génie vs génie

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[Bélinda sur la photo mais imaginez là avec des yeux cuivré]

Pov Bélinda :

Ça fait quelques jours que je suis là. Comme tout les soirs (et chaque repas d'ailleurs), Artemis ne va pas manger avec nous. Cependant, ça serait vraiment bien qu'il vienne puisque son père a un dîner d'affaire et tiens à la présence de son fils.
Je regarde ma montre, 16h45. J'ai 2h15 pour le faire changer d'avis, et je compte bien réussir.

A cette heure de l'après-midi, Artemis est bien entendu dans son bureau, certainement à trifouiller sur l'ordinateur de Foaly.
Comment je sais qu'il connais l'existence des fées ?
Simplement que ces dernières ne sont pas du genre à mettre sous surveillance là maisons de quelqu'un qui n'a même pas idée de leur existence.
De plus, Artemis n'avait pas l'air vraiment choqué lors que j'ai retirer la caméra de son son bureau.

Je me rend donc dans sa chambre et fonce sur son dressing. J'éclate au passage la caméra se trouvant dans le coin supérieur droit de la pièce, non sans y avoir tiré un doigt au part avant tout en espérant que le poney se trouvait derrière son ordinateur à se moment même.

Une fois dans le dressing, je me saisis d'une chemise de satin rouge foncé ainsi que d'un pantalon noir et un gilet de même couleur. Je plie le toute que je vais poser en compagnie d'une serviette sur le bord du robinet de la salle de bain.

Pov Artemis :

Je suis en pleine discussion avec Butler par a port à ces réflexions bizarre que je me fais ces derniers temps, et il se fout royalement de ma gueule en me disant que c'est normal et qu'il s'agit de la puberté.
Et moi qui, de base, suis plein de ressource et de répartie, je n'ai pu que tourner la tête, rouge de honte, quand il m'a demandé si j'avais eu des pensées de ce type pour Richards.

Là, il se tient en fasse de moi, à moitié en train de mourir de rire.
Soudain, la chieuse de Bélinda frappa à la porte, faisait cesser Butler de rire.
Il repris son air sérieux tout en allant ouvrir la porte.

Butler : Miss Richards ?

Bélinda : désolé de vous interrompre mais je vous emprunte le zombis correctement articulé et doué de paroles se trouvant derrière vous.

Butler : ...?

Bélinda : en soupirant Je parle d'Artemis.

Il s'écarte (a mon plus grand malheur) pour laisser entrer la jeune fille dans la pièce. Cette dernière se précipita vers moi, me saisie par la manche et m'entraîna dans ma chambre sous le regard amusé de mon garde du corps.

Elle referme la porte derrière nous deux et me fait m'assoir sur mon fauteuil.

S'en vraiment m'en rendre compte, je me met à la regarder. Elle porte une robe bleu et blanche, assez simple, qui lui va, il faut le reconnaître, comme un gant.

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