Chapitre 2

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Après la prière, elle s'habille d'une robe blanche, met ses sandales et sort de chez elle. Elle s'embarque dans un taxi direction la plage de soumbedioune précisément au plongeoir. Une une fois a destination, elle appelle Cheikh pour lui dire qu'elle était arrivée.
Cheikh - Dit au taxi maître d'attendre.
Fatima - Ok
Avant qu'il n'arrive elle règle le transport et descend a la plage pour le rejoindre. Ils se rencontrent alors qu'il remontait pour aller la chercher.
Cheikh -Waou toujours aussi belle
Fatima - Merci
Cheikh - Mais je t'avais dis de m'attendre....
Fatima - C'est pas grave allons - y
Cheukh - Non il fallait attendre
Elle lui regarde un moment et rit, son comportement était digne d'un cinema pour elle, pour quelqu'un qui n'avais pas l'habitude de faire ses choses la. Oubien, avait - il décidé de changer ? Bon, cela restait a voir.
Cheikh - Sérieusement tu aurais du m'attendre
Dit - il pour paraître encore plus crédible
Fatima - C'est pas grave une autre fois
Dit - elle avant de penser : comme s'il y'en aurait d'autres fois. Il avait intérêt a ce qu'il avait à lui dire soit important comme il le disait. D'ailleurs ça l'était pour lui comme il le disait aussi, elle était juste la par curiosité. Et puis ça lui faisait un peu bien de sortir de la maison prendre un peu d'air frais de cette plage qu'elle admirait tant.
Cheikh - Ok
Ils descendent à la place
Alors qu'elle pensait qu'ils allaient chercher un coin tranquille pour être a l'aise comme à l'heure habitude quand elle venait avec lui, il lui dit encore quelque de chose qui la surprenait de lui.
Cheikh - Non vient j'ai pris une table on va manger du poisson avant de parler
Elle ne pouvait plus garder son sang froid
Fatima - Ok Cheikh dit moi maintenant ce qui ne va pas ?
Cheikh - Comment ça ?
Fatima -Tu es bizarre, tout ça, ne te ressemble pas.
Dit - elle en maniant son doigt devant lui
Cheikh - bizarre ?
Fatima - Fait pas celui qui ne comprend pas
Cheikh - Écoute vient
Elle lui regarde un moment avant de le suivre en attendant de savoir ce qui se tramait.
Installer a leur table, après avoir fait leurs commandes et mangés. Il décide en fin de lui dire pourquoi il voulait la voir. Il lui propose maintenant d'aller s'assoir sur les rochers en face de la mer comme ils avaient l'habitude. Après s'être installés, il commence à parler.
Cheikh - Bon je tenais a te voir, pour m'excuser pour tout ce que j'ai pu te faire. Sincèrement je tiens toujours a toi, et j'aimerais qu'on recommence tout a zéro. Je t'assure que j'essaye de changer, je te promet que cette fois je me comporterais mieux avec toi.
Elle le regarde d'abord suprise, les excuses s'étaient pas pour lui. Lui, il est du genre, toujours sur de lui et s'enfoutait du sentiments des autres.
Fatima - Cheikh, toi tu pourra jamais changer, tu es ce que tu es, tu pense que personne d'autre ne compte a part toi.
Cheukh - Crois moi, si je te le dis, en posant ses mains sur sur ses cuisse qu'il la caresse tout en jetant un coup d'œil a sa poitrine.
Fatima lui regarde et rit, qu'est ce qu'elle disait il ya à peine quelques secondes. Cheikh changer, ça serait comme redresser un tronc d'arbre naturellement formé ainsi. Voyant son sourir, elle se demandait comment il avait pu interprèter cela. Il essaye de glisser ses mains sous sa robe. Elle a sursautée en dégageant sa main avant de lui mettre une bonne gifle. Elle se lève pendant qu'il se massait la joue et commence à partir, il tente de la rattraper.
Cheikh - Attend je suis désolée, j'ai pas fais exprès.
Elle s'arrête et se tourne pour lui faire face. Cette phrase a eu le dont de plus l'énerver qu'elle l'était déjà.
