chapiter 5

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par EyEZzedine

par @EyEZzedine

Ils m'ont donné le nom de ma tante, à qui ils n'ont pas parlé depuis 15 ans en plus elle était une sorciére genre vraiment elle était une diable sur terre « Tes parents doivent être de vrais connards. » L'un d'eux est. Était. « Mon père est décédé cette semaine. » Il me jette un coup d'œil. « Bel essai. Je ne tombe pas dans le cas. « Je suis sérieux. C'est pourquoi je suis venu ici ce soir. Je pense que je viens de avait besoin d'un bon cri. Il me regarde avec méfiance pendant un moment pour s'assurer que je ne suis pas tirant sa jambe. Il ne s'excuse pas pour la bévue. Au lieu de cela, ses yeux devenir un peu plus curieux, comme si son intrigue était en fait authentique. « Étiez-vous proche? » C'est une question difficile. Je pose mon menton sur mes bras et regarde à nouveau la rue. « Je ne sais pas », dis-je avec un haussement d'épaules. « En tant que sa fille, je l'aimais. Mais en tant qu'humain, je le détestais. » Je peux le sentir me regarder pendant un moment, puis il dit: « J'aime cela. Votre honnêteté. Il aime mon honnêteté. Je pense que je rougis peut-être. Nous sommes tous les deux à nouveau silencieux pendant un moment, puis il dit: « Est-ce que vous avez déjà souhaiter que les gens soient plus transparents? » « Comment cela se fait-il? » Il cueille un morceau de stuc ébréché avec son pouce jusqu'à ce qu'il se détache. Il le fait glisser sur le rebord. « J'ai l'impression que tout le monde fait semblant d'être qui il vraiment, quand au fond de nous nous sommes tous égaux de merde. Certains d'entre nous sont tout simplement meilleurs pour le cacher que d'autres. » Soit son high s'installe, soit il est juste très introspectif. Ou En fait, je suis d'accord avec ça. Mes conversations préférées sont ceux qui n'ont pas de vraies réponses. « Je ne pense pas qu'être un peu prudent soit une chose négative », dis-je. « Les vérités nues ne sont pas toujours jolies. » Il me regarde un instant. « Des vérités nues », répète-t-il. « J'aime ça. Il se retourne et marche jusqu'au milieu du toit. Il ajuste le dos sur l'une des chaises longues derrière moi et s'abaisse dessus. C'est le genre sur lequel vous vous allongez, alors il tire ses mains derrière sa tête et regarde le ciel. Je réclame celui à côté de lui et l'ajuste jusqu'à ce que je sois dans la même position que lui. « Dis-moi une vérité nue, sarah. » « Se rapportant à quoi? »Il hausse les épaules. « Je ne sais pas. Quelque chose dont vous n'êtes pas fier. Quelque chose qui me fera me sentir un peu moins foutu sur le à l'intérieur. il regarde le ciel, attendant que je réponde. Mes yeux suivent la ligne de sa mâchoire, la courbe de ses joues, le contour de ses lèvres. Son les sourcils sont dessinés ensemble dans la contemplation. Je ne comprends pas pourquoi, mais il semble avoir besoin de conversation en ce moment. Je réfléchis à sa question et j'essaie de trouver une réponse honnête. Quand j'en trouve un, je détourne le regard de lui et je remonte vers le ciel.