une nuit, une innocence Perdue

Chapitre 39

Point de vu d’Alan

Je roulais derrière la voiture de Gabi qui montrait le chemin…. Après 15 minutes de conduite, nous étions déjà à la maison, elle n’était pas tape à l’œil, au contraire c’était une modeste petite villa à un étage avec un magnifique jardin, un bon cocon douillet pour élever des enfants…. Cela était connu de tous la filles des Sparrow vivait hors des projecteur et ne se comportait pas comme les filles de millionnaires classique. Les garçons descendirent du véhicule  et me tirèrent vers la porte d’entrée pour me montrer leur salle de jeux…. Je me suis laissé entraîné à l’intérieur avec un sourire extrêmement sincère…. Avant d’entrer, j’ai lancé un coup d’œil en arrière…  ma brie était là au côté de ma sœur avec sa belle chevelure rousse au vent…. Le soleil y ajoutait de la brillance et de l’éclat… comme j’aimerai passer mes doigts une nouvelle fois dans cette chevelure rebelle et souple à la fois, qu’est ce qu’elles se disaient ?  Parlaient-elles de moi ?  Je jura intérieurement pourquoi ce genre d’idée me traversaient l’esprit, je devais la faire payer son acte…. Il fallait qu’elle souffre autant que moi… alors au diable les sentiments….

- Tu viens papa…..  Tu as tout le temps pour admirer maman….. Me dit Al en me sortant de ma rêverie

- D’accord les garçons, allons-y…… 


- Tadaaaa cria ciel en ouvrant la porte de leur salle de jeu

A une fraction de seconde je me suis retrouvé dans la jungle amazonienne.. Il y’avait des lianes et des animaux en peluches presque partout, la salle était décoré sous le thème de la jungle…

- Alors comment tu trouve notre salle de jeu.. Demanda Al

- Euuhhh ?!??.... Je savais pas quoi dire…. C’était extrêmement moche et inapproprié pour les enfants


- Vas-y tu peux dire la vérité… ciel et moi nous sommes d’accord sur le sujet

- Elle est super moche….. finis-je pas dire


Les garçons et moi éclatâmes de rire

- Mais d’où lui est venu une telle idées les garçons ?

- Bah elle veut pas nous  laisser adopter un chaton…. Du coups elle s’est dit qu’elle devait nous acheter avec ça ?


- C’est dure les garçons, elle a ses raisons j’en suis sûre…. Alors vous aimez les chats ? 

- C’est plus pour ciel que je me bat…. Il les adore… en France il restait tout le temps chez la voisine parce qu’elle avait plein de chat


- Tu les aimes aussi, papa Al en a ramené plein à la maison mais maman les déposait au refuge à chaque fois

- C’est bon les garçons, pas besoin de se disputer….. Il faut une nouvelle déco d’urgence ici


- Celle-ci a un problème ?  Demanda Gabi en entrant dans la salle de jeu  avec Miya

- …….. Les garçons et moi gardâmes le silence et on se regardèrent à tour de rôle..


- Oh lalala Gabrielle… c’est toi qui a décoré la pièce ? Demanda ma sœur émerveillé

- Oui Oui ma belle .. C’est beau n’est ce pas ?


- C’est SU-PER BEAU ma chérie….  Je veux la même

- Pas chez moi J’ose croire……  la coupais-je


- Elle a quoi la déco…. Demanda Gabi avec des sourcils pliés
- Mais maman elle est affreuse….. Intervient Al


Je pouffa de rire et Miya me lança un regard noir plein de sous entendu…

- Mais mon chéri je croyais qu’elle vous plaisait ?

- On aurait préféré un chat…. Et tu le sais


- Mais Al…. Ciel ???  S’embrouilla Gabi

- Ça va maman…. Ciel allons nous baigner


Lorsque les enfants disparurent à l’étage Gabi voulu les rejoindre mais je la retint par le bras

- Il faut que l’on parle Gabrielle Sparrow

- Plus tard tu veux bien ?  Je dois aider les garçons


- Les garçons, pour l’heure n’ont pas besoin de toi, mais ici et maintenant moi j’ai besoin de te parler

- Plus tard j’ai dis….. Dit-elle en essayant d’échapper à mon emprise


- Ne fais pas ça Gabrielle, je prends tellement sur moi pour que tout se passe en douceur…..  Mais si tu veux faire ton intéressante je peux transformer cette journée à la plus pire de toute ta vie

- ……  elle ne répondit pas et j’avais senti par mon emprise que ses muscle s’étaient détendu


- Bon je vous laisse, je vais aider les garçons….  Dis Miya en sortant de la salle je la vit enjamber les marches aussi rapidement qu’elle le pouvait dans son état.

- Tu fais bien en te calmant ….. Dis-je le visage fermé