Fatima - Tu l'as pas fais exprès ? Vraiment ?
Cheikh - Je........
Fatima - A d'autres Cheikh pas a moi, je te connais Cheikh. Je viens de te le dire, tu ne changeras jamais toi.
Elle part ensuite avec vitesse en lui laisser le temps dire quelque chose.
Elle marchait avec une telle vitesse qu'arrivée sur le trottoir, alors qu'elle faisait signe pour arrêter un taxi, sans trop faire attention étant sur les nerf, une voiture qui était aussi en toute vitesse manquant de la renverser, elle eu la peur de sa vie. La voiture s'arrête un peu loin devant, une berline noire. Le conducteur descend et s'approche, va vert elle, courbée a bout du souffle, la main sur la poitrine.
Ce dernier se met a lui crier dessus.
Le Conducteur - Mais ça va pas, tu peux pas regarder où tu vas, tu veux me créer des problèmes ou tu envie de te faire tuer.
S'était la goûte d'eau qui débordait de la vase pour elle. Elle se redresse pour lui regarder, que leurs quatres œils prennent contact. Elle prend une grande respiration et lui dit.
Fatima - Vous êtes normal vous ?
Le Conducteur - Si je vais bien moi, en voilà une question.
Dit il en riant nerveusement
Fatima - Ok je vois que ça va pas la tête en faite . Qui que tu sois....
Elle de le tutoyer, après ça
Fatima - Ne me parle plus jamais sur ce ton. C'est toi qui roule vite comme si ce goudron t'appartenait ou à ton père. T'as voulu me renverser et au lieu de demander si ça va et de t'excuser, tu te mets a crier sur moi. Comme si j'étais ton enfant. Je sais pas pour qui tu te prends, mais moi tu me parles pas comme ça.
Elle fait une pause puis ajoute
Fatima - Sûrement un de ses gosses de riches, pourri, gâté, aucune bonne manière, tous des impolies. C'est quelle manière ça de faillir hôter la vie des gens sans avoir l'intention de s'en s'excuser. Qu'est-ce qu'on ne peut pas voir dans ce monde de fou.
Dit- elle d'un trait et fait très une longue moue avant de lui dépasser et aller un peu devant pour chercher un taxi.
En passant elle remarque qu'un autre gars qui était sorti de la voiture observait la scène. Ce dernier lui dit :
Le gars - Désolé mademoiselle, vous n'avez rien ?
Fatima - Allez vous faire foutre...
Le gars - Oups, elle a du caractère celle-la
Dit - il en évitant qu'elle l'attende, il ne voulait pas avoir sa dose.
Ils sont restés un moment a la regarder partir dépassé par son audace. Le conducteur lui avait la bouche entre ouverte, s'était trop pour lui.
Son ami - Man ferme ta bouche, on y va
Lui - Mais tu as vu comment elle a osée me parler.
Son amie - Laisse tomber, et puis elle a raison de s'énerver comme ça. C'est sa vie qui était en jeu. Tu aurais dû lui demander si elle allait bien au lieu de lui crier dessus.
Lui - C'est une raison de nous parler comme ça ?
Son ami - Tu lui as crié dessus, si l'avait pas fait ça serait passé autrement, elle t'aurait parler mieux que ça.
Lui - Moi Roger Ngom personne ne parle comme ça.
Son amie - Arrête ça, il faut te mettre a sa place, aurait été toi, tu t'allais réagir comment.
Il répond rien, il monte dans la voiture, l'autre fais de même, il démarre.
Le silence régnait un moment dans la voiture, son ami décide de le briser.
Son ami - Si non j'ai pas pu m'empêche de bien la regarder. C'est une très belle fille, une de taille fine a la bombe bien foutu, avec des magnifique courbes. Elle a tout ce qu'il faut la où il le faut. De beaux yeux, la poitrine, mon Dieu.
Roger évite de le calculer, il voyait bien qu'il es lui charrier pour calmer ses nerfs. Mais il se concentrait sur sa conduite, cela n'empêche pas aussi son amie de continuer.
