Une semaine c'est écoulé depuis que j'ai été contrainte à accepté le marché de Dabi.
Je me sent tellement mal quand je vois les autres élèves de ma classe rigolé avec moi, qui est la deuxième taupe ?
Je suis en cour de français, un cour de plus que je n'écoute plus. Je réfléchi à ce que l'autre va me demander de faire, j'ai peur, je me sent mal, je peux en parler à personne ! Because je ne sais pas qui est le deuxième traître !
Et si je le dit à quelqu'un et que cet personne est justement la taupe ?! Et bien cet personne le dira à Dabi et il me tuera avant que j'ai pu déjouer leur plan... Je dois agir seul.
Mon téléphone vibre, signe que je vien de recevoir une notif.
Livaï : hé toi, Met ton tel en mode avion si tu veux pas que je te le pète avant de te le faire bouffer.
Tp : pff, oui "monsieur"
Livaï : tch. Une heure de colle pour toi.
Tp : pardon ?!
Livaï : t'en veux deux gamine ?!
Tp : tss !
Je lui lance mon regard le plus noir en croisant les bras
Livaï : tch.
Il cesse de me regarder avec son regard énervé qui fait peur et recommence à faire son cour.
Pendant qu'il marque des trucs au tableau j'essaie de discretement regarder qui m'a envoyée un message
Des sueurs froide s'écoule le long de ma colonne vertébral, mes mains se mettent à trembler. Je fini par reculer la chaise bruyamment.
Livaï : gamine, Dégage de mon cour.
Ochaco : attendez, monsieur, vous voyez bien qu'elle n'a pas l'air bien là ?!
Livaï : je m'en fou, elle dégage.
Par réflexe j'éteins mon téléphone ou étais marqué le message de Dabi.
* l'enfer commence maintenant... PTN MAIS DANS QUEL MERDE JE ME SUIS FOUTUE ENCOR ?! *
Tp : "chuchote" merde merde merde, je veux crever je vais crever... Je peux pas leur faire ça...
Je me lève et me dirige en titubant vers la porte de sortie sous les regards intrigué, j'entend tout le monde chuchoté au moment où je sort.
Je m'assois les jambes replié à ma poitrine, à coter de la grande porte.
Au bout de quelque temps, Livaï sort pour venir me voir.* ET MERDE ! COMMENT JE VAIS M'Y PRENDRE POUR LE LUI PRENDRE ?! *
Livaï : hé gamine, t'as quoi encor ?
Je ne le regard pas dans les yeux, je n'en ai pas la force.
Il se baisse en face de moi pour être à ma hauteur et pose ses mains sur mes genoux.
Tp : rien... Laisse tomber Livaï...
Livaï : c'est un truc sentimental, c'est ça ?
Il l'a dit d'une façon tellement douce que ça m'a choquée venant de sa part.
Il relève ma tête avec sa main
Tp : nan... Enfin à moitié...
* merde je suis entrain de parler ! *
Livaï : développe gamine.
Je dégage sa main de mon visage d' un geste violent
* pardonne moi Lili ! *
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immense infini
Fiksi PenggemarToutes les nuits on s'endort dans notre chambre et on se réveille au même endroit, exacte ? Et bien pas pour moi...