What if...

Son sourire

Pov Artemis :

Bélinda et moi nous trouvons dans le restaurant où j'ai commandé. Des fois, je me demande si en plus d'être la demi sœur d'Holly, elle aurait pas aussi un lien de parenté avec les Butler. Quand nous sommes arrivés à la tables, elle a tout regardé sous toute les couvertures, et maintenant elle fixe la carte du menu comme si elle était sur d'y trouver une caméra. Elle a l'air si concentrer que même moi n'ose pas la déranger.
Je me décide donc d'observer cette petite beauté : elle a mis la robe que je lui avais donné, et comme je l'espérais, elle lui va parfaitement bien.
Elle a remonté ses cheveux a l'aide d'une pince, donnant une belle vu sur son cou, et elle porte une paire de boucle d'oreille en or pâle.
J
Après un moment, elle repose la carte en souriant pour me faire savoir qu'elle avait choisi. Après avoir passé la commande et que nos plats soir arriver, je me décide à entamer la conversation.
Je remplis deux coupes avec du champagne (oui je sais on est pas majeur mais je suis un Fowl donc ça passe) et lui en tant une .

Moi : Je porte un toast à l'accomplissement d'une mission très réussie, même si je n'aurai certainement pas fait ça comme ça.

Bélinda : et moi je porte un toast à moi même pour mon bon travail!

Moi : c'est ça, va pas rêvé non plus ! Certaines choses on peut-être changer, mais ce que mes parents veulent, c'est que je me trouve quelqu'un et que je me mari avec histoire d'assurer la suite de la lignée Fowl, ce que je ne risque ma décision faire avec mon caractère. Donc désolé de te le dire mais tu es bien loin du but.

Sans prévenir, elle se leva, vein à côté de moi, se pencha et m'embrassa...
Pardon ?
Mais qu'est qu'elle fout elle ?!
N'empêche que c'est pas si mal...
Mais quand même !
Sans plus attendre je la repousse, et avant que je n'ai pu dire quoi que se soit elle lance toute en riant calmement:

Bélinda : a oui ? Tu crois ça? Pourtant il t'a fallu plus de cinq secondes pour me repousser !

Moi : au moins je l'ai fait !

Je me mis à faire la moue, non mais pour qui elle se prend elle !

Bélinda : Heureusement pour toi, qu'elle secondes de plus et j'aurais pu y allé avec la langue !

Moi : Va te faire foutre !

Sur se, nous éclatons tout deux de rires et commençons à manger.

Ellipse deux heures

Pov Bélinda :

Je ne sais toujours pas se qui m'a pris de l'embrasser comme ça, c'était comme un rêve, et aussi si stupide. A la fois je me dit que je ne le connais que depuis très peu de temps, et que je devrais peut-être attendre un peu avant d'essayer d'entamer une relation quelconque avec lui, mais en même temps, ça réaction m'a déçu. En tout cas, il est évident que nous devrions avoir une discussion par apport à ce qu'il c'est passer mais je préfère attendre demain.
Pour le moment, je préfère surtout ne pas mettre de mots sur mes sentiments, je préfère être sur de se que je ressens, autant pour lui que pour moi.

Artemis : Il fait frais, mais Butler va bientôt arriver.

Moi : D'accord

Je répond très vaguement, trop occupé à observer une bande de garçons de l'autre côté de la route. Ils n'ont pas l'aire très commode. Je me demande bien se qu'ils font là.
Même d'ici, et dans la noirceur de cette nuit de fin d'automne, je peu tout de même voir cette lueur dans leurs yeux, qui dit qu'ils sont fous à lier.
Ce que je pensais être mes dernières pensées pour eux quand je vis la voiture de Butler arriver, fut
"de toute manière, ils leur faudraient pas mal de culot ne serait-ce que pour prétendre l'être plus que moi".

Pov Artemis :

Ah, voilà Butler. Alors qu'il sort de la voiture, je vais m'installer derrière la place du conducteur. Alors que Butler faisais une mini ronde de sécurité, une bande de jeune s'avancent vers nous. En les voyant, Butler, en temps que bon garde du corps, referme la voiture sur moi pour me protéger et place sa main contre son pistolet, prêt à dégainer à tout instant.

Les garçons s'avancent vers Bélinda, rester dehors. Puisqu'ils ne me voient pas à cause des vitres teinté, ils doivent sûrement penser que tout ça (Butler, la voiture de luxe utra sécurisée...) est pour elle.
Bien sûr, grâce au micro que j'ai placé sur ma gouvernante, je peu entendre toute la conversation, et observer la scène depuis la caméra sur le rétroviseur depuis mon ordinateur portable que j'ai toujours avec moi :

Garçon 1 : Alors choupette, on sort au restaurant de luxe pour dîner et on nous invite pas ?

Il l'attrapa part le colle.

Butler : écarté vous d'elle.

Garçon 2 : *sort une arme* à oui ? Et qu'est-ce que vous allez faire , nous tuer ? Alors que dites vous que je commence par abattre votre employeuse !

Il pointe l'arme sur la tête de Bélinda, celle si toujours maintenu par le colle par le premier type.

Garçon 3 : ça serait dommage qu'une si belle jeune fille se retrouve avec un trou sur le front.

Alors, je commence à paniquer. Je me serais bien demandé pourquoi Butler n'a encore rien fait, seulement je connais parfaitement la réponse : il pèse le pour et le contre. C'est moi qu'il doit protéger en priorité, alors est-ce que je pourrais être mis en danger pour une raison x ou y si il venait à tirer sur ces hommes.

Garçon 1 : Puisque vous nous avez l'air d'être une personne relativement riche, je dirais, un versement de 500'000 dollars sur mon compte ? Ou alors je devrais demander à mon ami de faire un joli trous dans son crâne pour l'a tué.

A ce moment là, je ne sait pas à quoi je m'attendais, mais sûrement pas à ça :

Bélinda baissa la tête, mais pas trop. Et puis, elle sourit. Son sourire aurait pour n'importe qui d'autre le même que d'habitude. Mais pour moi qui le vois le normal tout les jours depuis deux semaines, ainsi que les destinataires de celui si, c'était comme un synonyme de danger, de dangerosité.
Elle avait les yeux fermés, et soudain, elle releva la tête, son sourire plaqué sur le visage. Quand elle ouvrit les yeux, son expression était changé, elle était insensée. Son regard était menacent et son sourire effrayant lui donnait un air de vrai psychopathe.

Puis, d'une toute petite vois, douce, mielleuse, elle articula :

"Est-ce que vous savez au moins se que veut réellement dire "tuer" ?"

Et la, je compris pourquoi elle souriait toujours.

Je compris que personne au monde m'étais plus dangereux qu'elle.

Elle porte son sourire comme un pistolet chargé.

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Salut, c'est une petite note de l'auteur.

Si vous avez regardé Assassination Classroom, dite vous que le sourire de notre protagoniste était un sourire à la Nagisa.

Aussi, je ne l'ai pas encore fait, mais je tenais à préciser que toute les images que je mets (sauf exceptions) ne m'appartiennent pas, je les trouve sur Pinterest.

Et encore un truc, désolé pour le moment un peu cringe du chapitre, mais c'était nécessaire au bon déroulement de l'histoire.

Sur se, Bye !