Chapitre 15

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                [PDV de Hyonko ]

La journée avait été longue et mes jambes me lâche et quand j'arrive enfin devant ma porte je re ma que elle est pas complètement fermée, il y a aucune lumière nul part alors je décide de l'ouvrir doucement comme si je m'attendais à ce que quelqu'un m'attends dedans.

Je tape le mur qui est à côté de ma tête jusqu'à enfin trouver l'interrupteur que j'actionne.

Quand je peux enfin apercevoir cette chambre que je ne pouvais que bien connaître comme c'est la mienne.
Je rentre en cherchant si il y a quelques chose de innormal mais aucun signe, je referme la porte et me laisse tomber sur mon lit.

Mes paupières sont lourdes et mes forces ont toutes été dépensés, je m'allonge et me glisse dans mes draps, Je veux tellement ressentir encore une fois son odeur.
Je ne peux m'empêcher de repenser à cette nuit, elle avait comme été un rêve.

Je m'imagine difficilement être de nouveau sur ses genoux, son regard gris au dessus de moi et son sourire.
Ses mains passant dans mes cheveux, sur ces pensées Morphée décide de passer à l'acte et m'emporte avec.

Je me réveille difficilement, j'avais toujours fait ce même rêve qui me réveillais avec force et effraie.

Je me relève le mieux que je peux, les gouttes de sueur dégouline le long de mon visage, je respire fortement jusqu'à enfin ressentir la présence de ce monde où j'étais à l'instant.

J'avais envie de pleurer, toutes les émotions me prenait les une après les autres, je me lève pour rejoindre mon miroir que est à moins d'un mètre de moi.

Je relève les yeux sur mon reflet que je détaille du regard, je ne fait ressortir aucune émotions, je suis vide.

Je commence à venir les larmes monter, je renifle pour éviter qu'elle ne coulent, cline des yeux mais celles-ci dégouline sans s'arrêter.

Je baisse le regard du miroir pour ne pas me voir aussi ignoble.
Je me retourne vers mon lit ou je tombe la tête la première dans mon oreiller, j'ai envie de crier mais aucun song ne sort, je ne peux presque plus respirer à cause de l'oreiller alors je tourne la tête.

Je ferme les yeux et tente de sourire mais il manque quelques chose en moi, quelques chose que j'ai toujours désiré avoir mais que je n'ai jamais eût le temps de vivre.

Soudain j'entends toquer à la porte, je n'ose pas parler avec ma voix à moitié englouti par mes larmes, je renifle, sèche mes larmes et fait le plus beau sourire.

Moi : entrer !

Shachi : salut !

Moi : salut .

Shachi : euh...tu pleure ?...

Moi : nan je suis juste allergique à la poussière idiot !

Shachi : tu es sur que ça va ?

Moi : mais oui ! Je suis forte regarde !

Je lui montre mes muscles en tapant fort sur mon bras avec un large sourire.

Moi : bon tu es venue pourquoi ?

Shachi : bah avec pingouin on aimerait que tu viennes avec nous, on va faire des jeux de société.

Moi : haha, désolé je suis pas vraiment en forme, un peu fatigué d'hier je crois.

Shachi : ah...

Moi : sinon avec Ikkaku ?

Shachi : je vais abandonner l'idée, je sais très bien qu'elle ne m'aime pas comme ça.

Sous un autre nom Où les histoires vivent. Découvrez maintenant