Point de vue de Rebecca
Je reste dans le couloir, le corps enflammer, les lèvres en feu, mon entre-jambe m'élance et pulse . Je touche mes lèvres gonflées du bout des doigts. On ne m'avait jamais mis dans un tel état d'excitation avancer avec un simple baiser et quelques caresses. Même le père de mes enfants ne m'a jamais fait cet effet. "Piouf ! Mais pourquoi m'a-t-il embrassé ? Pourquoi est-il aussi dur ? Qu'ai-je fais ?A-t-il aimé ? Si oui, pourquoi s'être arrêter ? A-t-il aimé ou non ? Si non pourquoi avoir dit partie remise ?". Trop de questions se bousculaient dans ma tête. Ma puce m'appela.
-Maman ?
- Je suis là ma puce, dis-je en revenant sur terre .
- Je suis fatiguée, me dit-elle en se frottant un œil. Je te cherchais.
Je la prends dans mes bras et l'emmenais dans sa chambre . Je pense comprendre la raison qui a fait qu'il se soit arrêter . Je la tenais dans mes bras, j'entendis une moto partir, je savais que c'était lui. Je lui prends sa douche, lui passe son pyjama et la mets au lit.
- Bonne nuit mon ange, dis-je en l'embrassant sur la joue.
- Bonne nuit maman. Tu sais je suis contente qu'on soit parti.
- Ah bon ?
- Oui, papa... il t'a fais bobo, beaucoup. Là il pourra plus.
- Ne te tracasse pas ma puce, je vais bien.
Je lui refais un câlin et sort. Les bikers ont finis par partirent et je pus coucher mon aîné.
- Merci pour la chambre maman.
- De rien mon cœur.
- On a bien fais de partir. J'aime beaucoup cet endroit et ces gens.
- Tant mieux mon cœur . Lundi reprise de l'école et c'est Nanou qui te récupéra après l'école avec Katia.
- D'accord. Bonne nuit maman.
-Bonne nuit mon loulou. Je t'aime.
- Moi aussi.La fin de semaine passa vite. Et les semaines qui suivirent aussi. Louis était heureux comme tout, il s'intégrait bien, il s'était fais pas mal de copain surtout des fils de bikers, l'école se passait super bien et il passait beaucoup de temps au garage du club avec ses potes. Katia, elle était heureuse avec son papi loup et sa mamie Nanou. Bastien se développait bien et plus rapidement, peut-être que le faite que je me sente plus épanoui et moins stresser et terroriser l'aidait. Les enfants étaient des éponges. Moi, j'avais commencé à la boutique de lingerie et ça se passait super bien. En faite Sophie possédait deux boutiques, une de lingerie et l'autre était un sex-shop. Les deux boutique était relié par un couloir. Mais Sof n'aimait pas dire sex-shop elle préférait dire une boutique de plaisir et de charme . Elle avait voulu m'offrir un ou deux accessoires pour mon plaisir personnel mais elle était tombé des nus en apprenant que j'avais une petite collection personnelle, elle avait été très surprise quand elle avait exiger de la voir. Au final on s'était bien trouvé toutes les deux, nous devenions amies. J'avais repris les cours d'auto- défense et j'avais croisé à plusieurs reprise les gars du club à la salle de sport. J'avais apprit par la suite que la salle leur appartenait. Certains m'avaient proposer de me servir de partenaire de combat. J'avais dit oui à certain et non à d'autre. J'ai croisé à plusieurs reprises Anubis mais rien ne c'était passé , je l'avais regarder beaucoup de fois, non en faite je l'avais mater sans vergogne mais lui non. L'autre jour ça devait être juste un coup de faiblesse. Je m'étais remis à la danse seul Sophie était au courant. Un vendredi soir, j'ai accompagné les régulières en boîte , ça avait été une super soirée où j'avais reprit le goût à m'amuser. J'avais été courtiser par plusieurs hommes sous l'œil vigilant des gars que m'avait assigné Philippe. À un moment, je dansais sur la piste libre, des mains puissantes avaient encerclé ma taille quand je m'était retourné pour dégager le mec, je me suis retrouvé devant Anubis. Nous avons dansé sensuellement et vraiment chaudement . Il s'était penché vers moi près à m'embrasser et m'avait ensuite laisser en plan. Deux semaines après alors que je m'entraînais seule quand il était arrivé. Il s'était entraîné dans son coin puis il m'avait proposer de m'aider à m'entraîner, on s'était retrouver dans un corps à corps. Je voyais qu'il retenait ses coups enfaîte il paraît plus mes coups que vraiment me contrer ou m'attaquer. Je me suis énervée et je me suis retrouvé coincé sous lui, son corps contre le mien, mon corps s'enflamma mais encore une fois il est partis. L'avocat du club m'a aidé a obtenir la garde complète et exclusive de mes enfants. Comment il avait fait ? Aucune idée. J'ai même été surprise que mon ex ne se soit pas battu pour avoir la garde de mes enfants car il s'est que ça m'aurait fais du mal. J'avais aussi fais des séances avec un ostéopathe et Nanou sans était assuré. J'avais arrêté d'allaiter mon dernier car Doc avait eu raison, mon corps n'en pouvait plus et mon lait n'était plus assez nourrissant. Il me restait une dernière chose à faire, même si mon corps avait guérit de ses blessures mais il en portait encore les traces et je ne voulait plus les voir. J'avais prit rendez-vous avec le tatoueur du club pour les cachés. J'avais été surprise de voir Smack, le mari de Sophie. Il m'avait tracer un serpent des mer du haut de la cuisse jusqu'en haut des côtes sur le côté gauche de mon corps. Sur l'omoplate gauche, j'avais unscorpion. Sur la cheville et le mollet droit, un cobras entouré tout autour . Sur le haut de mon sein et la clavicule droit une tête de loup . Et il avait dessiner sur ma hanche droite une panthère. J'ai également coupé mes cheveux court sous conseille de la coiffeuse pour égaliser mes longueurs qui avaient souffert.
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Un biker pour sauveur
RomanceLa violence physique peut détruire quelqu'un mais la violence psychologique aussi. Quand on est une femme battue se défaire de l'emprise que l'autre a sur nous n'est pas aussi facile que ce que les gens peuvent croire. Jusqu'à ce que votre geôlier a...