What if...

Une anonce particulièrement derengente.

Pov omniscient :

Artemis se réveille, comme tout les jours depuis sa dernière mission avec les fées. Il reste inquiet, il n'y peu rien, il tient à elles. Mais il sait que si ses amis (car il les considère maintenant comme ses amis) ont un problème, il n'hésiteront pas à l'appeler. Du moins, il l'espère. Il l'espère énormément.
Cela faisait maintenant un mois, et il n'avait pas de nouvelles d'elles, alors il ne cesse de se répéter que tout va bien.

Il se lève, va à la salle de bain, passe à peu près une demie heure sous la douche histoire de se réveiller correctement, attrape le costume plié sur son fauteuil et va l'enfiler. Une fois ça fait, il lisse ses cheveux châtain foncé en arrière et se rend dans son bureau. Il appelle Butler, son garde du corps, et lui demande de lui amener du caviar. Alors que se dernier s'en va, Artemis se connecte a l'ordinateur de Foaly. La première chose qu'il constate est que le poney a changé les mots de passe. Génial. Comme si il n'avait que ça à faire. D'alun coup, il entend Butler qui toc à sa porte.

Artemis :  Entre  ! Qu'attend tu ?!

Butler : Artemis, vos parents désirent vous voir.

Artemis : Arg, bon je suppose que mon caviars va devoir attendre.

Il se rend dans le grand salon, où son père, sa mère ainsi que cinq inconnus sont installés.

Artemis : Père, Mère, vous vouliez me voir ?

Angeline : Oui, Arty. Viens t'asseoir avec nous, je te pris.

Pov Artemis :

Je me dirige donc vers mes parents et m'assois à côté de mon père. En attendant les explications (qui tardent à venir puisque ma mère est en pleine discussion avec ce qui semble être la mère de la famille en fasse de moi), j'observe nos invités.

La mère semble être quelqu'un de sévère et stricte au possible. Ses cheveux blonds son attaché en un chignon serré sur le haut de sa tête. Elle porte un costume beige, avec une chemise de satin blanc.

Se qui semble être le garde du corps est pareil à Butler et Juliette. Très grand et musclé, effrayant. Des cheveux grisonnants, montrant qu'il doit avoir la cinquantaine, sont aplatis sur le haut de son crâne.

Je dirige mon attention sur ceux qui doivent être les trois enfants.

La première est grande et élancée, dans la vingtaine, porte une jupe de costume blanche étonnamment courte, avec la veste de costume qui va avec, ainsi qu'un haut noir au dessous. Ses cheveux blonds bouclés lui retombes gracieusement sur les épaules. Elle a des yeux verts pistache, qu'elle a agrandis avec un maquillage sobre et simple.

Le deuxième, certainement son jumeau, porte une veste de costume gris anthracite par dessus un pull à colle roulé noir. Un pantalon de costume assorti à la veste, accompagnée d'une ceinture. Ses cheveux blonds sont coiffé sur le côté, et aucune mèche de dépassent alors que ses prunelles vertes me fixe d'un regard dure.

Enfin, je regarde la dernière personne présente sur ce tableau à la fois stricte et particulier.

Elle ne ressemble à aucuns membres de sa famille présents ici, à part peut-être les boucles de ses cheveux. Elle doit avoir mon âge, et tout juste ma taille. Elle a des cheveux bouclés noirs coupés au carré et retenue d'un côté avec deux barrettes; une noir et une Bordeaux. Une masque de joie et de bonne humeur est plaquée sur son visage, tellement réaliste que moi même suis incapable de dire si c'est sincère ou si elle se fout royalement de notre gueule. Elle a des yeux bruns, mais pas un brun classique, plutôt tiré sur le cuivré. De long cils foncé, une peau pâle, des pommettes rougies, et une robe bleu roi finissent de marquer la beauté du personnage.

Après de longues minutes, ma mère retourne enfin son attention sur moi.

Angeline : Alors, Arty, je sens que la suite me va pas te plaire, mais tu vas devoir faire avec .

Artemis S. : Ta mère et moi sommes réunis depuis peu, et comme tu le sais , je veux essayer de remettre cette famille sur le droit chemin, se qui t'inclût également.

Angeline : C'est pourquoi nous t'avons attiré une gouvernante. Elle va t'apprendre à faire autre chose que de rester planter devant ton ordinateur à tenter de trouver laquelle des 567 fois que tu a piraté le FBI était la plus réussite. C'est le moment pour toi d'apprendre à sociabiliser.