Un Amour Dangereux.

Chapitre 5; Deux fois que je te sauve.

Mes yeux sont dans les siens si magnifiques puis je me souviens qu'il m'a ignoré, je vais faire de même. Je veux finir pour savoir si je suis prise où non, et rentrer chez moi pour manger et étudier.

- Bonsoir. Dis-je sur un ton neutre.

Même pas un bonsoir qu'il aille se faire foutre! Je prend ses courses pour les scanner et je lui mets dans un sac plastique.

- Ça vous fait 20 euro s'il vous plait.

- Tien, tu as trouvé un nouveau job ?

- Merci. Oui et je n'avais pas le choix vu que l'entrepôt est parti en fumé. Dis-je sur ton sévère.

- Pourquoi as-tu besoin de travailler? Dit-il en prenant ses courses.

- Ça ne te regarde pas à ce que je sache. Dis-je en fermant la caisse.

- Ouais tu as raison. Bye.

- Ouais au revoir.

Je ferme ma caisse après qu'il sois parti. D'où il me pose des questions, il m'ignore, puis après il veut tout savoir.

- Amanda ?

- Oui ?

- J'ai vu que le dernier client était Castiel Carter il ne t'a rien dit de méchant ou autre chose ?

- Non du tout pourquoi ?

- Comme ça faut faire attention à ce genre de personne d'accord.

- Hum oui merci.

- Prend ta caisse et on va compter.

- Oui d'accord.

Je prends la caisse et je me dirige dans le bureau de Gary. Il me fait voir comment compter, enlever l'argent, et laisser 200 euro pour remettre les comptes à zéro. Puis il me dit de mettre l'argent dans une enveloppe exprès, pareille pour les chéquiers et les tickets des cartes bancaires ensuite de les poser dans le coffre pour que Gary aille les poser à la banque tôt le lendemain matin.

- Voilà c'était très bien ce soir, tu es prise pour ce boulot.

- Ah oui c'est vrai ? Mille merci Monsieur.

- De rien appelle moi Gary comme Nathalie le fait.

- D'accord M... Gary.

- Tu travaillera toute la semaine et pas le weekend. Tu peux y allez sois prudente pour prendre ton bus.

- Merci je vais faire attention à demain.

- A demain.

Je vais dans les vestiaires pour me changer et prendre mes affaires. Je sors du magasin par la porte de derrière et je me dirige vers l'arrêt de bus. Il est à vingt-trois heures cinquante-cinq, c'est le dernière plus qu'attendre dix bonnes minutes. Je m'assis sur le banc et je mets de la musique pour me détendre, quand d'un coup je vois une voiture s'arrêter près de l'arrêt de bus.

- Salut chérie tu veux monter ?