⁵𝑷¹𝑯𝑨𝑹𝑴𝑶𝑵𝒀 - 𝑰𝑴𝑨𝑮𝑰𝑵𝑬 [COMMANDES OUVERTES]

💭EASY ON ME💭

JONGSEOBxYOU

Pdv Y/N

Je suivais tranquillement les informations du 20 heures lorsque j'entendis du bruit au niveau de l'entrée.

Je me levai pour accueillir le jeune homme que j'attendais.

Il ouvrit la porte et la referma aussitôt.

"Bonsoir mon chéri.", je vins le prendre dans mes bras et lui embrassai le front.

"Bonsoir Maman...", répondit-il d'une petite voix.

"Alors ? Comment ça s'est passé ?", je lui demandai comme à chaque fin de toutes les deux semaines.

"Comme d'hab'...", il dit simplement en haussant les épaules.

"Je vois...", je l'observai enlever ses chaussures et son manteau.

Bon...

Il a l'air d'aller bien...

Ça me rassure...

"Bon et bien, si tu as faim, il y a de quoi faire dans le frigo.", je l'informai avant de retourner dans le salon.

Le jeune homme âgé de quatorze ans et demie me répondit d'un hochement de tête et se dirigea ensuite vers la cuisine.

Je repris ma place dans le canapé et passai une main sur mon visage en soufflant.

Cette nouvelle vie est tellement...

Je n'avais pas vraiment de mots pour la qualifier.

Cela faisait deux mois que je venais de divorcer de Jongseob, le père de/d' [nom de votre fils] et même si ça s'était fait à l'amiable et sans réels conflits, se séparer de quelqu'un après vingt ans de vie commune était très dur à surmonter.

Surtout lorsqu'il y a des enfants au milieu...

Ils sont les premières victimes de tout ça...

Et [nom de votre fils] en souffrait énormément, il n'y avait aucun doute.
Avant notre séparation, il était si plein de vie, il ne se passait pas un seul jour sans qu'on ne voit son magnifique sourire qu'il avait hérité de son père ou qu'il vienne m'embêter avec ses histoires d'ado etc.

Tout ça semblait avoir disparu.

Alors, à chaque fois qu'il revenait de chez son père, je m'assurais que tout s'était bien passé et qu'il allait bien.

Même si malheureusement, je ne pouvais pas être sûre qu'il me dise la vérité et qu'il ne me cache quoi que ce soit; il était à présent aussi renfermé sur lui-même qu'une huître.

☆☆☆

Deux semaines plus tard

☆☆☆

Le même scénario se reproduisit pour la énième fois depuis la proclamation de la garde partagée de/d' [nom de votre fils]; je l'attendais pour vingt heures à la maison.

Néanmoins, lorsque je vis le visage de mon fils, je sus immédiatement en mon fort intérieur de mère que quelque chose n'allait pas.

"Bonsoir mon chéri...", je vins l'accueillir d'un bon gros câlin.

"B'soir Maman...", il m'entoura de ses bras et j'eus ainsi la confirmation de mes soupçons car il me serra contre lui comme lorsqu'il était petit et qu'il avait besoin de moi pour être réconforté.