Chapitre 57

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-Respire ca va aller.

-Je respire sinon la je serai mort.

-Très drôle. Dit sarcastiquement Nadia à Sirius.

Ils étaient en train de monter les marches de prison en direction de la seule cellule occupée, celle de Grindelwald. Nadia n'avais pas peur, ce ne serais pas la première fois qu'elle parte le voir pour lui annoncer une tel nouvelle. Sirius lui cacher son stress sous les blagues car il allait être en face d'un puissant mage noir.

Les gardes qui était poster devant la cellule prennent les baguettes, on n'en serais jamais aussi prudent. Grindelwald comme la dernière fois était assis au milieu de la pièce, ces membres attaché solidement. En voyant sa petite fille, il fit ce geste devenu habituel, il lui montre sa langue couper en dent.

-Combien de foi, il faudrais que je le dise. Je ne veux pas qu'on lui coupe la langue.

-Votre altesse, avec tout notre respect. C'est sur les ordres de l'impératrice que nous le fesons...

-L'impératrice est morte, elle est morte, c'est à moi que vous devez le respect maintenant. Dit doucement Nadia en coupant le garde.

Le garde éclate la bulle de protection magique qui englober le sorcier explose comme du verre. Et il lui redonne l'utilisation de sa langue.

-La corne n'a pas sonné. Dit directement Grindelwald.

En même temps un bruit puissant et en même temps magique envahit l'immense empire. C'était le signal qui annonce la mort de l'impératrice. Nadia resta devant son grand père, fixée au sol, le regard inerte.

-On ne pleure pas. Dit d'un ton menacent Grindelwald.

-Grand père...elle...elle n'est plus là....elle nous a quitter...

-Je sais ce que ça veux dire mourir. Ce n'est pas la seule à nous avoir quitter. Ce n'est qu'une âme qui rejoint la liste.

-Comment tu peux dire ça !? C'était ta mère ! Grand père ! Elle est morte !

Grindelwald s'approche de Nadia et prend durement son visage entre les mains.

-Je t'es dit que j'avais compris Nadia. J'ai dit au revoir à ma mère bien avant ta naissance et celle de ton père.

Les deux Grindelwald maintient le regard, jusqu'à qu'une fine larme coule sur la joue de Nadia. Son grand père l'essuie doucement :

-Ma chère enfant, on ne pleure pas. Nous somme puissant, grand, fort, fantastique. Alors on ne ce ridiculise pas de cette manière. Tu sais que je déteste quand tu le fais.

-Oui...d'un doucement Nadia.

-Lève les épaules, tiens toi droite. Aujourd'hui tu n'es plus la petite princesse pourri gâté et on passé tragique. Aujourd'hui tu es l'impératrice du Nord. Je t'es enlevé dans ce destin, alors ne pleure pas.

-Tu me demande quelque chose de trop difficile.

-Et c'est le rôle d'une impératrice de rejet les choses difficiles. Grindelwald la prend par les épaules et...lui sourit. Pour le plus grand bien.

-Non ! Dit Nadia qui ce recule comme brûler. Pas pour ça ! Je ne veux pas être comme toi et encore moins finir avec les rats. Je ne suis pas toi ! Combien de fois il faut que je te le répète ! Je ne veux pas être ton héritière !

-Tu les, on ne le choisi pas. C'est l'histoire de ta famille. Elle va te rattraper si tu ne l'accepte pas.

Nadia rigole jaune et fait le tour de la pièce :

Maraudeurs, Empire et Moi {en cour d'écriture} Où les histoires vivent. Découvrez maintenant