Kidnappée par un Mafieux.

Chapitre 24 ✓

TW : agression sexuel !!

Après avoir doucement repris une respiration plus fréquente en plus d'avoir avalé une dizaine de fois ma salive pour enlever cette sensation sèche dans ma gorge du au passage des doigts de Monsieur Soon sans aucunes raisons.

Venant se servir d'un liquide brunâtre dans son verre , Monsieur Soon pris le temps d'avaler ceci avant de se retourner vers nous : moi et Shul.

—Je ne vois pas comment elle peut être ton épouse si elle a un réflexe vomitif si pousser.

Dit il en s'adressant à mon amant maudis.

Le temps que je réalise ce qu'il venait de dire , celui ci était déjà à croupir devant ,moi , toujours recroquevillée sur ma chaise.

—Enfin ça peut s'arranger.

Une grimace dégoûtée se dessina sur mon visage à ce même instant tant dis que je pouvais déjà entendre les ricanement de Shul.

C'était un fiasco , moi qui pensais m'être bien comportée au début , il a fallu que son chef trouve de l'intérêt à mon égard.

—Monsieur , je la préserve juste ... j'attend la nuit de noce!

Il était tellement peu crédible dans ses propos que même un imbéciles ne le croirait jamais.

J'ai l'impression de ne pas être dans la salle , c'est une chose que je déteste , que l'on parle de moi alors que je suis dans la même pièce.

—Oh et bien si ce n'est que cela!

A ses mots Monsieur Soon se redressa doucement après avoir caresser mon genoux et ma cuisse pendant quelques secondes tout en venant claqué ses mains entre elles devant son visage.

d'une manière aussi théâtrale et mal faite que la répartie médiocre de Shul , il vint prendre une inspiration tout en fermant les yeux avant de prononcer.

— Et bien , Monsieur Shul voulez vous prend comme épouse Cassis ?

Un oui sorti de la bouche de celui ci ,suivi de la même question à mon égard, non mais ils rigolent j'espère ?

Semblant rêver il fallu que Shul pose sa main sur mon épaule pour me forcer à répondre.

Si je dis non , je risque de retrouver ma tête coupée sur la table de la villa demain ... alors ... dans un relent d'accident m'alertant que la panique montait de plus en plus dans mon corps je prononce ;

—Oui je le veux.

C'était si ridicule si on observait la scène de haut , néanmoins j'avais l'impression de jouer ma vie sur un jeux de non retour ... que suis-je en train de faire...

À ma dernière réponse, Monsieur Shul dit alors cette phrase bateaux que l'on entend à chaque mariage mais que , souvent , personne ne respecte.

—Et bien je vous déclare mari et femme , vous avez jurés amour et fidélité, à la vie jusqu'à la mort ! Vous pouvez embrasser la mariée.

Dans un souffle caressant mes lèvres, des mots sorti de la phrase de celui ci résonnent : « Jusqu'à la mort. »

Je n'eu même pas le temps de cogiter sur ces paroles si ... si ...

Que Shul vint prendre mon menton pour relever ma tête avant de venir écraser ses lèvres contre les miennes , il ne perdu pas de temps avant d'introduire sa langue dans ma bouche pour commencer à agresser la mienne, mes mains qui c'était jadis posés sur lui dans une sorte de réflexe pour le repousser, se transformèrent en étreinte du à l'alcool qui n'avait malheureusement pas encore quitté mon corps.

Venant empoigner son colle rouler tout en le relevant subitement de ma chaise , malgré le fait que je sentais bien que je n'allais pas faire long feux sur mes jambes incontrôlables et engourdies.

Soigneusement, enfin non , d'une manière plutôt brutale, Shul vint poser sa main qui n'était pas à mon menton , sur ma cuisse avant de retirer la chaise hors de notre chemin dans un coup de pied qui la propulsa à terre.

Porter par les bras lourd et muscler de celui ci , j'atterris, assise sur la table , néanmoins toujours dans cette embrassade langoureuse entre nos deux corps.

Pourquoi suis-je ainsi... es ce que c'est réellement moi qui fait ça ou l'alcool ?...

Temps de question que je n'ai pas le temps de répondre avant de sentir Shul s'appâter sur la tirette de ma robe.

Je senti des mains qui n'étaient pas celles de Shul se poser sur mes épaules, l'aidant justement à l'enlever le tissu qui les couvrait, suivis d'une respiration lente dans mon dos en se glissant dans mon cou , pour finir sa cours sur quelques bisous à cet endroit.

Un énorme frisson envahis mon corps , à ce même instant , Mr Soon vint se retirer dans un soufflement de nez , quittant la pièce dans un silence morbide, couvert par nos gestes brusques brûlant de désir.

Un fois le haut de ma robe retirer, Mon présumé mari vint me présenter un dernier verre que je bu sans réfléchir également... mais qu'es ce qui me prend?

Une fois cela fait , il n'eu aucune pitié pour le verre et le laissa allés s'éclater froidement contre le sol marbré.

Ce n'est que quelque secondes après , que plusieurs autres verres et assiettes rejoigna celui déjà cassé à cause de mon corps plaqué contre cette table si froide à la rencontre de mon dos désormais nue.

Seul les deux bandes de tissus recouvraient encore une petite parti du haut de mon corps , coincé par ma main gauche.

—Shul , je ne sais pas si c'est une bonne chose de le faire ici ... quelqu'un peux arriver à tout moment.

Dans un raclement de gorge , il ronchonna avant de poser sa main chaude en dessous de la robe , caressant le fil qui recouvrait mon intimité dans un mouvement lent et dure.

—Ne me dis pas que tu n'aimes pas le risque Bella , tu ne fais que ça depuis le début ... me provoquer... tu me cherche depuis le début ... alors ne te dégonfle pas maintenant !

Je veux qu'il arrête, j'essaye de redresser le haut de mon corps tout en le regardant dans les yeux sentant que le dernier verre n'était pas du tout rempli que d'alcool dans un vertige monstrueux qui me fit reprendre contact avec la table contre mon gré.

—Shul ... j'ai dis non ,... je ... je ne veux pas faire ça !

L'angoisse vint à moi peu à peu dans une hausse de tremblement s'emparant très vite de mon corps tout entier.

Une main vint agrippée mes cheveux pour me redresser la tête.

—rhaaa , Je vais t'occuper la bouche pour que tu la ferme un peu salope...

Les dents serez , je me débat lentement et mollement... je n'ai vraiment plus de force ... c'est horrible.