𝐩𝐡𝐚𝐬𝐞 𝟓

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"partout à la fin des temps"

jeno n'entendait et ne sentait rien encore,

mais son accablement était une sorte de sommeil,

et une pâle coloration revenait à ses lèvres.

puis certaines fois, il y avait des moments de clartés
dans ce monde à la beauté noire.

ça fait du bien..

puis tout s'écroule, et le brouhaha reprend sa place.

on peut discerner des voix,

ici et là,
qui ne disent rien de compréhensible.

son cerveau se désagrège et d'une lenteur,
il perd ses capacités physiques.

des voix qu'il entend mais qui ne trouve pas de bout,
comme dans une foule,
oubliant à la seconde près.

devant une carcasse qui vit dans le moment.

et sa disparition entière sera l'oeuvre du temps.

mais bien plus horrible que la mort était la crainte de laisser de mauvais souvenirs après sa mort

car une grande mélancolie était dans ses yeux profonds et d'un noir changeant
comme celui du charbon.

l'enfer laissait place au limbe,
le corps deviendra une carcasse

d'un esprit qui se noue, constamment.

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jusqu'au jour où le grand concordat humain sera conclu, la guerre, celle du moins qui est l'effort de l'avenir qui se hâte contre le passé qui s'attarde, peut être nécessaire.

alzheimer. [nomin]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant