Plus tard dans la chambre de Nadia, Sirius était pensif. Ce qui ne lui ressembler pas, il se balancer sur sa chaise les jambes tendu et croiser dans les air. Sirius penser à Remus, et regretter profondément. Remus était et resterait son meilleur ami, mais selon le beau homme il l'avait trahi, depuis des années et sans regret auparavant. Dans le passé, il était réellement heureux quand Remus et Nadia c'était mis ensemble. Bien avant cela, lui même avec James l'avait poussé vers la belle blonde, l'avait conseillé. Ce qui était ironique car en même temps Sirius, embrasser, caresser, jouer, avec Nadia, et tomber petit à petit sous son charme même si il se l'était caché pendant longtemps. Ce n'était pas un ami en faisant ça à son ami. Sirius se rassura qu'il l'était un peu car pendant que Remus et Nadia étaient sortie ensemble, il n'avais rien fait avec la blonde. Après, quand leurs histoires avait pris fin à cause de Rogue, Sirius avait recommencé sans hésitation avec Nadia. Ça a toujours était ainsi, faire dans le noir, la cachette, sans jamais en parler a quelqu'un. Même à son frère de coeur, quand il pensa à cette journée où James et Lily avaient compris avant lui ses sentiments envers la blonde, celle ci arriva et saute sur son lit.
Nadia le regarde, directement elle remarque que ça n'allait pas. Car elle n'avait jamais vu encore cette expression pensif sur son visage.
-Sirius ? Tu vas bien ?
-Mmmh.
Nadia fronce les sourcils, souffle même avant de se mettre à genou devant lui et passe ses mains dans sa chevelure bouclée :
-Chéri ? Sirius ? Salaud ? Ma pute ? Je peux continuer pendant longtemps si tu ne me dit rien.
-Ça ne vas pas te plaire.
-J'ai l'habitude maintenant avec toi.
-Je...je pense qu'il est bien mieux qu'on reste ensemble...que personne ne le sache.
-Mais j'ai tout arrêter avec Remus.
-Je sais...mais...Nadia tu te rend compte de ce que je lui est fait. De ce que je fait à mon ami depuis des années. Je lui souhaite du bonheur et faisant le contraire derrière lui, j'aime Lunard.
-Je sais que tu l'aime, que c'est ton meilleur ami...
-Alors je ne veux pas qu'il a cette peine d'avoir était trahi par moi.
Nadia de lève et fait les cents pas dans la pièce sous la lumière de la lune tout en regardent son mari.
-D'accord, de toute manière tu as bien fait sa pour moi. Alors je peu le faire pour toi.
Sirius la remercie avec un grand sourire. Et viens s'allonger à ses côté :
-Quand tu venais à peine d'arriver, je penser à James et Lily.
-A qu'elle moment ?
-Qu'il me hurler d'écouter que je t'aimer...
Le groupe d'amis avait bien grandit, ils vantait à peine de quitter Poudlard. Ce qui avait était déchirant, Nadia ne pouvait pas resté avec eux, elle devait retourner à son pays. Mais, elle venait très souvent les voir car elle même faisait partie de l'ordre du phénix en temps que membre étrangère pour contenir Voldemort uniquement à la Grande Bretagne. En fin de soirée, dans l'ancien QG de l'ordre, tout le monde était à ses préoccupation jusqu'à que Marlène ce mettent à crier. Personne n'avait eu peur car ils étaient habitués à son crie, c'était le signal d'une lettre de Nadia.
Sirius avait accouru, tombé dans les escaliers, pour arriver en premier et prendre la lettre des mains de Marlène et la lire à haute voix pendant que les autres arrivé :
Salut !
Vous me manquez tellement, à part James, se sont des vacances sans toi pauvre idiots pathétique.
Chaque jours se ressemble ici, comme une page vierge sans fin dans un livre, une monotonie qui m'ennuie.
Je vais essayer de penser de très peu de temps, de fuir de pays.
Ici il n'y a rien à dire sur la situation juste qu'on parle de plus en plus de Voldemort.
J'espère que vous allez tous bien ! Que Alice ne fait pas des débats pour des petites mani du quotidien ou que Marlène ne crie pas à tu tête chaque seconde de vos journées sur vous. Ou alors que Sirius a enfin pu jeté son vieux doudou.
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Maraudeurs, Empire et Moi {en cour d'écriture}
Fiksi PenggemarJ'ai mes petits secrets, même toi, tu ne le sais pas. Peu être un jour qui sais ? Moi devant tout ce monde qui joue une comédie qui ne s'arrête jamais, moi devant se monde qui d'un claquement de doigts peuvent m'écouter. Serait-il mal d'utiliser...