Kidnappée par un Mafieux.

Chapitre 1 ✓

C'est le grand jour !

Je part enfin quelques part avec mon orphelinat après presque 7 ans à rester dans ce grand bâtiment.

L'orphelinat avait apparemment reçu un dont plutôt élevé et vendu donc pour cela que le staff à décidé d'emmener les plus anciens en voyage.

Et pour ce jour c'est direction Mexique !

Je viens de finir ma valise avant de descendre dans le hall en soupirant tout en posant son bagage prêt à exploser.

Dans un balayage de la pièce par mon regard , le vis toutes les personnes qui sont à peu près au même stade que moi , c'est à dire : bientôt voué à moi même après mes 18 ans.

Néanmoins je sais que ce voyage va me détendre et me faire penser à autre chose que ces 4 murs.

Pensée que à moi et pas tout ces aller et retour de maisons en maisons...

Un bus ses présenté devant l'orphelinat, les éducateurs nous on donc aidez à mettre nos valises dans la soute.

Je prend quand même mon sac avec toutes mes affaires les plus utile à ma place.

Les écouteurs dans les oreilles, mon regard se perdant sur l'entrée du bâtiment que je connais trop bien , je sent le moteur ronronner et je vous alors cette façade partir peu à peu.

Il m'a fallut alors que quelques minutes avant de m'endormir, n'ayant pas dormi de la nuit , beaucoup trop excité de partir de l'orphelinat pour enfin partir autre par que dans une famille qui sera la mienne dans un temps éphémère.

2 heures après que je me sois endormie, mes yeux s'ouvrent en sursaut après avoir entendu la musique des personnes au fond du bus aller de plus en plus fort.

Je décide de regarder mon téléphone, pas de chance il c'est éteint , c'est donc pour cela que je n'entendais plus ma musique.

J'enlève alors les écouteurs en regardant le paysage défiler devant moi.

J'entends alors une éducatrice près de moi dire à un autre ado que nous avons déjà passé la frontière du Mexique.

À ce même moment le conducteur poussa d'un coup sur le frein, laissant mon visage s'écraser contre le siège devant moi comme le 3/4 des passagers.

Je passe alors ma main sur mon front et mon nez juste après cette arrêt si sec et je remarque que je saigne abondamment du nez.

Mon regard ce relève quand je vois 3 hommes habillé de noir qui nous menaces avec des armes à feux.

Mes yeux s'écarquillent quand je vois tout ça , à ce même moment , l'un des trois nous ordonne de jeter nos téléphones dans un sac qu'un autre à en main.

Il rajoute aussi que nos cartes d'identité doivent être donnés à lui même.

Je dégluti avant de m'exécuter en donnant d'abord mon téléphone qui , de toute façon, il me servait pas à grand chose de toute façon.

Le dernier des hommes fait sortir les éducateurs en plus du conducteur, j'entends alors 5 coups de feu mais n'ose pas regarder par la fenêtre comme la plus part des ado déjà sous le choque et tremblant.

Nous sommes donc tous dans ce bus , sans personne avec des hommes nous braquant.

Celui qui vient de descendre nos accompagnant remontent alors avant de prendre le volant.

Les deux autres se place à des endroits stratégiques pour tous nous surveiller.

Le regard froid , je n'ose pas bouger et cela pédant presque 3 heures

Je tourne doucement le regard pour voir que le soleil est en train de se coucher.

À ce même moment je sens le bus ralentir , je relève la tête vers l'un des hommes alors que celui ci me fixe justement.

Je baisse alors le regard.

Les portes s'ouvrent et à ce même moment ils nous ordonnent de nous lever et de descendre un par un , nous conduisant vers un espèce de bâtiment abandonné.

Dans ce bâtiment au lumières superficielles, ils nous font assoir sur des chaises aligné sur 4-5 rangées.

D'autre hommes sont dans cette salle , toujours armées et nous attache à chacune d'elles.

Je regarde doucement à ma droit et je vois un garçon d'à peu près 16 ans , les larmes au yeux , je l'avais déjà vu dans les couloirs mais je ne lui avais jamais parlé.

À ce même moment un des hommes montre sur des caissons avant de osé la voix.

—Bienvenue en enfer les gosses.

Dit il en pouffant de rire avec les autres.

Tout les ados se regarderaient, complètement perdu.

L'homme avec le sac au cartes d'identité vint arriver près de celui qui venait de partir avant que ceux ci se mirent à les regarder en appelant les personnes à leurs noms avant de les détacher et les amener à d'autre personne qui disparaissent de cette pièce.

Je ne sais plus après combien de temps mais nous sommes maintenant plus que 15 personnes.

Le garçon à ma droite est toujours là.

Du coin de l'œil dans un énième balayages de la pièce avec mon regard demandant de l'aide,  je vis celui qui nous à "accueillis" s'approcher dangereusement avant de s'arrêta au quelques centimètres de mon visage.

Il penche sa tête dans le creux de mon oreille avant de me susurrer :

—Bonsoir Cassis Londs.

Je reste figée, le regard perdu cherchant à me calmer le plus possible mais quand celui ci vint se redresser quelques peu pour me regarder dans le blanc des yeux , mon souffle se coupa.

Je savais à ce moment là que je n'allais pas m'en sortir , et ça , pour de bon.

Néanmoins il ne me détacha pas , l'homme vint sortir une aiguille de sa poche avant de me le planter dans le bras.

Mes yeux se ferment peu à peu en voyant son visage me sourire en me narguant.