Son ami - Ses cheveux, tellement longs, je me demande même si c'est pas des fauts, bon comme c'est la nuit.
Roger ne disait toujours rien, il continue quand même encore.
Son ami - Elle est vraiment belle, je n'ai jamais vu une telle beauté. Qui sait peut-être c'est une djine, Man tu devrais faire attention la prochaine fois on ne sait jamais. Peut-être que c'est....
Roger - Abdoul ferme la
Adoul éclate de rire
Aldoul s'était son prénom. Il essayait de le détendre, mais il était trop sur les nerfs pour se calmer d'aussi tôt. On dirait que Fatima l'avait vraiment énervé a lui parlant ainsi. Malgré qu'il voulait pas se détendre, son ami continuait encore de le charrier jusqu'à ce qu'il arrive à destination.
Adoul - Bonsoir Paa Ngom
Roger - Bonsoir Papa
Son père - Bonsoir mes princes
Roger monte directement dans sa chambre après, son père le suivait du regard sans trop comprendre. D'habitude quand il rentre ils papotent un peu avec lui avant d'aller dans sa chambre. Il comprend que quelque chose n'allait pas. Il se tourne vers Abdoul pour le savoir. Ce dernier ne savait pas comment lui dire, il s'empresse d'aller se chercher à boire sans lui laisser le temps de lui demander. Il n'insiste pas avec lui, par cette attitude ça devait être sérieux. Il décide de rejoindre son fils, lui demander à lui même.
Couché sur son lit sans même se changer, ou enlever ses chaussures, il s'y assoit aussi et lui enlève lui même ses chaussures en lui demandant :
Son père - Ça va mon prince, qu'es ce t'as ?
Roger - Ça va papa, j'ai rien.
Dit - il doucement
Après l'avoir déchaussé, il monte à ses côté sur le lit.
Son père - S'il y'a rien pourquoi tu as l'air tendu. On n'as même pas papoté, tu as foncé dans ta chambre sans me dire un autre mot que Bonsoir et papa.
Il lui caressait la tête, Roger se lève et s'assoit. Il lui explique la raison de son état.
Roger - En quittant l'hôtel Terroubi tout a l'heure, j'ai faillis renverser une fille qui est sortie de nul part.
Son père - Qu'est-ce que tu dis ?
Dit - il en ouvrant grandement les yeux, inquiet de ce qu'il allait s'en suivre.
Son père - Mais tu roulais comment prince, et elle va bien ?
Il demande appréhendant sa réponse
Roger - Oui elle n'a rien rassure toi
Il le rassure voyant son air inquiet, son père souffle de soulagement.
Son père - Mon Dieu, merci. Et qu'es ce qui t'énerve dans ça.
Roger - Elle m'a mal parlée
Son père - Comment elle t'a mal parlée ?
Il explique a son père sa confrontation avec Fatima.
Son père - Prince déjà tu as mal fait. C'est pas une façon de se comporter envers les gens quand tu les cause du tord. Je t'ai éduqué mieu que ça, tu n'es pas enfant non plus pour qu'on te rappel comment agir quand on a tord. Sa vie était en danger et si s'était toi a sa place.
Roger - Je sais papa, je suis désolé.
Son père - Non tu le sais pas et tu n'es pas désolé, si non tu serais pas énervé.
Il reste silencieux, il reconnaissant bien son tord. C'est juste qu'il n'avait pas l'habitude qu'on lui parle ainsi.
Son père - Evite ses genre d'attitudes à l'avenir.
Roger - D'accord
Son père le regarde encore choqué par son attitude, il s'en excuse.
Roger - Désolé papa
Son père - Moi ça peut aller je suis ton père. Mais avec les autres soit correcte, la vie de chaque être est importante.
Roger - Je sais, c'est juste que...
Son père- Rien prince, à tel quel âge, t'es un gamin ?
Il répond rien
Son père - Fait plus ça
Roger - D'accord papa
Son père - Aller on va dîner
Roger - J'arrive je vais me changer

Fatima, Un Amour Dangereux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant