⁵𝑷¹𝑯𝑨𝑹𝑴𝑶𝑵𝒀 - 𝑰𝑴𝑨𝑮𝑰𝑵𝑬 [COMMANDES OUVERTES]

💭MALA SANTA💭

SANTERÍA PT.3

JIUNGxYOU

Un mois plus tard

346 ap. JC- Royaume D'Aramonys

Pdv Y/N

Le soleil venait tout juste de se lever sur notre beau pays.

Levée aux aurores aujourd'hui, je me dirigeai tranquillement vers la salle d'audience en compagnie d'Erwan.

Voilà un mois déjà que Père n'était plus et que j'avais accepté la responsabilité de la couronne, étant son unique héritière légitime.

Je n'étais désormais plus Princesse mais Reine D'Aramonys, respectée et acceptée de tous.

"Où se trouve-t-il ?", je demandai dans le plus grand des calmes au chef de la garde royale en m'installant sur le trône de la salle.

"J'ai fait demandé à ce qu'on l'habille avec des vêtements plus convenables avant de le présenter devant vous, votre Majesté. Il ne devrait plus tarder.", me répondit-il.

"Bien.", j'acquiesçai en regardant les grandes portes closes de la pièce.

D'après leurs descriptions, ce serait lui...

Une légère ombre d'appréhension passa sur mon visage.

En effet, il y a trois jours de cela, un individu en provenance de Riatenas avait été capturé passant clandestinement la frontière de notre royaume. Il n'avait aucun document officiel attestant de son identité et a donc été fait prisonnier.

La grande Amala Ratna que je visitais assez souvent m'avait prévenu qu'il prendrait du temps à venir jusqu'à moi. Et elle avait raison ; il s'en était passé un mois et quelques jours.

Mieux vaut tard que jamais, j'imagine...

Au même moment où je pensais cela, les grandes portes s'ouvrirent sur deux gardes accompagnant l'étranger menotté et l'air complètement inquiet.

Te voilà enfin...

Je repris mon regard neutre et autoritaire de souveraine d'Aramonys.

L'un des gardes le ramena au plus près de moi, juste devant les escaliers précédents le trône avant de le relâcher brutalement, le faisant tomber à genoux.

"J'ai ouïe dire que tu t'étais introduire clandestinement dans ce royaume...", j'engageai directement la discussion.

"Et que lorsque l'on t'a ordonné de décliner ton identité, tu n'as pas voulu répondre à la seule condition de vouloir t'entretenir avec moi...",