idée. J'entends Bastien chouiner. Je me lève discrètement , m'habille vite fais et vais chercher mon fils qui me tend les bras, je le change et descends avec lui, pour préparer son biberon . Quand je repose Bastien dans son trotteur après son biberon et son rot, Katia descend, câline son petit frère puis vient me voir pour un câlin. Je me transforme en maman koala et prépare son petit déjeuner. Quand c'est prêt, je l'installe avec devant ses dessins animés. Louis finit par descendre, il prend son petit-déjeuner aussi devant la télé avec Katia. Je profite un peu d'être avec eux devant Kung-fu panda puis je me lève.
- Je te laisse les surveiller, je vais me laver.
- Oui maman, me répond Louis avachit dans le canapé.
Je monte, rentre dans ma chambre et referme bien la porte. Je me déshabille et regarde Anubis. Il dort sur le dos complètement dé-caché. Du bout des doigts, je frôle son membre endormit qui se dresse doucement, je me penche et lui donne un coup de langue. Je l'entends grogner, je souris et vais à ma douche.

Pointde vue de James

Je la sens dans la chambre mais j'ai trop peu dormis alors je ne bougepas. J'entends le froissement de ses vêtements. Je sais qu'elle est maintenant nue mais je ne bouge toujours pas. Je la sens s'assoir sur le bord du lit et me frôler, mon membre se dresse déjà plein d'envie . Je ne bouge pas, savourant même si j'ai qu'une envie me jeter sur elle. D'un coup, je sens sa langue sur ma longueur et je ne peux retenir mon grognement de plaisir puis plus rien ! J'ouvre les yeux mais elle n'est pas là. J'entends l'eau couler, je grogne. « OK bébé, tu veux jouer », me dis-je en souriant. Je me lève le mat bien droit et la rejoins sous la douche, je pose mes mains sur ses hanches et la plaque contre la paroi de la cabine. Elle rigole , je presse mon érection contre ses fesses et elle se frotte contre moi en rigolant.
- Tu veux jouer ? Je lui demande près de son oreille en glissant lentement ma main sur son ventre puis plus bas .
Je la sens se tendre et frissonner. Je frôle son oreille de ma bouche, souffle sur sa peau, effleure sa peau, titille ses tétons, caresse ses seins, j'attrape le gel douche et la lave sensuelle ment, je la sens au bord de l'orgasme. Je recule et la tourne vers moi, je reprends du gel douche et entreprends de me laver aussi en insistant sur mon sexe bander. Becca me regarde avec un regard gourmand, d'envie. Elle se lèche les lèvres et se les mordilles en suivant le chemin de mes mains. Je nous rince et sort.
- Tu vas où là ? Me demande Becca en sortant la tête de la cabine.
Je noue ma serviette autour de ma taille tourne mon visage vers elle. Je vois son visage frustré et sourit malicieusement.
- Je vais m'habiller, je réponds .
- Tu oublies rien ?
- Non.
- Tu compte me laisser comme ça ?
- T'as voulu jouer, je réponds en sortant .
Elle me jette un regard noir et je rigole. Je m'habille vite pour éviter de la croiser et de céder. Je commence à descendre les escaliers et remonte pour lui demander si je peux me servir. Je rentre dans la chambre et je la trouve dans un ensemble de sous-vêtement en dentelle rouge. Je lui demande si je peux faire comme chez moi et elle me réponds oui en se caressant le haut des seins . Je ressors très vite avant de craquer, cette fille est une diablesse . Une fois dans la cuisine, je me sers un café, réajusté ma queue qui est encore toute dure, c'est pas hyper inconfortable. « Putain la journée va être longue ». Je la vois passer devant la cuisine, parler aux enfants puis elle arrive en souriant dans la cuisine. Je la regarde méfiant, elle se sert aussi un café et se met devant moi en appuis contre le plan de travaille .
- Tu vas faire quoi aujourd'hui ? Me demande-t-elle.
- Bah c'est barbecue chez le prés' ce midi et ça risque de durer toute la journée et une bonne partie de la soirée.
-Ah !
Le téléphone sonne au même moment.
- Je réponds, nous dit Louis.
On l'entend discuter.
- Attends je te la passe,dit-il en rentrant dans la cuisine.
Il est surprit en me voyant dans la cuisine mais ne fait pas le moindre commentaire. Je souris en coin, Becca à du lui parler. Elle prends le téléphone que lui tend son fils en l'embrassant sur le front.
