Chapitre 5

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☁️☁️☁️

Mes yeux s'ouvrent soudainement quand j'entend un cri, un cri gênant.

La première chose que je vois est un plafond blanc. Je me demande où je me trouve puis je vois un climatiseur et un mur vert clair.

J'suis où la ?

Et puis tout refais surface dans mon esprit comme si je regardais un trailer.

J'avais l'impression que quelqu'un m'avait frappé le crâne avec un marteau.

L'homme avec une cicatrice. Sanzu avec un flingue. Il avait appelé une voiture. Rindo. Je suis montée dans la voiture. Et je me suis sentie fatigué.

Maintenant je suis là.

Le cri. Peut-être qu'une fois de plus Sanzu était entrain de torturer ou tuer quelqu'un. Après tout, il semblait adorer assassiner des gens.

Un criminel.

Je me paralyse quand j'entend des voix. Ma poigne sur la couette se resserra.

Qui était là ? Je voulais crier mais ma raison m'en dissuada.

Je tourne ma tête lentement sur la gauche et voit deux hommes par l'ouverture de la porte mal fermée. Ils parlaient ensemble, un au long cheveux blanc et l'autre avec une coupe violet gélifié sur le côté, de la où je suis je ne pouvais pas comprendre ce qu'ils se disaient.

Je renferme immédiatement mes yeux .

J'essayais de faire semblant de dormir, mais il fallait prendre en considération le fait que j'étais une très mauvaise actrice.

Puis j'entend la porte s'ouvrir entièrement.

- Elle dort encore, non ? demanda l'étranger numéro 1.

Nan nan je dance.

Après une pause, quelqu'un répondit.

- Ouais, elle en a tout l'aire.

Je pouvais sentir leurs regards sur moi et c'était très inconfortable. Je me tournais afin qu'ils ne furent plus capable de voir mon visage.

Mon dos leur faisait face à présent.

- Le boss vous demande les gars. dit l'étranger numéro 1.

- Le bosse ?

peut importe qui avait répondu ceci. Ce boss il était- il pouvait sûrement tuer.

Un boss tue des gens dans tous les cas.

- Ouais....dépêcher vous.

Après cela j'entendis quelques "Ouais"et le son de la porte qui fut claquée.

- Putain d'amateurs. Ils ne savent même pas si quelqu'un dort ou non.

Mon cœur s'arrêta de battre. Mes mains étaient toutes moites. Ce n'était pas dû à la chaleur mais c'était de la peur.

Il savait que je faisais semblant.

Mince !

Je le sens s'asseoir sur le lit où je me trouvais. Je retiens mon souffle.

- Je sais que tu es réveillée. C'est mieux que tu arrêtes de jouer la comédie. dit-il.

Je sens ses yeux sur moi et c'était une chose que je n'aimais pas.

Mes paupières étaient toujours fermées.

- Tu sais, habituellement je n'utilise pas les mots. Les gestes sont tellement mieux.

Psყᥴhoρᥲthᥱs Où les histoires vivent. Découvrez maintenant