Sous un autre nom

Chapitres 21

Il vient approcher sa main de mes genoux et l'autre de mon dos, ainsi il commence à me soulever dans ses bras, je suis encore en pyjama qui est simplement composé d'un grand t-shirt blanc et d'un large pantalon.

Il me porte en princesse, me fait sauter pour mieux me placer dans ses bras et se retourne.
Je dépose ma main sur son torse pour me tenir.
Il regarde droit devant lui et longe le couloir.
Je le regarde de bas, il est magnifique sous cet angle.

J'ai encore du mal à savoir ce qui c'est passé exactement mais je suis très bien consciente, seulement tout va trop vite et bientôt je me retrouve dans sa chambre.

Il me dépose sur le canapé doucement et retire ses mains.

Law : reste ici le temps qu'on éteigne le feu, je reviens vite.

Il retourne sur ses pas pour refermer la porte derrière lui.
Je me retrouve seule dans sa chambre, sur son lit-canapé.
C'est extrêmement gênant.

                     [ PDV de Law ]

Il y a quelques années, cette pièce à aussi sauter, enflammé.
C'est bien pour ça que ce n'est plus mon bureau depuis ce jour, et je crois bien avoir pris d'énormes risques en donnant cette pièce en guise de chambre à Hyonko.

Je cours pour venir éteindre le feu, rapidement les flammes deviennent plus petites, au sol j'aperçois un carnet noir en cuir, je ne l'est jamais vue ici.

Il doit être à Hyonko, je me baisse pour le prendre dans ma main.

Ikkaku : Captain, le feu est éteint maintenant, que dois t'on fair ?

Elle était essoufflé.

Moi : c'est du bon travail, merci.
Vous pouvez rejoindre vots chambre, on verra ça demain.

Ikkaku : bien Captain !

Sur ce elle cour rejoindre sa chambre.

Je reviens sur mes pas pour revenir dans ma chambre où notre menteuse professionnelle y est encore, j'espère ne pas l'avoir fait trop attendre.

               [ PDV de Hyonko ]

Je me lève, j'ai enfin pris conscience des événements qui était entrain de ce dérouler, mais comme m'avait ordonné Law, je devais rester ici à attendre qu'il revienne.

Je me lève par ennuis et me dirige vers son bureau ou j'effleur de ma main tout les docs s'y trouvant.
Quand soudain mon doigt effleure un bout de document jaune vieillit .

Je tire le bout pour voir de quel genre de documents s'agissait t-il.
Je découvre avec stupeur que ce document n'est autre que mon avis de recherche.

J'ai envie de le prendre entre les doigts et de le chiffonner sauf qu'au moment où j'allais le faire la porte s'ouvre.

Je me retourne surprise tout en lâchant le papier que je tenait dans mes mains.

Je remarque Law qui est contre la porte, il entre tranquillement en levant son regard gris vers moi.
J'ai comme l'impression que je vais passer un mauvais quart d'heure...

Moi : je suis désolé,...J'ai rien fait pourtant et tout d'un coup tout à explo...

Law : je te crois, je suis désolé.
Je me doutais bien qu'un jour elle reéxplosera et pourtant je n'y est même pas pensé en te la donnant, désolé.

Moi : hein ?

Law : tu n'est pas blessé ?

Il me regarde de haut en bas, soudain je me souviens que Ikkaku m'avait dit que c'était son encien bureau et qu'il y avait eût des problèmes techniques.

Je me réveille de mes pensées tout en pendant à la question de Law.

Moi : hein ? Euh...Nan j'ai absolument rien...héhé...

Je riais d'un air tellement gêné tout en cachant le bras avec lequel je m'étais protégé de la projection et qui avait été égratigné.

Law penche la tête et soulève ses sourcils comme si il allait sortir : " tu te fous de moi ! Tu crois que je ne te vois pas ?".

Je peur quand il approuve de moi, une goutte dégouline de mon visage et j'affiche toujours le même sourire forcé et gêné qu'avant.

Il passe derrière moi doucement, proche de moi, je peux même sentir son souffle chaud contre mon coup.

Il attrape mon bras délicatement, celui qui avait souffert.
Il le regard et se retourne en me faisant signe de m'assoir sur le canapé lit que je nomme Robert le canapé.

Ce que je fait donc, il revient vers moi avec une bouteille d'alcool ( et non ce n'est pas l'apéro ) et du coton.
Je le sens pas cet alcool, j'ai horreur de cette sensation sur mes plaies.

Je grimace comme je peux mais il se contente d'un petit rire.

Law : il faut vraiment que tu arrêtes de me mentir hein .

Moi : mais c'est dans ma nature de mentir, sans mensonge la vie est ennuyante nan ?

Je dis ça avec un sourire joueur avant qu'il me colle ce fichu bout de coton mélangé à l'alcool sur ma plaie.

Law : regarde moi dans les yeux.

Je détourne alors mon regard du coton et le regarde, lui et ses yeux gris captivant .

Law : tu n'as pas l'air d'aimer cette technique, ne regarde pas ça fera moins mal.

Moi : mais nan je n'ai pas mal !

Je suis au bort des larmes ok !

Law : j'avais pas dit d'arrêter de mentir ?

Moi : Grrr...

Je le fixe en décrivant chaque recoins de son magnifique visage, lui en revanche est totalement concentré sur ma plaie, soudain il relève son regard mes pas son visage.

Je rougis et détourne mon regard.

Law : c'est bon.

Je sens qu'il me colle un pansement sur le bras ce qui me soulage.
Oui je suis une gamine et alors !

Moi : dit Law...

Law : hum ?

Moi : je ...enfin...comme ma chambre...euh...bah...elle est...enfin voilà quoi...Je...Je...

Law : tu vas dormir ici oui.

Ce mec il arrête pas de me couper la parole à chaque fois, c'est dans sa nature à lui aussi ou quoi ?!
Je suis un peut surprise et apparemment ça se voit.

Law : ce n'est pas comme si c'était la première fois nan ?

Moi : raaah! N'en rajoute pas !

Law : pourquoi, t'es gêné miss ?

Moi : nan pas du tout !

Law : pourtant tu es toute rouge.

Je n'avais pas remarqué mais mon visage surchauffe.

Moi : c'est pas comme si il ne c'était rien passé dans ma chambre idiot.

Je détourne le regard.

Il sursaute surpris et pris de gêne, lui aussi rougit un peu.

Law : je suis désolé pour avant.

Moi : nan c'est pas grave...

J'avais envie de lui coller au visage que j'avais juste super adoré et que c'était plutôt un avantage, qu'il ne devait pas s'excuser...

Law : d'ailleurs j'ai retrouvé ça.

Il me tent mon journal.

Moi : mon journal ! Merci !

Il détourne le regard parce qu'il est encore rouge et que bien sûr il tente de détourner la conversation.