Dans les bureaux, derrière la scène.
« Elona !
- Oui chef ?
- Des tremblements de terres à prévoir ?
- Rien de prévus les prochains jours, chef.
- Bien, si un changement de programme arrive, je veux être le premier au courant, c'est bien compris ?
- Oui chef.
- Bien. Ou en est le sujet 991 ?
- Il vient de se réveiller. Il est bouleversé et fasciné. Il va bientôt atterrir. Il ne sentira aucune secousse. On lui enverra un message électrique dans son cerveau pour qu'il ait l'idée de sortir.
- Très bien. Et le sujet 990, est-il arrivé à destination ?
- Oui. Il attend d'être transporter avec les sujets de 991 à 1000.
- Bien, bon travail, Elona.
- Merci, chef »
Le chef était parti. Elona souffla un grand coup. Tout le monde avait une montée de pression quand le chef arrivait. Il était capable de sortir son arme et de tuer un de ses employé à cause d'un mauvais travail ou d'une faute de calcul qui bousculait un certain nombre de choses. Le stress était permanant mais on ne pouvait quitter ce travail. Les employés étaient pris au piège entre ses murs sans plus jamais voir la lumière du soleil a pars quand elle passait dans les ridicules petites fenêtres du bureau. Bureau qui était en parti éclairé par des lumières blanches aveuglantes qui leur abîmaient les yeux. Ils étaient nourris dans une cantine qui contenait une nourriture affreusement répugnante et dormaient sur place, dans des dortoirs sans fenêtres éclairé par de petites lampes jaunes qui ne produisaient pas beaucoup de lumière. Tous les murs de cette prison-entreprise étaient blancs. C'était sobre et monotone. Le chef était le seul à sortir et à manger des plats qu'il cuisinait ou qu'il acheter on ne sait ou dans la ville la plus proche, qui était quand même à 110km de l'entreprise. Elona n'étais même pas sûr que l'Etat était au courant que cette entreprise existait. Elle pensait même que la police était leur pire ennemi. Plusieurs fois la police avait fait leur apparition dans les environs et tous les employés avaient appris une procédure qui permettait à chacun de changer ce qui était afficher sur les ordinateurs et même les bureaux changeaient. Tout était différent et quand la police sonnait, elle voyait que tout était en ordre et on se disais travaillé pour une banque et que personne ne devait trouver cet endroit. Un peu comme la zone 51 mais en version 2.0. Elona n'avais aucun souvenir du monde extérieur. Le plus ancien souvenir qu'elle avait, c'est elle jouant avec son frère dans la chambre familiale. Son frère avait été tuer quelque semaine auparavant et elle ne s'en était toujours pas remise. Mais elle devait être forte. Si elle montrait une quelconque faiblesse, elle allait retrouver son frère dans le cimetière qui était également dans le bâtiment. Elle suivait les instructions à la lettre. Elle n'avait pas le choix de toute façon, tout comme les autres employés.
Elona avait cependant élaboré un plan pour essayer de s'échapper en pleine nuit après le tour de garde du lieutenant qui faisais une ronde à minuit pile tous les soirs. Elle avait déjà prévu le soir ou elle allait le faire. Mercredi de la semaine prochaine. Le chef serait en ville pour faire les courses pour manger et certains employés seraient en congé. Ce qui voulais dire qu'il y aurait moins de monde dans le bâtiment. Tous les employés en congé seraient dans le bâtiment réservé pour les personnes en congé et le chef serait donc dehors. Elle avait juste à attendre 1h du matin et elle sortirai avec sa carte employé en endormant avec une seringue de sédatifs les gardes qu'elle croiserait. Elle avait calculé et elle ne devait en croisé que 16. Elle allait voler 20 seringues pour être sûr, au cas où un changement de programme s'effectuait et qu'elle devait croiser plus de personne que prévue.
Elle avait prévu de s'enfuir non pas parce qu'elle n'aimait pas son travail, bien au contraire elle adorait malgré l'enfermement, mais parce que son chef depuis quelque temps lui rendait quelques visites nocturnes qu'elle n'appréciait pas. Le soir il entrait dans sa chambre et la droguait avec elle ne savais quel produit et la violait sans qu'elle puisse se débattre. Si elle essayait de résister, elle savait qu'elle serait mise à mort dans les prochains jours ou sur le moment même. Même si cela lui apportait moins de risques de se faire tuer, elle préférait partir plutôt que de subir ça jusqu'à ce que son chef parte à la retraite. De plus son chef avait bien 55 ans et elle n'en avait que 24.

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New planet
Novela JuvenilC'est l'histoire d'un homme qui se réveille perdu. Il est enfermé dans une boite et un bruit d'alarme d'urgence résonne au loin. La boîte descend. Lentement. Elle prend un peu de vitesse. Elle en prend encore un peu. et elle accelere encore. La boît...