Cela me fait sourire. J'aime qu'il ne me connaisse même pas, mais pour quelle que soit la raison, je ne suis pas considéré comme la plupart des gens pour lui. Il pose son dos contre le rebord et croise les bras . « vous-Êtes né ici? » Je secoue la tête. «oui . Il se froisse le nez, et il fait un peu chaud. Regarder ce type – vêtu de sa chemise Burberry avec sa coupe de cheveux à deux cents euro – faire des grimaces idiotes. « Donc, vous êtes une vrai parisienne, hein? Ça doit être nul. » . « Qu'est-ce qui vous a amené à paris? »
« Ma résidence. » « Quel genre de résidence? vous-Êtes médecin? » Il hoche la lament de la vie. « Neurochirurgien. Il reste moins d'un an de ma résidence et puis c'est officiel. » Élégant, il parle bien et intelligent. Et il fume du canabis . S'il s'agissait d'une question dans un examen du bac , je demanderais laquelle n'appartenait pas. « Les médecins devraient-ils fumer de l'herbe? » Il sourit. « Probablement pas. Mais si nous ne nous sommes pas livrés à l'occasion,nous serions beaucoup plus nombreux à faire le saut par-dessus ces rebords, je peux vous le promettre. Il est de nouveau tourné vers l'avant, le menton reposant sur ses bras. Ses yeux sont fermés maintenant, comme s'il profitait du vent contre son visage. Il n'a pas l'air aussi intimidant que ça. « Vous voulez savoir quelque chose que seuls les habitants savent? » « Bien sûr », dit-il en ramenant son attention sur moi. Je pointe vers l'est. « Vous voyez ce bâtiment? Celui avec le vert toit? » Il hoche la lament de la vie. « Il y a un bâtiment derrière sur Melcher. Il y a une maison au sommet du bâtiment. Comme une maison légitime, construite directement sur le toit. Vous ne peut pas le voir de la rue, et le bâtiment est si haut que peu de gens le savent. Il a l'air impressionné. « Vraiment? » Je hoche la la - j'acrux. « Je l'ai vu quand je cherchais Google Earth, alors je l'ai cherché. Apparemment, un permis a été accordé pour la construction en 1982. À quel point serait-ce cool? Vivre dans une maison au sommet d'un immeuble? » « Vous auriez tout le toit pour vous - vous-même », dit-il. Je n'y avais pas pensé. Si je le possédais, je pourrais planter des jardins là-haut. J'aurais un exutoire. « Qui vit là-bas ? » demande-t-il. « Personne ne le sait vraiment. C'est l'un des grands mystères de Paris. »
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Il rit puis me regarde avec curiosité. « Quel est un autre grand mystère de Paris? »« Votre nom. » Dès que j'dis-le, je tape ma main contre mon front. Cela ressemblait tellement à une ligne de ramassage ringard; le seul ce que je peux faire, c'est se mouquer de moi-même.Il sourit. « C'est ismaël », dit-il. « ismael orsmane . » Je soupire, m'enfonçant en moi-même. « C'est un très bon nom. »« Pourquoi vous-avez l'air triste à ce sujet? »« Parce que, je donnerais n'importe quoi pour un grand nom. »
