Jeudi, 1 décembreJ'étais encore sous le choque.
Aspen...
Ma sœur de cœur. Ma tignasse dorée préférée. Mon rayon de soleil. Jamais plus je n'allais l'entendre me dire: « sourit, la vie est belle ». Cette stupide phrase a laquelle je n'est jamais crue et qui aujourd'hui me paraissait encore plus stupide et fade.
Comme si la météo voulait me montrer à quel point la vie pouvait être désagréable, une pluie torrentielle faisais rage à notre arrivée sur le tarmaque. Nous avions atterri sur un aérodrome an plein milieu d'une forêt. Une propriété privée à première vue.
Après l'arrivée impromptue de Stas la veille, Roman m'avait ramené au penthouse. Dès mon arrivée, je m'étais faite à manger puis étais allez m'enfermer dans ma chambres. En 10 minute j'étais au pays des rêves ou plus tôt celui des cauchemars. Puisque je m'étais réveillé en pleine nuit à 3h en sueur et légèrement déboussolé. Par la suite aucun moyen de me rendormir.
Anton était rentré dans l'heure suivante alors que j'avais pris refuge sur le canapé un livre en mains.
— On s'envole pour les États-Unis dans 2h.
Fu les seuls mots qu'il décrocha avant de disparaître dans sa chambre.
Durant le vol, je dormi la majorité du temps, l'autre j'avais mes écouteurs fusionner a mes oreilles, un livre collé au mains, ignorant tout fait et geste des quatre hommes m'accompagnant.
J'anticipais les retrouvailles et j'espérais qu'Anton ne m'accompagne pas aux funérailles, ne voulant pas me retrouver dans une situation embarrassante concernant tout ce qui c'était passer en Russie et tout ce qui avait mené à la bague qui trônait maintenant sur mon annulaire gauche.
A notre arriver, deux SUV noir nous attendais. Je montai sans un mots dans l'un d'eux puis Anton, seul, me rejoignit. Les autres aillant pris place à l'intérieur du second véhicule. Nous partîmes alors en direction du cimetière où se trouvais l'inhumation de ma défunte amie. La pluie avais commencé à se calmer sur le trajet. Mon regard était river sur l'extérieur durant tout le déplacement, évitant l'homme dont je sentais le lourd regard poser sur moi.
Aucune conversation. Rien depuis cette petite phrase « On s'envole pour les États-Unis dans 2h. » et c'était bien comme cela.
Après plusieurs minutes de trajet le véhicule c'était immobilisé.
— Trésor si tu tente quoi que ce soit pour disparaître, sache que je n'est pas peur de faire la guerre au RSOD, contrairement à ton père. Il n'ont aucun dossier sur moi et je trouverais dommage de briser ma bonne entante avec l'organisation.
J'acquiesçais tout en déglutissant et me retournai pour sortir du SUV. Une mains ferme agrippa mon poignet, m'obligeant à me retourner. Je lui faisais à nouveau face mais cette fois-ci, il n'était plus qu'à quelques centimètres de ma figure. Son visage étais fermé, presque glacial. Ses cheveux étaient en pagailles tout en étant à la fois classe et des mèches lui retombaient sur le visage me donnant cette envie étrange de passer mes doigt à travers ceux-ci. Chose totalement déplacé en cette instant peu chaleureux.
— Je te retrouverai ou que tu ailles et je te tuerai, il fit une pause en me caressant la joue puis elle dériva vers mes cheveux. Ses doigt se faufilèrent dans ceux-ci avant qu'il ne l'es agrippe avec fermeté à l'arrière de mon crâne, tu est à moi Trésor ne l'oublie pas.
Comment l'oublier... il s'était déjà immiscé dans mon esprit et sous ma peau, en si peu de temps. Je ne connaissais presque rien de lui, alors que lui, connaissait tout de moi.
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If i knew
Любовные романыJ'étais maintenant assise dans un Jet privé direction un pays que moi et ma mère avions fuis il y a de ça 10 ans, la Russie. Pourquoi? Parce que le jour précédent, un homme m'avait kidnappé et c'étais présenté à moi comme étant mon frère. Un frère...