- Merci, lui dit-elle.
-C'est Nanou, l'informe-t-il en me regardant.
Je le fixe aussi puis il finit par partir.
- Oui...oh mais tu sais...on ne veut pas s'imposer...mais...d'accord...vers quelle heure ?...à toute à l'heure .
Elle raccroche et je lui souris.
- Tu manges avec nous je suppose.
- Oui Nanou à insister.
- Je me doute vu que les dernières fois tu n'es pas venu. Là elle viendra te chercher par la peau des fesses si tu ne venait pas, je rigole.
- Va falloir que tu me supporte, dit-elle en se collant à mon corps.
- Humm.
Je la regarde dans les yeux. « Putain j'ai envie de la prendre la tout de suite. ».
- Bon j'y vais car si on arrive ensemble ça va soulever des questions auxquels , on est pas prêt à répondre.
Je l'embrasse doucement mais elle me le rend avec plus de passion et attrapant ma nuque. Je finis par la soulever du sol et la pose sur le plan de travaille en me calant entre ses jambes. « C'est vraiment l'endroit où je préfère être, avec bien sur le fait d'être sur ma moto. ». Je me détache d'elle me rappelant qu'on est dans sa cuisine et que ses enfants sont là . De plus j'ai une partie à gagner contre elle. Je dis en revoir aux gamins, enfile mon cuir et récupère ma moto que j'ai laisser au QG mais mes frères y sont déjà.
- T'étais où ? Me demande Slime.
- Pas loin, dis-je comme si de rien n'était.
On discute avec mes frères quand Charlie arrive.
- Bon on se fume une clope et on décolle, sinon Estelle va nous tuer si on est encore en retard , nous dit-il.
Je sors mon paquet de cigarette et un truc rouge tombe de ma poche , attirant l'attention de mes frères. Charlie a été plus rapide que moi et l'attrape et le déplie. Il s'agit, en faite d'un shorty en dentelle rouge que je reconnais très bien pour l'avoir vu sur la beau blanche et désirable de Becca ce matin . « Putain de petite diablesse, bien jouer. »Je comprends mieux son sourire en rentrant dans la cuisine. Je souris vite fait avant de le récupérer et de le ranger. Mais c'est trop tard les gars l'ont bien vu.
- Je ne savais pas que tu portais ce genre de chose, me charrie Charlie.
- C'est à qui ? Me demande Cookie.
- À Personne, je réponds en tirant sur ma clope .
- Arrête on te connais tu te balade pas avec ça souvent, me blague un autre de mes frère.
- Dis nous qui c'est ?
-On la connaît ?
Et ça continue comme ça, je ne réponds pas à leurs questions et Charlie se marre.
- Bon on décolle.
Nous arrivons chez Wood, où Estelle nous attends de pied ferme devant la maison , pas vraiment contente.
- Pourquoi c'est toujours les célibataires qui sont en retard. Va falloir vous prendre en main les gars ? Rouspéte-t-elle.
On passe à coté d'elle s'en rien dire , quand l'un de nous lui dit.
- Se prendre en main tout seul c'est pas drôle.
Un paf retentit signe qu'il a pris un coup derrière la tête.
- Elle fait mal ta bague, lui dit le punis.
-C'est fait pour, répond Estelle. Allez les enfants venez manger.
On rentre dans le jardin en se faisant charrier par ceux qui sont déjà arriver . Tout le monde est là et comme la dit Estelle il ne manquait que les célibataires et le faux célibataire. Avec Charlie nous rejoignons notre président près du barbecue. Il nous donne une bière . Je regarde le jardin, les gamins jouent, les ados essaient d'imiter les anciens qui les voient et rigolent, et les femmes discutent entre elle. Je repère Becca, ma queue déjà au garde à vous depuis ce matin et qui a durcit encore plus avec la découvertede son shorty dans ma poche car je ne sais pas si elle porte un sous-vêtement ou pas, devient une vrai barre de fer car elle s'est changer depuis que je l'ai quitter ce matin. Elle porte une robe décolleté bleue nuit avec une veste en cuir courte et des bottesmoulantes noir en cuir. Nos regard se croisent , elle me sourit et me fait un clin d'œil avant de tourner tête. Elle retire sa veste encuir et je vois apparaître la bretelle de soutien-gorge rouge en dentelle . Elle me lance une œillade avec un sourire malicieux.« Faut que j'arrive à la coincée dans un coin. »

Un biker pour sauveurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant