une nuit, une innocence Perdue

Chapitre 11

Il ne voulait en aucun cas une histoire sérieuse mais à la vue de cette tâche il se dit qu’il fallait sans doute qu’il le lui dise avec douceur…

Il sortit de ses réflexions et se mit à chercher Gabi

-Gabrielle ? … brie ??

En sortant de la bibliothèque il tomba nez a nez avec Diane qui qui entrait par la porte principale.
Celle-ci fut  d’abord étonné mais après soulager

- tiens voilà le frère disparu.. dit-elle en premier avant d’ajouter

-mais qu’est-ce que tu fais ici ? Et elle  est où ma sœur j’étais entendu l’appeler

- une question à la fois s’il te plaît coupable Alan.. Avant de continuer

-  j’ai dormi dans la bibliothèque et en ce qui concerne gaby je la cherche aussi…. Mais il est où mon frère termina t-il

Diane fut surprise, pas parce qu’il cherchait gaby mais parce qu’il avait dormi dans la bibliothèque

-Ton frère, je viens de l’accompagner… Répondit t-elle avec un air songeur

- Comment ça tu as dormi dans la bibliothèque ? Et qu’est ce que tu as fait a ma sœur ?

Je me suis assoupi en lissant un livre, et pour la deuxième question, il préféra ne pas être honnête et changea de sujet…

-Mon frère a pris ma voiture ?

Diane compris qu’il refusait de répondre.. Mais n’insista pas

- non il a du prendre un taxi

- ok j’y vais aussi… Demande a gaby de m’appeler… Dit-il en lui remettant sa carte de visite… C’est urgent

-urgent ?

-Au revoir Diane et désolé encore pour hier, c’était juste pour embêter mon frère.

Prise au dépourvu elle articula un au revoir quand l’homme était dos a elle.

C’est assis dans sa voiture que Alan consulta son téléphone et trouva plein d’appels en absence et plein de message de son frère.
Des qu’il démarra, son téléphone sonna.

-Allô maman !!
-allô maman !!!! Répéta Alan en démarrant la voiture

- oui mon chéri !! mais où était-tu passé, j’ai pas arrêté de t’appeler

- je dormais maman coupa Alan

- et c’est qui cette fille qui prend ton téléphone quand tu dors ? Gronda sa mère

Alan restera silencieux un moment  et repensa à l’appel entrant qu’il avait remarqué tout à l’heure on consultant son téléphone.. mais ne comprenait pas pourquoi sa mère était au courant vu que c’était pas son numéro…

- mais maman je ne te suis pas là…. De quel appel tu parles ?

- bref Juliana la fille de mon amie maria est en ville, elle t’a appelé pour te dire qu’elle était en ville.. ‘’ mais elle m’a rapporté que c’est une  femme qui a décroché et la ensuite fait savoir que tu dormais… tu as pris une femme de ménage mon fils ?

- Juliana ? Mais c’est qui Juliana maman… Ne me dit pas que tu cherche toujours a m’arranger des rendez-vous avec les filles de tes amies ?  Gronda Alan

-mon chéri … Calme toi.. Je le fais pour ton bien ? Et tu le sais… Parvint a dire sa mère d’une voix craintive

- mais maman, de quel bien tu me parle, je veux que tu arrêtes et tu as intérêt de mettre un terme a la comédie orchestré avec cette fille avant que je ne sois hors de moi.

- d’accord mon fils, parvient a dire sa mère…. Mais dis moi qui a décroché ton téléphone ? As-tu pris une femme de ménage ? Insista sa mère

C’est à ce moment qu’Alan compris que gaby avait décroché son téléphone et cela expliquait peut-être sa subite disparition…. Alan sortir de ses pensées quand son cerveau revint sur la dernière phrase de sa mère as-tu pris une femme de ménage ? Rouge de colère, il fut le premier surpris par sa réponse

- maman cette fille c’est ma fiancée

- QUOI !!!!! cria sa mère de l’autre bout du fil… de quoi tu parles mon fils ? Fiancé ?? non mon chéri !!!!! jamais tu m’entends ? jamais… je t’ai cherché une fiancée, et elle est parfaite

- mais maman qu’est-ce qui t’arrive, si tu ne te calme pas rapidement je raccroche et tu n’as pas intérêt de me rappeler. Gronda Alan

- écoute-moi très bien Alan Smith  j’ai dit à mon amie maria que tu étais d’accord pour marier sa fille Juliana alors ne sois pas la cause de ma mort sociale, ne me donne pas cette honte, s’il te plaît mon fils rencontre là au moins, je suis sûr que après  tu changeras vite d’avis sur cette catin qui te réchauffe ta couche.