« L'amour », ce phénomène qui traverse les siècles et qui est présent depuis la nuit des temps. Et qu'on le veuille ou non, on a tous déjà été étroitement lié à ce sentiment palpitant. De la bonne, tout comme de la mauvaise manière. Et il est vrai q...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Je dormais à point fermé lorsque je sentis quelque chose me chatouiller la joue. Je lâchai un grognement et me retourna dans mon lit dans l'espoir de ne plus être déranger et de pouvoir continuer ma nuit de sommeil paisiblement. De nouveau, je sentis des chatouillements, mais cette fois-ci sur mon autre joue. C'est lorsque je sentis une chose rugueuse sur mon épaule et que j'entendis de petits aboiements que je sus tout de suite à qui j'avais à faire aussitôt le matin. Doucement, j'ouvris les yeux et un large sourire pris place sur mes lèvres en voyant la tête de mon petit chien pencher sur le coté, ses petit yeux ronds me fixant d'un air intrigué.
— Coucou, Dalgom, souris-je en caressant la douce fourrure couleur blanche-neige de mon petit compagnon.
Je me redressais en continuant de câliner mon chien et déposa un baiser sur son front tandis que la porte de ma chambre s'ouvre sur ma mère en tailleur Dior, portant des escarpins de la même marque et ses cheveux étant tirés en un chignon bas qui dégageait son visage et soulignait sa beauté.
— Ma chérie, tu es enfin réveillé, sourit-elle doucement. Dépêche-toi de te préparer et descend vite. Ton père et moi avons quelque à vous dire à ton frère et toi.
— Oui, je fais vite, répliquais-je de la même façon en me levant de mon lit et en déposant Dalgom au sol.
Ma génitrice me sourit tendrement et referme la porte.
