J'étais maintenant assise dans un Jet privé direction un pays que moi et ma mère avions fuis il y a de ça 10 ans, la Russie.
Pourquoi?
Parce que le jour précédent, un homme m'avait kidnappé et c'étais présenté à moi comme étant mon frère. Un frère...
" Mère, le jours de ma fête me fais toujours un pincement au cœur. Les souvenirs de mes fêtes passé avec toi et la réalité me fais toujours aussi mal malgré les années. Tu n'avait jamais manqué un seul de mes anniversaires, malgré les petit boulots que tu enchaînais et les horaires de fou que tu avais. Tu trouvais toujours un moyen de le fêter. Même si nous ne faisions pas grand chose pour l'événement, cela ne me dérangeait pas. L'important c'était d'être avec toi. Je me souviens de l'un de mes anniversaires, comme toujours tu avais préféré le passer avec moi quitte à te faire renvoyer. Il neigeait cette nuit la, beaucoup. Il faisait très froid à la maison, le chauffage avais été coupé. Un retard dans le payement du loyer. Nous nous étions réchauffés l'une contre l'autre dans le couloir. Tu ne m'avais rien donné mais j'étais heureuse, heureuse d'être avec toi, dans tes bras. Chose qui a cette période était rare. La voisine, Marianne me gardais souvent, presque tout les jours, je m'amusais avec son fils Dorian, nous avons été amis pendant deux ans avant de devoir à nouveau déménager..."
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Aujourd'hui étais le jour de mon anniversaire, jour que je détestais depuis ça mort. Yulia m'avais réveillé en chantant à dessus tête "bonne fête" comme si c'était le jour le plus excitant de toute sa vie. Je lui avais alors lancé mon oreiller en pleine gueule ce qui a mon plus grand désarroi ne l'arrêta pas.
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— Non de dieu. Yulia... ferme-la, ronchonnai-je en enfouissant ma tête dans mon oreiller restant.
— Mais putain, qu'est-ce qui te prend ? C'est ta fête tu devrais être heureuse!
Je ne lui répondis pas et tentai de me rendormir. Passer la journée au lit étais là meilleur des option pour que la journée passe comme si elle n'avait jamais existé. Pourquoi lui avais-je dit la date de mon anniversaire déjà? Parce qu'elle m'avait prise pour l'employer d'un comptoir de plainte.
Je grogna dans mon oreiller toujours aussi agresser pas la lumière du jour qui venais éclairer ma chambre, j'avais la malheureuse chance d'avoir le lever du soleil directement face à mes fenêtres. J'avais pour habitude de me lever tôt avant, mais depuis que j'avais emménager ici, mon horloge interne avait décider de partir en vrille.