Psყᥴhoρᥲthᥱs

Chapitre 7

Je criais avant de me tourner et placer ma tête contre le torse de Sanzu.

☁️☁️☁️

J'étais vraiment stupide. Une stupide créature écervelée. C'était comme si mon corps agissait en premier puis mon cerveau suivait avec le courant.

Je viens en quelques sortes enlacé Sanzu- oubliez ça, j'ai littéralement enlacé Sanzu.

J'ai pris un psychopathe dans mes bras. Quand mon cerveau reçois un message l'informant que je l'avais serré dans mes bras mon corps se figea.

J'étais apeuré, et penser à ce qu'il pouvait se dérouler après ne m'aidait pas.

Ce n'est pas tout les jours que j'enlaçe un gars au hasard qui se trouve également être un meurtrier.

Prions pour qu'il ne me tue pas.

- Non, non ne soyons pas trop proche, devrions nous ? commenta Sanzu avec un léger amusement même si le commentaire était sarcastique.

J'entend quelqu'un glousser mais je décide de l'ignorer car je meurs déjà de honte.

Je me décolle de lui et tourne ma tête mais c'est une grande erreur. Je couvre immédiatement mes yeux avec mes deux mains et m'exclame :

- Omg, je suis désolée.

Je ne savais pas quel était le plus embarrassant, le fait que j'avais enlacé Sanzu ou celui de voir un homme à moitié nu.

- Putain ! Mochi où sont passés tes vêtements ? demanda Sanzu mécontent.

Je ne pouvais pas voir son expression à cause de mes yeux qui étaient cachés. Mais sérieusement, ce gars semblait toujours en colère ou aboyait toujours ordres sur ordres.

Est-ce qu'il savait sourire ou est-ce que cette mine renfrognée était permanente sur son visage ?

Il avait besoin de se calmer. Mais je n'allais certainement pas lui dire. La vie est trop précieuse pour être arrachée à cause d'un commentaire idiot.

- Calmes-toi mec. Commença l'homme.

L'ennuie était clair dans sa voix.

- Tu ne peux pas débarquer dans ma chambre et me donner des putain d'ordres. Cette putain de porte . il fait une pause est là pour une putain de bonne raison. Frappe avant de rentrer. Respecte ma vie privée. J'aurais pu être complètement nu.

Ma mâchoire se décrocha suite à sa réponse. Il ne paraissait pas craindre Sanzu. Je voulais dire, Sanzu pouvait tirer sur n'importe qui qui le regardait de travers.

Je retire mes mains de mes yeux pour observer la réaction de Sanzu. Étonnamment, il n'avait pas l'air de vouloir déchirer le corps mochi.

A la place de ceci il fronça juste les sourcils.

- Peu importe, enfile un truc. On doit parler de quelque chose. répondit-il à travers ses dents serrées.

- Ouais.

Puis il claqua la porte.

Au moins maintenant je savais que Sanzu se souciait de quelqu'un.

Il me regardait et vit probablement mon expression car le regard qu'il me lançait me fis frissonner.

Je détournais les yeux afin de regarder au dessus de son épaule et vis un homme- enfin j'entendis ses pas avant qu'il n'apparaissait.

Il respirait lourdement comme s'il venait de courir un marathon.