Moment Mignon entre Marc et April.

65.5K 2.8K 98
                                    

Le chapitre de Castiel et Amanda est pratiquement fini donc il sera mis demain soir sûrement. Pour l'instant je vous met un petit moment mignon entre Marc et April qu'il était écris par @ClaaireDove comme toujours. Je ne met pas l'histoire de Amanda et Castiel de côté ne vous inquiéter pas, je fais juste un petit détour vers les autres personnages. 

Désoler en ce moment j'ai des petits soucie perso du coup j'ai beaucoup de mal à écrire, mais vous me donner envie de continuer avec vos commentaire donc je suis en train d'avancer sur le chapitre. Un petit mot à ceux qui me dise que je fais beaucoup de fautes ou que mes phrase ne veulent rien dire etc ... je peux très bien l'entendre, mais MERCI DE ME LE DIRE GENTIMENT ET NON AGRESSIF ! 

****************

Je suis assise sur le sofa de ma tante, ou plutôt dans mon sofa. Car ça fait deux semaines que je vis chez ma tante, et mon quotidien c’est nettement amélioré. Celui de ma sœur aussi, et pour moi, c’est ce qui compte le plus.

Je suis en train de lire un livre emprunté à la librairie où je travaille le week-end, quand j’entends la sonnette retentir.

-         - Je vais ouvrir, crie ma sœur.

Ce qui ne me dérange pas, puisque je n’ai, en aucun cas, envie de lâcher mon livre des yeux.

-         - April, c’est pour toi, hurle ma jeune sœur.

Avec un soupir, je pose mon livre sur la table basse et c’est irritée que je me dirige vers la porte d’entrée. Je vois Emma monter à l’étage, surement dans sa nouvelle chambre.

Arrivé devant la porte, grande ouverte, je vois un garçon, blond aux yeux noisette habillé d’un t-shirt et d’un jogging, tous deux noirs. Quand je le vois, un sourire s’étire sur mes lèvres.

-         - Salut, me dit-il en prenant ma main et la tirant pour m’enlacer.

-         - Hey, soufflé-je dans son torse.

Notre étreinte dur quelques secondes, puis il me relâche et je le laisse entrer. On se dirige vers le salon et nous nous asseyons sur le canapé.

-         - On se néglige à ce que je vois, lui fais-je remarquer en détaillant ses vêtements.

-        -  Je suis pas le seul, se défend-il en me regardant de haut en bas.

Je suis son regard. Je porte un pull noir caché par un gilet gris fermé, suivi d’un jogging de la même couleur et de grosses chaussettes blanches. Je deviens soudain rouge de honte, j’étais habillée comme une grand-mère.

-         - Ahahahah, quel changement d’expression, me taquine-t-il. T’inquiète, même comme ça tu es belle.

-         - Arrête de mentir, je suis tellement moche comme ça... Pfff, toi, peut-importante ce que tu portes tu ressemble à un mannequin, lui reproché-je.

-        -  C’est ça d’être né sexy !

J’éclate de rire à sa remarque, et  du coin de l’œil, je le vois légèrement vexé. Or, à mon grand soulagement cela ne dur pas, puisque il se rapproche de moi, passe son bras au dessus de mes épaules pour le poser délicatement, et m’embrasser tendrement sur le front. De mon côté je place ma tête sur son torse et ferme les yeux pour m’imprégner de ce moment.

-         - Qu’est ce que tu fais ici, demandé-je.

-         - Quoi, ça te dérange que je sois là, répond-il faussement vexé.

-         - Tu sais bien que non ! Mais tu m’as dit qu’on se verrait plus le week-end, là on est Mardi.

-        -  Tu me manquais, me chuchote-t-il.

Son aveu me réchauffe le cœur. A vrai dire je suis émue, puisqu’il ne me dit pas souvent ce genre de chose, et dès fois, j’ai ’impression d’être la seule à ressentir ce genre de sentiment. On peut même dire qu’à chaque fois qu’il part, il me manque terriblement. Bien que deux semaine que je sorte avec lui, mes sentiments pour lui sont forts. Je ne sais pas si c’est réciproque, si pour lui, nous deux signifie autant pour lui que pour moi. Mais je m’en fiche, du moment qu’il soit avec moi.

Nous sommes là, à nous câliner depuis trente minutes environ. Je n’ai pas envie qu’il parte, mais je sais que l’heure fatidique va bientôt arriver. Il commence déjà à se lever.

-        -  Je ne veux pas que tu partes, lui informé-je.

Il me regarde surpris par ma remarque, mais sourit.

-        - Je ne veux pas non plus partir, mais je ne vais pas camper là.

-        -  Et pourquoi pas, dis-je sérieuse.

-         - April…

-         - S’il te plait, juste pour cette nuit, le supplié-je.

-          - Hum… J’avoue que c’est tentant. Nous deux dans ta chambre, ça me plait, il me prend une main et m’aide à me lever pour ensuite m’enlacer.

-        -  Mais pas ce soir malheureusement, reprit-il.

-         - Oh… Je vois. Je comprends si pour les affaires, ou je ne sais quoi, dis-je, je l’avoue, déçue.

-          - Tu ne va pas me demander ce que c’est ?

-         - Hein ? Bien sur que non, et tu le sais. Je comprends qu’il y ait des choses que tu ne veuilles pas me dire. Et je ne vais pas te forcer à me les dire. Tu me les diras peut-être un jour, quand tu décideras que je dois être mise au courant.

Il me sert de plus belle ce qui me surprit. A ce moment là, je repense à ce qu’il vient de dire, le faite d’être dans ma chambre. Je savais, au moment où il avait prononcé les mots, qu’il pensait à quelque chose de pas très catholique. Je rougis en ayant ces pensées, en y réfléchissant bien, Marc est mon premier petit ami. Et ça sera aussi le premier avec qui je le ferai en ayant des vrais sentiments.

-           -  J’adore ta façon de penser.

-          -  Quoi, demandé-je.

-      - Le faite que tu ne cherches pas à savoir, que tu ne me questionne pas, que tu sois aussi compréhensive, m’explique-t-il en me regardant, tendrement, dans le blanc des yeux.

-          - Je te fais confiance, c’est tout.

A la suite de ces paroles, Marc m’embrasse amoureusement, en descendant ses mains vers le bas de mon dos, ce qui me procure des frissons.

-        - Je sais, et c’est de que j’aime le plus chez toi, fait-il. Puis il regarde l’heure et reprend : Je dois vraiment y aller, à la prochaine. 

           - Ok, je t…

Je me stoppe soudainement et réalise ce que j’allais dire. Marc, lui, il me regarde en attendant la suite.

-     - Je suis pressée de te revoir, terminé-je.

Il m’embrasse furtivement et s’en va.

Un Amour Dangereux.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant