« L'amour », ce phénomène qui traverse les siècles et qui est présent depuis la nuit des temps. Et qu'on le veuille ou non, on a tous déjà été étroitement lié à ce sentiment palpitant. De la bonne, tout comme de la mauvaise manière. Et il est vrai q...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Après notre entraînement épuisant, je sors des douches après avoir enrouler une serviette autour de mes hanches. À cause de la douche chaude et longue dont je venais de ressortir, mes cheveux restaient tout de même tremper, mon torse ainsi que mes abdos luisaient à la lumière du jour et ma peau était légèrement rouge. Les vestiaires étaient toujours aussi remplies que d'habitude et l'odeur de déodorant masculin emplissait les lieux. Seul, je me dirigeais rapidement vers mon sac pour me saisir d'une autre serviette, alors que des sifflements retentissent dans mon dos. Sans plus, je n'y prête pas attention, mais fait volte-face lorsque de fins doigts viennent effleurer mon dos musclé.
— Tu ne sais pas voir qu'il s'agit des vestiaires pour hommes ? Soufflais-je.
À peine avais-je rencontrer les yeux noisettes de la brune à la queue de cheval haite, que je me suis rapidement reconcentrer sur ma tâche. C'était de loin la dernière personne que j'avais envie voir.
— Même pas de bonjour, à ce que je vois ? Ça ne fait rien, j'ai toujours été habitué à ton humeur joyeuse et débordante, réplique-t-elle ironiquement.
La brune s'avance sur ces talons hauts, le bas du dos toujours dévoré par quelques regards indiscrets de mes coéquipiers, et passe une main curieuse dans mes cheveux blonds sous mon regard lassé.
— J'aime beaucoup ta nouvelle couleur de cheveux, me complimente la coréenne. Elle te rend cent fois plus attirant que tu ne l'es déjà.
Son action lui vaut un roulement oculaire de ma part, alors que d'un geste brusque, j'arrête son poignet, et l'entraîne avec moi dans un coin des vestiaires moins fréquentés mais surtout à l'abris de tout ces regards affamés.
— Qu'est-ce que tu m'veux à la fin, Lia ? Râlais-je.
La brune fronce les sourcils et croise les bras sous sa poitrine.
— Pour commencer, peut-être que tu cesses de m'éviter dans les couloirs, que tu répondes à mes appels et aussi à mes messages, ou bien ce serait trop te demander ? Liste la cheerleaders, en me toisant.
