Chapitre 31

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Ellipse de 2 jour.

Le polar tang avait avancé dans le vaste monde où était nos 2 amoureux.
Les primes ne montaient pas et les événements ne se révélaient être très peu variés, quelques combats par là mais jamais grand chose.

Le QG de la marine avançait lui aussi, à bord Sengoku et d'autres.
Mais ça personne sauf Law et Bepo le savais, ils s'attendent forcément à un croisement et c'est bien ça qui inquiète notre capitain.

               [ PDV de Hyonko ]

J'étais à bord de la vigie avec Bepo comme dans nos habitudes, ils m'avaient tous parlé de quand j'étais sous ma maladie et apparemment ça les a amusé parce que maintenant ils ne cessent plus de me le rappeler avec des moqueries.

Moi : Bepo...

Bepo : hum ?

Moi : Pierre feuille ciseau, celui qui perd rangera la vaisselle.

Bepo : ok.

Moi : 1...2...3...Pierre feuille ciseau !

Nous étions en position, avec tristesse je découvre la main de Bepo en feuille et moi en pierre.

Bepo : 3 manches ?

Moi : 3 manches.

Bepo et moi : 1...2...3...Pierre feuille ciseau !

Cette fois Bepo grimace, il a les ciseaux et moi la pierre.

Moi : haha ! 1-1 !

Nous continuons jusqu'à ce que je perde.

Je grimace et m'allonge au sol comme si j'étais morte.

Moi : raah ! J'avais trop d'espérance cette fois ! Pourquoi !!!

Bepo : Hyonko...

Moi : hum ?

Je relève la tête pour voir la face désastreuse de notre pauvre Bepo.
Il tremble de la tête au pied tout en s'éloignant de l'objectif.

Moi : quoi ? Tu as quoi tout à coup Bepo ? T'es pâle.

( c'est pas comme si il était blanc de base (¯―¯٥) )

Bepo : appel...le ...capitain...

Moi : pourquoi ?

Je m'approche de l'objectif et découvre  au loin un bateau de la marine.

Moi : mais il n'y a rien de grave ?

Bepo : on ne t'a pas dit mais...la marine...la marine elle...te ...

Moi : quoi  ? La marine quoi ?

Bepo : elle te recherche !

Moi : hein !? Mais c'est absurde !

Bepo : ils... ils veulent te parler concernant un amiral mort ...

Moi : un amiral ?

Bepo : vas dire au capitain !

Moi : j'y vais !

Je sort de la vigie en claquant la porte derrière moi, je cour le long des couloirs à la recherche de Law mais ne le trouve pas.

Je tourne la tête dans tout les sense quand soudain je fonce droit dans quelques chose.

Law : tu peux pas regarder où tu vas miss ?

Je relève la tête, c'était Law, sauvé !

Moi : Law ! Bepo ...il m'a demandé de te prévenir que...

J'étais essoufflé.

Law : que quoi ?

Moi : la marine, elle arrive.

Law : quoi !? Mais...j'arrive.

Law me dépasse et cour vers la vigie puis par la suite je le suit.

Soudain une secouse se fit ressentir et Law et moi nous nous cramponons au mieu au mur du couloir.

Moi : c'est quoi ça ?

Law : ...on est piégé.

Moi : quoi ?

Law : il nous on repêché.

Moi : mais si ils me cherche il faut que je me cache !

Law : nan...

Moi : mais pourquoi ?

Law : inutile, on ne peut pas les fuire infiniment, il ne veulent pas te tuer.

Moi : ah oui ? Pourquoi ?

Law : c'est corazon, ou Rosinante si tu comprends mieux, il était de la marine alors se serait injuste de tuer son unique fille.

Moi : tu as sûrement raison...

Voit extérieur : ÉQUIPAGE DES HEART, RENDEZ-VOUS ET SORTEZ.

Law me regarde dans les yeux comme un signe de " on a pas le choix ".

Je le suit jusqu'à la sortie ou plusieurs hommes armés jusqu'au dent nous entoure sur le pontons du polar tang.

Tout le reste de l'équipage sort peu à peu après nous.

Marin : Sengoku-san ! Nous les avons.

???? : bien.

Un grand homme habiller d'une large cape de la marine nous rejoins sur le pont, il avait une longue barbe noir tressé et des cheveux assé court.

D'après ce que j'ai entendu les autres l'on appelé " Sengoku ", un haut placé celui-là alors.

Il cherche des yeux parmi nous tous quand enfin il me fixe en plissant les yeux, je restais là les bras en l'air à attendre.

Sengoku : tu es Hyonko Don Quichote.

Moi : et alors ?

J'avais pris un ton peux être un peu méchant mais celui-ci ne réagit pas en me fait signe de le suivre.

Sengoku : les autres en prison.

Moi : ATTENDEZ !

Tout d'un coup il se stoppa nette et se retourne un regard interrogateurs au visage.

Sengoku : hum ?

Moi : si vous voulez me parler il va falloir les relâcher ou vous n'optiendrez rien de moi !

Sengoku : ne t'en fait pas, je l'est relacherai.

Il se retourne et continue de marché jusqu'à sa cabine ou je me sens bien obligé de le suivre.

Nous arrivons dans une salle vide et sombre ou il n'y a que 2 chaises.

Sengoku s'assoit sur la première mais moi je reste debout.

Sengoku : assis toi voyons, tu ne vas pas rester tout ce temps debout.

Moi : j'ai n'ai d'ordres que pour mon Captain !

Sengoku : mais ce n'est pas un ordre, tu en veux ?

Il me tent un packet de je ne sais quoi qu'il mange devant moi.

Il comprend rapidement sue dans mon regard il n'optiendra rien.

Sengoku : Rosinante ça te dit quelque chose ?

Moi : c'est mon père et alors ?

Sengoku : tu sais pour qui il travaillait ?

Moi : pour vous.

Sengoku : bien, j'ignorais qu'il avait une fille, il ne me l'a pas dit .

Moi : je ne vois pas où vous voulez en venir mais allons droit au but.

Sengoku : allons calme toi, tu vas bientôt comprendre.


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